Grade maçonnique

passions, pour soumettre nos volontés et pour faire de nouveaux progrès en Maçonnerie. Et c’est le but de cette Planche sur le Pavé Mosaïque, que de pouvoir progresser grâce à vos remarques, à vos critiques et à vos conseils et pouvoir prétendre au Grade de Compagnon. Je me suis tout d’abord interrogé sur l’étymologie et la définition des deux mots qui composent Le Pavé Mosaïque. Un pavé : c’est un bloc généralement cubique, fait de pierre dure, spécialement taillé pour confectionner une chaussée

Ce sont : Le maillet et le Ciseau au 1er voyage, La Règle et le Levier au second, Le Fil à Plomb et le Niveau au 3e et l’Equerre au 4e voyage. Il est à noter que trois de ces sept outils ne me sont pas inconnus, car déjà rencontrés et utilisés au grade d’App.°. . Pour ces outils anciens comme nouveaux, je voudrais ici en dégager la portée symbolique, en tentant d’extérioriser l’usage que j’en fais permettant mon perfectionnement. Lors du 1er voyage il m’est remis le Ciseau et le Maillet, outils

car ils interfèrent fondamentalement dans les domaines scientifiques, culturels et sociologique tout en interpellant la conscience, la philosophie et le sentiment religieux. Par ailleurs, ils sont inclus d’une manière implicite dans les rituels maçonniques puisqu’ils structurent comme nous le verrons par la suite la démarche initiatique et façonnent le langage symbolique. Il y a donc au moins deux bonnes raisons intellectuelles de s’intéresser à une telle étude. Mais au-delà du plaisir d’entreprendre

Microsoft Word - Doc de présentation.docxA la Gloire du Grand Architecte de L'Univers VM et vous tous mes F en vos degrés et qualités Le présent morceau d'achitecture porte sur le symbole de la lettre G Lors ma cérémonie d'initiation au grade de compagnon et juste après le cinquième voyage initiatique, qui s'est terminée par le dévoilement de l’inscription « Gloire au travail » J'ai vu le grand symbole du compagnon, l'étoile flamboyante avec la lettre G en son centre. depuis je continue

Mozart entre en franc-maçonnerie dans la Loge de la Bienfaisance, et accède au grade de maître, le 13 janvier 178518. Très épris des idéaux de la maçonnerie, il écrit par la suite plusieurs œuvres pour ses frères maçons, dont Die Maurerfreude (La joie des maçons, K 471) en février 1785, la Maurerische Trauermusik (Musique funèbre maçonnique, K 477) en novembre 1785, et surtout, en 1791, La Flûte enchantée (dit opéra maçonnique) KV 620, qui serait une transcription de l'initiation à la franc-maçonnerie

personnels les plus cuisants. La tentation est continuelle de laisser tomber, d’abandonner, de se contenter d’un simple paraître en lieu et place d’apprendre à «être ». Il est essentiel d’être bien entouré, car c’est dans cette période que le travail maçonnique va s’accomplir seul. Avec ses Frères, mais seul.  Les échanges dans le temple peuvent paraître des confrontations. Mais en enlevant leur caractère « positionnel » et leur tendance issue d’une systématique, ou de la défense de quelque chose (valeurs

D. L. U Vénérable Maître, et vous tous les frères, en vos degrés et qualités, « Les 4 éléments », tel est le travail qu’il m’est donné de traiter pour parfaire mon approfondissements des symboles maçonniques. Ces 4 éléments sont, pris dans l’ordre des voyages du rituel d’initiation au grade d’apprenti, la terre, figurée par le cabinet de réflexion, l’air, matérialisé par un courant d’air sur le visage de l’impétrant, l’eau, avec l’immersion de la main, mais aussi par le breuvage au trois

Constitutions de 1723 et le chapitre 1 des Obligations qui propose aux maçons de se réunir sur la base commune d'une pratique éthique universelle qu'on appelle la religion naturelle. Le Compagnon lui assume, seul, face à un des symboles majeurs de son grade. Cette solitude m’a amené à m’interroger sur ce symbole auquel il nous est demandé de réfléchir et je me suis surtout attaché à la lettre G qui en est le centre, dans notre loge et au rite moderne en général. Car comme vous le savez, au rite Emulation

cette dernière : la transmission de la Lumière lors de l’initiation. 1- L’Épée au REAA : Présente en Loge depuis une époque récente, l’Épée Flamboyante a-t-elle une légitimité ? Si des représentations du XVIIIè siècle de cérémonies maçonniques montrent des Frères maniant des épées, celles-ci sont à lame droite. L’Épée Flamboyante, caractérisée par une lame de forme ondulée, semble n’apparaître qu’au XIX è siècle sur le plateau du Vénérable Maître au Rite Écossais Ancien et Accepté.

l’harmonie ? Et n’était-ce pas là le moyen de se chercher lui-même ? Nous l’avons vu en tenue de formation des apprentis, disons qu’aujourd’hui ce serait un rappel, le Tapis de loge schématise presque les symboles et emblèmes nécessaires au travail maçonnique. Il est composé de ces formes géométriques qui vont accompagner en permanence, le maçon sur le chemin initiatique. Il est l’une des bases importantes de nos recherches. Historiquement, ce tapis symbolise le Temple qui jadis, fut élevé à Jérusalem