Grande Dépression Impact Culturel

si l’homme est capable de maintenir stable son milieu interne quelles que soient les conditions externes ou les agressions de l’environnement. Lorsque la personne perd cette faculté d’autorégulation, son équilibre se dérègle et elle court alors de grands dangers: troubles, maladies et mort. A la même époque, le physiologiste belge Frédéricq écrit que l’être vivant est tel que toute influence perturbatrice provoque elle-même une activité compensatrice destinée à neutraliser ou à porter remède à cette

de Selye (1956) Expérience faite avec des animaux : -> inject° d’extraits d’hormones ovariennes, placentaires de bovins. Les animaux meurent. ->Les anomalies relevées : ulcère, atrophie de la rate, des ganglions… comparables à celle des grands brulés, victimes d’ensevelissement ->Les expé st refaites avc d’autres hormones, du formol : d’autres agents agresseurs st testés (thermique, traumatique, élec…) : mm effets Il s’agit donc d’une réact° non spé, ne dépendant pas de la nature de

croissance internationale est modérée, les prix stagnent ou baissent par manque de moyens de paiement et insuffisance du crédit : c’est une phase B. Se succèdent ensuite une phase A, « la fête impériale » de 1850 à 1873, puis une phase B, « grande dépression » de 1873 à 1896, et enfin une nouvelle phase A, « la Belle Époque » de 1896 à 1914. *Cycles de Kondratieff : alternance de phases A (hausse des prix) et de phases B (baisses des prix). Cette alternance est liée à des facteurs monétaires (A :

psychologie des individus ? Ce qui devait y être étudié doit être surement les caractéristiques de ces individus. On doit se demander quelles sont les caractéristiques propres de ces individus particulièrement déviants. Or, le monde dans lequel on vit a un impact sur notre personnalité. On ne vit pas de la même manière à une époque ou à une autre. Ex : les 30 glorieuses, les années 70 (années relativement prospères). On peut aussi s’interroger sur le contexte où est apparu le cours. Les années 70’ est une

ensuite des adeptes qui ont une place plus ou moins importante dans l’organisation en fonction de leur ancienneté par exemple, ou de leur aisance à recruter d’autres personnes selon différentes approches. LES METHODES Les sectes développent quatre grandes phases pour attirer des personnes. En premier lieu, l’approche, qui peut être : SPIRITUELLE : cette approche est omniprésente, même si les sectes tiennent un discours non religieux. Les individus en quête de spiritualité sont une cible privilégiée

Dès la fin du XIXème siècle, de grandes puissances européennes se lancent dans la conquête du monde. Elles imposent leur domination, principalement en Afrique, qu’elles se partagent à la façon d’un gâteau à la conférence de Berlin de 1885 sans même concerter le continent. L’expansion coloniale atteint son apogée dans l’entre-deux guerre, après la participation des colonies à la Première Guerre Mondiale. La France déteint le second plus grand Empire colonial. L’idée coloniale est alors très à la mode

quelqu’un. On n’a pas besoin d’inclure cette caractéristique. Peu importe le contexte. Troisième cercles : attitudes, croyances, valeurs. Pas de la personnalité. Se réfère à des objets spécifiques, attitudes sociales, religieuses, politiques, esthétiques… Grande différence par rapport aux caractéristiques de la personnalité, avec les patterns qui guident presque la manière d’agir par rapport { une énorme variété de domaines, de buts,… Alors que attitudes, … par rapport aux médias, proches,… Croyances et valeurs

| | | |Introduction |1 | | |Section 1 : Analyse des impacts potentiels du PNDCC |2 | | |

terme « société », quant à lui, vient de « socius » qui correspond aux mots compagnon ou associé. Au sens large, une société est un ensemble d'individus entre lesquels existent certains liens, certains échanges qui peuvent être fixés par un héritage culturel transmis par l'éducation, un langage, une morale dans le cas des sociétés humaines. Une société peut-elle se passer de religions? Ainsi la religion est-elle une caractéristique de la société? Ou est-ce simplement une composante? Dans ce cas, serait-il

si l’homme est capable de maintenir stable son milieu interne quelles que soient les conditions externes ou les agressions de l’environnement. Lorsque la personne perd cette faculté d’autorégulation, son équilibre se dérègle et elle court alors de grands dangers: troubles, maladies et mort. A la même époque, le physiologiste belge Frédéricq écrit que l’être vivant est tel que toute influence perturbatrice provoque elle-même une activité compensatrice destinée à neutraliser ou à porter remède à cette