Gogol

celles d’auteurs français ou étrangers : Honoré de Balzac, Victor Hugo, Alexandre Dumas, Prosper Mérimée, George Sand, Théophile Gautier, Gustave Flaubert, Guy de Maupassant, Emile Zola ; E. T. A. Hoffmann, Alexandre Pouchkine, Edgar Allan Poe, Nicolas Gogol, Charlotte ou Emily Brontë, Ivan Tourgueniev. 3. Poésie : le lyrisme Le professeur fait lire des poèmes d’époques variées empruntés par exemple aux auteurs suivants : - Moyen Age : Rutebeuf, François Villon ; -XVIe°siècle : Louise Labé, Joachim du

l'homme. » 46. GIRARDIN Delphine de : «  La vérité est dans le rire. » 47. GLASGOW Arnold H. « Le rire est un tranquillisant sans effets secondaires. » 48. GOGOL Nikolaï, Le Dénouement du Révizor : « Rendons  au rire  son  authentique  signification ! Enlevons-le à ceux qui en font une raillerie sacrilège, frivole et mondaine ! » 49. GOGOL Nikolaï, Le Dénouement du Révizor : « Il n’y a qu’une âme profondément bonne à pouvoir rire d’un bon rire clair. » 50. GONCOURT Edmond et Jules, Journal : « 

orthodoxie des derniers classiques. La suite de leur carrière les montra détachés plus complètement du romantisme, en réaction parfois contre lui, ou n'en gardant que les conquêtes les moins contestées. Ainsi Stendhal, Mérimée, Sainte-Beuve, Manzoni, Gogol, Tegner. Ainsi, la couleur locale est un ingrédient romantique, mais Mérimée en usa avec beaucoup de mesure. Il introduisit quelques mots espagnols ou gitans, utilise sa connaissance de ces langues juste assez pour créer une impression de vérité

n'importe où: l'auteur explique que l'on peut lire n'importe où en prenant l'exemple d'un soldat qui pour lire se désigne chaque matin pour nettoyer les toilettes afin d'y lire l'œuvre intégrale de Nicolas Gogol 8.Le droit de grappiller: ce droit explique que l'on peut commencer un livre à n'importe quelle page si l'on ne dispose que de cet instant là pour lire. 9.Le droit de lire à haute voix: Daniel Pennac

villages (1981) ou L’Angoisse du gardien de but au moment du penalty (1970) Elfriede Jelinek, Lust (1989) ou La Pianiste (1983) Bernhard Schlink, Le Liseur (1995) W.G. Sebald, Austerlitz (2001) Russie Pouchkine, La Fille du capitaine (1836) Gogol, Le Nez (1836) 6 *Dostoïevski, Crime et châtiment (1866) *Tolstoi, La Guerre et la paix (1868/69) ou Anna Karénine (1875-1877) Tchekhov, La Mouette (1895/96) ou Les  Trois  Sœurs (1901) ou La Cerisaie (1904) Marina Tsvetaïeva, poèmes (années

Chaplin, Jean Gabin, Humphrey Bogart, Greta Garbo, Marlene Dietrich, Edith Piaf), le réalisateur parsemant son scénario avec des références littéraires même dans autres scènes du film, ce qui relève de l’intertextualité (référence au personnage de Gogol, Khlestakov ; à Nastasia Filipovna, la protagoniste de L’Idiot de Dostoïevski ; à Tchekhov, à Ibsen et à Cioran, mais sur cet aspect-là on reviendra un peu plus tard). Pendant cet échange de répliques éblouissantes sur les 1.2.2. (ou les bordels) entre

    Penac   Jean  Echenause  à  Le  plan  d’occupation  des  sols   Henri  Bauchau  à  tous   Zoé  Valdes     Nancy  youston  à  l’empreinte  de  l’ange   Dotwoyostki   Gogol       Guewrswinn  et  berstein   Chostakowitch         www.seritheque.com         

Amsterdam (1932), où il découvre Rembrandt. Ses œuvres majeures révèlent alors une profonde connaissance des textes, servie par un style narratif, libre et mobile. Il illustre trois livres monumentaux commandés par Ambroise Vollard : les Âmes mortes de Gogol, les Fables de La Fontaine et l’Ancien Testament. Son œuvre gravée prend alors une importance égale à sa peinture. Son œuvre prend un tour dramatique et menaçant peu avant le début de la Seconde Guerre mondiale avec des toiles comme la Chute de

l’auteur : Akhmatova A., Poèmes sans héros (1940-1965), éd. Jeanne Rude, Seghers, 1970. Akhmatova A., Requiem et autres poèmes 1909-1963 éd. Henri Deluy, Tours, Farrago, 1999. Lectures parallèles, éclairages poétiques : Pétersbourg fantastique : Gogol, Le Journal d’un Fou, Le Manteau et autres nouvelles, éd. G. Nivat, Folio, 1979. Dostoïevski, Le Double, Gallimard, 1980. Boulgakov, Le Maître et Marguerite, avec introduction de S. Ermolinski, Le Livre de Poche, 1968. Du classicisme pétersbourgeois

onirique autorise des débordements, des digressions, le seul vecteur d’ordonnancement de la pensée étant le délire du narrateur. On trouve beaucoup d’exemples littéraires de cette construction de l’œuvre (cf. le titre éloquent Journal d’un fou de Gogol)La structure en circonvolutions : au-delà de la structure chronologique c’est ainsi plutôt la structure onirique qui prédomine dans cet incipit. Et cette intrusion du délire, du cauchemardesque dans le réel, entraîne un effet de boucles, de répétitions