Gérard Miller

du Club Med Le Club Med a été fondé après la deuxième guerre mondiale à l’initiative de deux anciens résistants : un athlète diamantaire belge et un entrepreneur communiste français. L’aventure commence en février 1950, lors des vacances du belge Gérard Blitz dans un village de tentes près de Calvi en Corse. Issu d’une famille de diamantaires, il avait été l’un des rares athlètes à s’être distingué dans deux disciplines : la natation (recordman du monde du 400 mètres dos de 1921 à 1927) et le waterpolo

Gérard, Paul, Louis Mulliez est né à Roubaix le 13 mai 1931, c’est un homme d’affaires, c’est la deuxième plus grande fortune professionnelle de France (19 milliards € en 2010). Fils de Gérard Mulliez (le père et le fils ont le même prénom ndlr) qui lui, était dirigeant de l’entreprise de textile Phildar (prêt-à-porter féminin). Après avoir fait ses études au Mayfield College en Angleterre où il a étudié la technologie ainsi que les Affaires, le voilà qui rejoins l’entreprise familiale en 1954

de films d’époque que les historiens du cinéma ont regroupé (en référence au concept anglais d’heritage film) sous le terme de "fictions patrimoniales", aux côtés par exemple de Cyrano de Bergerac (qui partage la distribution de Tous les matins… : Gérard Depardieu, Anne Brochet) ou Germinal (par le même directeur de la photographie, Yves Angelo, plus tard réalisateur du Colonel Chabert). Ceux-ci, comme l’expliquait Raphaëlle Moine dans un article de Textes et documents pour la classe ("La fonction

représentants Théâtre : Alfred de Musset : lorenzaccio (1834) Victor Hugo : Hernani (1830) Alfred de Vigny : Chatterton (1835) Poésie : Alphonse de Lamartine : Le lac, L'isolement (poèmes de Les Méditations, 1820). Goethe : Petite rose Gérard de Nerval : Les chimères (1854) Littérature : Victor Hugo : Notre-Dame de Paris (1831) Chateaubriand : René (1802) George Sand : Indiana (1832) Rousseau : Les Rêveries du promeneurs solitaire (1776-1778) Musique : Hector Berlioz : La

l’indécision la plus déconcertante obscurcissent les éléments qui pourraient nous servir de base pour expliquer logiquement la vie et l’œuvre de Gérard de Nerval. Il se peut que la confusion des sources soit l’image de la vie même du poète. Le panorama que nous laissent contempler les éclaircies entre les brumes donne la ferme impression qu’on ne saurait attribuer à Gérard le caractère bucolique et paisible sous lequel il apparaît dans Sylvie ou dans les Chansons et Légendes du Valois. Aurélia même, avec son

du Corrège, une femme du Titien, une adoration de Véronèse, une assomption de Murillo, un portrait d’Holbein, un moine de Vélasquez, un martyr de Ribeira, une kermesse de Rubens, deux paysages flamands de Téniers, trois petits tableaux de genre de Gérard Dow, de Metsu, de Paul Potter, deux toiles de Géricault et de Prud'hon, quelques marines de Backuysen et de Vernet. » (chapitre IX) Dans L'interprète grec de Sir Arthur Conan Doyle, Sherlock Holmes se déclare être descendant par sa grand-mère de

consacrer uniquement à sa demande initiale, la musique. Les deux œuvres sont polyphoniques, jouent avec les sons et les silences, et créent ainsi ambiance et personnages. Par ailleurs, le film se distingue du livre par son début et sa fin où Marin Marais (Gérard Depardieu) fait alors la confession de son attitude égoïste passée aux côtés de son maître M. De sainte Colombe. Il est alors la voix off durant toute l'œuvre d’Alain Corneau. Tous les matins du monde (1991) raconte l’histoire d’un musicien, Monsieur

place au vide, à la souffrance et à l'attente de la mort pour retrouver l'être aimé. La mort est donc parfois vue comme une libération, la vie qu'ils considèrent comme étant dure et violente. La vie, ce combat permanent touche enfin a sa fin. Gérard de Nerval nous l'explique dans son poème dans les bois, en nous racontant l'histoire d'un oiseau qui après avoir passé sa vie à chanter trouve du réconfort en hiver dans la mort. Victor Hugo dans son fameux poème « veni, vidi,vici » nous expose le

Le discours directe décèle a la p.52 " veuf! être veuf! je suis le veuf!" ressort comme un lamento d'autant que le personnage ressasse sa mélancolie qui signifie bile noire. Bien plus cette jérémiade fait écho au vers liminaire du poète symboliste Gérard de Nerval, "El destichado" : Je suis le Ténébreux -le Veuf-l'Inconsole" ensuite nous remarquons également le discours a l'indirect libre qui permet l'introspection p.53 ;" 10 années de bonheur passe ... Monologue intérieur qui exprime la douleur

Gérard de Nerval, né en 1808 et mort en 1855, est un poète romantique. Tiré du recueil Odelettes, paru dans les années 1830, « Une allée du Luxembourg » est un très bref poème composé de trois quatrains d’octosyllabes à rimes croisées. Il a été écrit en 1833, alors que Gérard de Nerval n’avait que 25 ans. Dans ce poème, le poète évoque, avec gaieté d’abord, puis avec une douloureuse mélancolie la rencontre avec une jeune fille gâchée par le temps qui passe. Mais comment le poète a-t-il su rendre