Gervaise Personnage Naturaliste

réaliste et naturaliste -1er extrait : Contexte: Septième roman du cycle des Rougon-Macquart, L’Assommoir paraît dans le journal Le Bien public en feuilleton en 1876 et en volume en 1877. Il suscite des réactions passionnées. A gauche, le roman apparaît comme un mauvais coup porté au peuple très défavorablement décrit. A droite, c’est la langue du roman qui choque et la presse conservatrice dénonce la « pornographie » de Zola. Mais les jeunes romanciers qui forment l’école naturaliste et publieront

l'écrivain naturaliste Emile Zola. Ce roman traîte de la condition ouvrière en pleine révolution industrielle. Cet extrait dépeint une scène populaire très réaliste dans un cabaret où un homme et une femme, Coupeau et Gervaise, se retrouvent. Cependant, le regard de l’auteur ne se limite pas a une description objective mais prend aussi une dimension romanesque et métaphorique. Nous allons donc étudier à travers cet extrait très réaliste de son roman, comment Zola, représentatif du courant naturaliste, ne

L'Assommoir Emile Zola (1840-1902) Chapitre 2 : Les désirs de Gervaise Introduction Après une enfance pauvre et une adolescence marquée par son échec au baccalauréat, Zola travaille chez Hachette et se met à écrire. Il publie des contes et quelques romans, et commence, avec “ L’Assommoir (1877) “, la vaste fresque des Rougon-Macquart, Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second-Empire ». Zola est un auteur naturaliste dont le principe est d’observer les membres d’une même famille

V. Personnage principaux, portrait physique et moral.  Relever pour chacun des personnages principaux, des extraits significatifs pour présenter leur portrait physique et moral. - Gervaise - Lantier - Coupeau - Goujet - Virginie - Claude - Etienne - Nana GERVAISE : « Elle était une belle est brave femme » Page 52. Ici, on décrit le physique ‘belle’ et le moral ‘brave’ de Gervaise. « Gervaise n’avait que vingt-deux ans. Elle était grande, un peu mince, avec

EMILE ZOLA L’ASSOMMOIR Zola : chef de file auteurs naturalistes. Expose théorie dans plusieurs romans dont Roman Expérimental. Thèse naturaliste : utilisation sciences contemporaines : travaux Claude Bernard et traités Dr Lucas. Données scientifiques (médicales, physiologie, biologie) surtout hérédité, Zola raconte fictions en montrant vie personnages = résultat 2 déterminismes : hérédité et milieu social. Etudes « sociologiques » de son temps. Tous romans Zola pas partie mais essentiellement

Roman naturaliste sur le petit peuple, ave utilisation des temps du passé-simple et de l’imparfait. D’abord, Gervaise par qui la scène est perçue, resta à l’écart comme dit ici dans le texte  « Gervaise, pour ne pas se faire remarquer, prit une chaise et s’assit à trois pas de la table »,elle reste à l’écart pour observer la scène mais aussi sûrement pour espionner une personne (certainement son amant Auguste Lantier). Elle assiste à une scène très désagréable pour elle car Gervaise est témoin

texte en trois temps : - c'est d'abord Gervaise qui regarde avec étonnement et crainte cet objet extraordinaire.(l.1 à 9) - Puis elle est relayée par Mes-Bottes, camarade de Coupeau, qui représente l'opinion de l'alcoolique (l. 9 à 17). - Enfin, on revient dans une troisième partie à un point de vue moins nettement situé : c'est sans doute Gervaise qui rêve, mais c'est aussi Zola qui pose son regard visionnaire sur la machine monstrueuse.(l.17 à 22) Gervaise éprouve d'abord un sentiment de curiosité

quotidienne : Gervaise Macquart va « prendre une prune » avec un ouvrier (texte 1), Etienne Lantier découvre le « Voreux », le plus grand puits d’une mine de charbon. Il s’agit donc ici de deux univers réalistes dans lesquels les personnages vont évoluer. Toutefois, nous nous demanderons si ces deux extraits sont bien plus que réalistes. Pour répondre à cette question, nous étudierons tout d’abord les procédés du réalisme puis nous montrerons que ces textes sont aussi naturalistes. (Sauter deux

d’habileté. Comment le regard de Gervaise transforme-t-il le portrait de Gueule d’or ? Nous sommes d’abord invités à saisir la grandeur du travail manuel du forgeron; cette leçon est renforcée par le regard Gervaise qui, amoureuse de « la Gueule d’Or », colore le spectacle de son affectivité ; enfin, la description perd tout caractère réaliste pour atteindre la dimension d’une vision épique. * * * Tout d’abord, nous entrons avec Gervaise dans la forge et sommes

indications entre en composition avec une exigence caractéristique du roman naturaliste qui veut que le narrateur s'efface et donne l'impression que les faits sont livrés en toute objectivité. L'ouverture est remarquable par la place qu'elle octroie à la description. Celle-ci marque bien l'effacement du narrateur au profit d'une délégation au point de vue du personnage. 1. Un début de roman 2. La description naturaliste 3. Une évocation symbolique Extrait du document: Le premier mot du texte