Gergovie

Bretons, jusqu'alors inconnus, les vainquit, et en exigea des contributions et des otages. Au milieu de tant de succès, il n'éprouva que trois revers: l'un en Bretagne, où une violente tempête faillit détruire sa flotte; un autre en Gaule, devant Gergovie, où une légion fut mise en déroute; et le troisième sur le territoire des Germains, où ses lieutenants Titurius et Aurunculeius périrent dans une embuscade. Suétone, Vie de César, XXV – vers 120 César (…) sans perdre de temps (…) marche

tombale en hommage à la Division Charlemagne. Références Bishop, Chris. SS Hitler’s Foreign Divisions: Foreign Volunteers of the Waffen-SS 1940-1945. London : Amber Books, 2005. Forbes, Robert. Les Volontaires français de la Waffen-SS. Editions Gergovie, 1998 ; L’Aencre, 2005. Giolitto, Pierre. Volontaires français sous l’uniforme allemand. Paris : Librairie académique Perrin, 1999. Notin, Jean-Christophe. Leclerc. Perrin, 2005. Trigg, Jonathan. Hitler’s Gauls: The History of the 33rd Waffen

les régions septentrionales de la Celtique, on assiste, au IIe-Ie siècles, au développement rapide de grandes agglomérations (de 100 à 300 hectares voire plus) à l’initiative probable de l’aristocratie gauloise. Les fouilles récentes des oppida de Gergovie, de Corent et de Bibracte apportent chaque année une moisson de découvertes qui renouvellent notre approche de la société gauloise. Ces oppida regroupaient des activités artisanales, commerciales et agricoles. 1 L’archéologie aérienne a mis en évidence

organisant le territoire qu'elles dominent de véritables agglomérations fortifiées par des murailles épaisses de plusieurs mètres installées sur des collines du fait de nombreuses guerres entre peuples celtes, ce sont des oppida (un oppidum) : Alésia, Gergovie, Bibracte, Entremont … Conclusion : une société riche, prospère, cultivée, et divisée ; elle n'a de « barbare » que le nom que lui ont donné les grecs et romains, le barbare étant celui qui ne parle pas romain ; fouilles et découvertes actuelles

des Arvennes, puissante confédération des Gaules dont Vercingétorix était le roi au moment de l’invasion romaine. Les Arvennes était la tribu la plus riche de la Gaule antique. Un des hauts lieux historiques d’Auvergne est celui de la bataille de Gergovie, qui serait situé à douze kilomètres de Clermont-Ferrand, où Vercingétorix battit Jules César en 52 av. J.C. . A l’époque féodale, l’Auvergne est disputée entre Francs et Aquitains, le comté d’Auvergne couvre au Moyen-âge les actuels départements

le siège de la Confédération Générale du Patronat Français et celui de l’Union des Industries Métallurgiques dans le but de faire accuser les communistes. Deux gardiens de la paix en faction décèdent. Qui a monté le coup ? L’Union des Enfants de Gergovie, groupe de Clermont Ferrand lié à la Cagoule, dont Pierre Michelin est chef de section. Maurice Duclos, cagoulard et futur proche de De Gaulle, a fourni les explosifs. La presse de droite détourne l’attention et tonne contre syndicalistes, communistes

ne s'arrête pas là, il bat plusieurs peuples comme les Belges. Cependant, Jules Cesar rencontre une forte résistance en Auvergne. En – 52, la plupart des peuples gaulois se soulèvent sous l'autorité de Vercingétorix, qui est finalement battu à Gergovie. Cesar obtient la reddition des Gaulois à Alesia. La conquête de la Gaule est achevée en 50 avant J.C. Grâce aux victoires qu'il a remportées, Jules gagne enfin une véritable popularité auprès du peuple romain. Il prend soin de les raconter, ses

de la France, devient Napoléon III et Chassériau peint « La Défense des Gaules ». Chassériau a accompagné sa toile d’un texte traduit du livre VII de la « Guerre des Gaules » de César : « Commandés par Vercingétorix, les Gaulois repoussent de Gergovie les légions de César. Leurs femmes échevelées les implorent, montrant du haut des remparts leurs enfants et les excitant au combat » . Le choix de ce thème n’est pas anodin. Napoléon III, passionné d’antiquités gallo-romaines, cherche à insuffler

Eburons (Belges) d'Ambiorix qui, d'abord victorieux, sera vaincu. - 52 : soulèvement général de la Gaule. Massacre de commerçants romains à Cenabum (Orléans). Vercingétorix dirige la résistance. Politique de la " terre brûlée ". Echec romain devant Gergovie. Siège d'Alésia  soumission des Arvernes et des Eduens. - 51 : défaite finale à Uxellodunum.

| |nous arrêter à quelques objections que souvent nous avons entendu soulever. | |La population de Bibracte abandonnée, a dit un archéologue dans une lecture publique, fut | |transportée violemment, comme celle de Gergovie, de l’ancienne capitale celtique, dans la | |nouvelle ville d’Augustodunum fondée par Auguste. — Il ne faut, assurément, guère connaître le | |caractère de cet empereur et n’avoir jamais étudié ni réfléchi sérieusement à ce que ses