Grands Ensembles Géographiques

GRANDS ENSEMBLES « On croit dans les murs, avant de les accuser. » [1] Dossier Thématique présenté en vue de l’obtention du diplôme d’Etat de Moniteur Educateur. Sommaire : I. Introduction : 3 II. Historique des quartiers populaires en France : 4 La naissance des quartiers et des ZUP : 4 Création d’un état social : 5 Immigration de masse : 6 III. Processus de ghettoïsation : 7 Le rêve des grands ensembles s’ébranle : 7 Les quartiers cumulent les difficultés :

Les grands-ensembles : L'exemple de Sarcelles Source : www.liberation.fr Introduction - La volonté de créer un Grand Ensemble à Sarcelles : un modèle urbanistique avant tout étatique Les grands ensembles occupent aujourd'hui assez souvent la scène médiatique. On les stigmatise en les rendant responsables d'une grande partie des problèmes urbains d'aujourd'hui. Ceux de Sarcelles ont été pendant longtemps médiatisés

2 cités HBM des années 30 : les Gratte-Ciel à Villeurbanne et la cité Tony Garnier à Lyon). La seconde guerre mondiale et la poursuite de l’exode rural renforcent les mauvaises conditions de logement des couches populaires, notamment dans les grandes villes où se développent des bidonvilles. En 1948, le marché privé du logement est réglementé et l’allocation logement instaurée. En 1951, l’appellation « Habitations à Loyer Modéré » se substitue à « Habitations à Bon Marché » :

[pic] SOMMAIRE Introduction…………………………………………………………………… Page 2 I. Analyse sectorielle…………………………………………………..……. Pages 3 à 13 1. Granges étapes, grands tournants du secteur…………….…………. Pages 3 à 6 2. Les principaux acteurs……………………………………………..………… Pages 7 à 9 3. Comparatif européen………………………………………….……………… Pages 10 à 13 II. Du boom de l’immobilier à la crise du logement…….… Pages 14 à 23 1. Comment les prix sont fixés…………………………………….………… Pages 14 à 17 2

subsiste 2 cités HBM des années 30 : les Gratte-Ciel à Villeurbanne et la cité Tony Garnier à Lyon). La seconde guerre mondiale et la poursuite de l’exode rural renforcent les mauvaises conditions de logement des couches populaires, notamment dans les grandes villes où se développent des bidonvilles. Ö En 1948, le marché privé du logement est réglementé et l’allocation logement instaurée. Ö En 1951, l’appellation « Habitations à Loyer Modéré » se substitue à « Habitations à Bon Marché » : ce changement

LA POLITIQUE DE LA VILLE A. Repères historiques : De la politique du logement à une politique de la ville 1. • Émergence du problème urbain Après guerre : Naissance de la notion de grand ensemble après la seconde guerre mondiale. Besoin de logements collectifs suite à l'exode rural, baby boom, logements détruits pendant la guerre. Création de logements sociaux de masse. Ces logements améliorent les conditions de vie : logement plus spacieux, plus modernes… Il s'agit d'une réponse à un besoin

interpersonnels des jeunes collégiens entre eux : violence physique, violence psychologique mais aussi violence du langage. Ce milieu est une découverte totale pour lui, car, en effet, la quasi-majorité des élèves fréquentant ce collège sont issus du grand ensemble situé à côté du collège, la cité des Quatre Mille. David Lepoutre décide donc dans un premier temps d’axer sa recherche et son enquête de terrain sur les types de relations entre ces adolescents. Ce fut d’ailleurs le sujet de la thèse qu’il a

d'autres, la banlieue symbolise « tous les maux dont souffrent les ouvriers » et il fait part de sa volonté de créer, à distance des grandes agglomérations, un nouveau type d'organisme urbain qui réunirait la qualité de la ville et de la campagne. Le premier principe qu'il met en place est la limitation de sa taille (moins de 35 000 habitants) avec un large ensemble de terres agricoles, forêts constituant une ceinture verte. Le second principe est la volonté d'associer la ville et la campagne au travers

développement des zones rurales Conclusion : L’aménagement des territoires du quotidien se fait de plus en plus par l’action d’aménageur locaux qui ne sont non plus l’Etat mais les petites communes qui s’organisent seul ou entre elle pour former de grands ensembles . Depuis les années 80 l’Etat n’est plus qu’un simple guide pour l’aménagement , le second est l’union européenne qui fournit de nombreuses aides financières pour aider les projets d’aménagement a aboutir ( voir Eco Cité Bobigny ) .Le principe

effet, celles-ci bénéficient prioritairement de la politique de la ville contrairement aux populations situées dans l’Ouest de l’agglomération lyonnaise. Dans l’Est justement, on voit tout d’abord 28 zones urbaine sensible (où sont situés des grands ensembles et habitats dégradés) contenant les 12 zones de redynamisation urbaine (où habitent moins de 8500 habitants ayant des revenus faible sachant que le chômage est élevé) et les 4 zones franche urbaine (où les aides sont les plus importantes). On