Gilles Fouquet

l’Académie Française. Corneille connait son premier échec avec la tragédie Pertharite (1651), il s’éloigne de sa passion du théâtre. Il se consacre alors à la traduction en vers français de l’imitation de Jésus Christ. Sous les conseils de Nicolas Fouquet (surintendant des finances), corneille reprend la plume et connait un dernier grand succès avec Œdipe en janvier 1659. Les pièces qui suivent sont globalement mal reçues et poussent Corneille à se retirer du théâtre en 1674. Il meurt 10 ans plus tard

grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure ses contes licencieux. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des

comment perdre sa noblesse Lorsque le noble est condamné à une peine, il porte atteinte à la dignité de l’ordre et est déchue de ses droits de noble, à tel point qu’il en devient la honte de la noblesse comme le surintendant des finances Nicolas FOUQUET qui a en 1661 été destitué pour malversations et qui aurait selon Paul Lacrois été caché de tous sur l’ile Sainte Marguerite masqué d’un célèbre masque de fer. La dérogeance est (a contrario de la déchéance) temporaire, c’est la suspension des privilèges

Jean-Baptiste Colbert (29 août 1619 6 septembre 1683, Paris) fut contrôleur général des finances de France de 1665 à 1683. Il entre au service du roi de France Louis XIV, à la mort de son protecteur Mazarin. En concurrence avec Fouquet, il pousse le roi à disgracier son rival. Inspirateur et promoteur d'une politique économique interventionniste, le colbertisme, selon laquelle il convient de favoriser activement le développement du commerce et de l'industrie en France par la création de fabriques

1659, et un po�me: Adonis qu'il offrit � Nicolas Fouquet, alors surintendant des finances. Il entra � cette �poque au service de Fouquet. Il lui d�dia 'le Songe de Vaux', ainsi qu'une trentaine de po�mes qu'il devait donner, par contrat, au surintendant. Au moment de la chute de Fouquet, La Fontaine resta son plus fid�le d�fenseur. Il �crivit � cette occasion 'l'ode au roi' et surtout l'admirable '�l�gie aux nymphes de Vaux. Cette fid�lit� � Fouquet lui valut rapidement la haine de Colbert, puis

Fontaine publie une comédie, l’Eunuque, une traduction de l’Eunuque de Térence. La Fontaine cherche un mécène. 1657 La Fontaine est présenté à Nicolas Fouquet, surintendant des Finances. C’est lui qui va pensionner La Fontaine. Il commence alors à fréquenter les salons et s’installe à Vaux-le-Vicomte. 1661 Louis XIV, jaloux de Fouquet, le révoque. Fouquet est arrêté et emprisonné. La Fontaine le défend dans une Ode au roi (1663). Il écrit également son Élégie aux nymphes de Vaux. 1664-1678 La Fontaine

Fables. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale, pour une raison simple c’est qu’il est ami avec Nicolas Fouquet, mais il fréquente tout de même les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions. Il rentre aussi à l'Académie française en 1684. Il s’inspire des fabulistes de l'Antiquité gréco-latine et en particulier d'Ésope et qu'il

Charles Perrault est née à Paris le 12 janvier 1628. Il fait de brillantes études. Licencié en droit, il devient avocat au barreau de Paris en 1651. Il suivra une double carrière, littéraire et politique. Charles Perrault se fait remarquer par des poésies galantes et des écrits précieux. Vers 1660, il écrit des poèmes intitulés Le Miroir ou la métamorphose d’Orante et La Chambre de Justice d’amour. En 1653, il publie sa première œuvre : Les Murs de Troie De 1654 à 1664, il devient commis dans

mécène, seule possibilité à l'époque pour un écrivain de vivre de sa plume. Jannart, l'oncle de sa femme, le présente en 1657 à Nicolas Fouquet, le très puissant surintendant des Finances. Alors commence une période heureuse et féconde où le poète - savoureuse et prophétique plaisanterie - paie une « pension poétique » au protecteur qui le pensionne. Fouquet intègre son nouveau protégé au petit groupe d'artistes chargés d'embellir et de célébrer son domaine de Vaux, dont la magnificence sert

Emmanuel KANT, philosophe allemand 1724-1804. L’un des grands penseurs des Lumières Anthropologie du point de vue pragmatique, 1798 Ouverture : «  Posséder le Je dans sa représentation : ce pouvoir élève l’homme infiniment au dessus de tous les autres êtres vivants sur la terre. » Le Je, c’est l’affirmation de soi, et c’est également ce qui différencie l’homme des animaux. La capacité de dire « Je », c’est ce qui fait l’homme. Fin : « Auparavant il ne faisait que se sentir et maintenant