Glaive Epee

(territoire) c'est la doctrine des deux glaives (épée large) : Le pape considère qu'il a reçu de Dieu deux glaives, le glaive spirituel et le glaive temporel. Le pape a conservé le glaive spirituel et à confié le glaive temporel à l'empereur. Avec cette doctrine l'empereur tient son pouvoir du pape il doit rendre compte de son action au pape et le pape doit approuver sa désignation et ainsi le pape peut retirer a l'empereur son pouvoir (il reprend le glaive temporel pour le confier a qui il veut)

qui renvoie au passé : « La lumière a giclé sur l’acier et c’était comme une longue lame étincelante qui m’atteignait au front. (…) Je ne sentais plus que les .cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C’est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m’a semblé que le ciel s’ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir

des deux glaives illustre parfaitement ce point de vue de l'augustinisme politique. Elle repose sur un passage de l'Evangile de Saint Luc qui se situe au moment où le christ part pour le Mont des Oliviers. Dans l'Evangile, il est dit que les apôtres disposent à ce moment de deux glaives et jésus leur dit que c'est suffisant. Elle repose aussi sur un passage de l'Evangile de Matthieu où il est dit que le Christ, une fois arrivé au Mont des Oliviers, est arrêté par Judas. Pierre sort son glaive et coupe

car trouble de vision de M. Le pers est comme aveuglé : « Mais yeux étaient (…) sel » « avait l’air »L33 « Il m’a semblé »L50. La luminosité est source de confusion elle ne permet pas de mieux percevoir. Explique transformation du couteau en épée puis en glaive. Transformation fait croire à M qu’il est agressé. Terme lumière et soleil très présent comme pour l’accuser. La chaleur trèsprésente condit elle aussi au meurtre. Verbes d’actions insistent sur son influence néfaste sur M : « se débarrasser

Là-bas se trouvaient sept anges, dont un qui tenait une épée argentée dans la main. Il me dit: « Retourne chez toi pour l’ouverture des sept sceaux qui ont été donnés ». Et cela concerne: le vrai mystère sur le mariage et divorce, la semence du serpent et toutes les autres choses à propos desquelles il y avait tant de confusion. C’est A S ». (Le Sceau de Pâques, 10 avril 1965). 9 « Je me tenais debout, les mains élevées et priais, lorsqu’une épée me tomba dans la main. Vous savez cela. Je me tenais

sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir

dans leur course arrêtés; Tels que des champs de l'air tombent précipités Des oiseaux tout sanglants, palpitants sur la terre. Le fer atteint d'Havré; le jeune d'Aubeterre Voit de sa légion tous les chefs indomptés Sous le glaive et le feu mourants à ses côtés. (…) O combien de vertus que la tombe dévore! Combien de jours brillants éclipsés à l'aurore! Que nos lauriers sanglants doivent coûter de pleurs! Ils tombent ces héros, ils tombent ces

l’arrêt détestable, cruel. Nous sommes tous perdus, et c’est fait d’Israël. ESTHER Juste ciel ! tout mon sang dans mes veines se glace. MARDOCHÉE On doit de tous les Juifs exterminer la race. Au sanguinaire Aman nous sommes tous livrés. Les glaives, les couteaux sont déjà préparés. Toute la nation à la fois est proscrite. Aman, l’impie Aman, race d’Amalécite, A pour ce coup funeste armé tout son crédit ; Et le Roi, trop crédule, a signé cet édit. Prévenu contre nous par cette bouche impure

panse(partie renflée) lourde et l’ esprit nuageux. 31. Le lendemain; pendant la cérémonie dans la cathédrale, lorsque Louis de Bourbon, grand chambrier de France, ayant chaussé le roi des bottes fleurdelisées, appela le comte de Flandre pour présenter l’ épée, ce dernier ne bougea pas. 32. Mais Phillipe méprisa ce manant(rustre) qui prenait des manières de prince, et fit répondre aux Flamands qu’étant gens sans chef ils auraient à se défendre comme ils pourraient. 33. En attendant, quiconque avait

transforme les règles du jeu guerrier. Les vieilles armées sont submergées par ces forces d’un genre nouveau qui manient à la fois masses et idées. La politique exacerbe « la guerre dont le terrible glaive qu’il faut saisir à deux mains pour frapper un coup et un seul, écrit Clausewitz, devient une épée maniable et légère, parfois un simple fleuret ». Certes, le hobereau prussien n’a pas de sympathie particulière pour l’effervescence populaire. Il en constate néanmoins les effets avec les bandes espagnoles