Geopolitique Du Tibet

Ces régions fut disputé suite à la guerre de 1962, cette terre qui n’a pas de richesse a proprement parlé est un territoire parfait pour contrôlé les deux grandes régions qui oppose des conflits de souveraineté en chine : le Xianyang à l’est et le Tibet à l’Ouest. Par conséquent grâce à ce lieu la Chine peut mieux les annexé et contrôlé ces provinces grâce à une technique d’endiguement. Face à la nonchalance de ses alliés c’est à ce moment que l’Inde à décider de ne plus compté sur ses alliés mais

dirigeant du parti et le marxisme-léninisme. Le gel politique est confirmé par l’écrasement en 1989 du « deuxième printemps de Pékin » et la répression sanglante des étudiants rassemblés sur la place Tian’anmen. Les dissidents, comme les autonomistes du Tibet ou d’Asie centrale, restent traqués par le régime, emprisonnés, condamnés au silence ou à l’exil. VI) La Chine en 2010, deuxième puissance économique mondiale A- La montée en puissance de l’industrie 1- L’afflux massif des capitaux étrangers

administration directe. 1.2. Nehru, leader des pays non alignés La politique extérieure de l'Inde sous Nehru est d'abord active et originale. Sa politique de coexistence pacifique, énoncée pour la première fois lors du traité sino-indien sur le Tibet en 1954, aboutit à la doctrine dunon-alignement, qui tente de créer, à l'époque de la guerre froide, un vaste ensemble anticolonial de pays pacifiques et neutres face aux zones d'influence des deux blocs américain et soviétique. Les vues de Nehru sont

affaires étrangères. Marie Claude Smouts → Professeur à science politiques à Paris. André Fontaine → ancien directeur du Monde. Max Gounelle → Professeur à Toulon. ( Voir polycopier ) Introduction : relations internationales géopolitiques, droit international public Relations internationales inter-étatique et relations internationales contemporaines Aujourd'hui les relations internationales ne sont plus seulement des relations entre les états mais transnationales. a

. . . . . . . . . . . . 83 Échanges . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95 Production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111 SE REPÉRER EN GÉOPOLITIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135 Environnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137 Mondialisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145

sa décolonisation, les Pays-Bas s’y sont résigné, la France a tenté d’y résister après la frustration engendrée par l’humiliation de la guerre. * L’Inde obtient l’évacuation de la Grande Bretagne en 1947 de manière pacifique * Annexion du Tibet par la Chine en 1950. * En Malaisie longue insurrection communiste. * L’Indochine est la colonie où la bipolarité va provoquer la guerre la plus longue. Les combats commencent en 1946, tournant bipolaire en 1950, la situation dégénère à Diên

capitaliste (= colonisation) Analyse du phénomène d’hégémonie (Jouve) = monde divisé entre un « centre » (pays riches) et une « périphérie » (pays pauvres) (S. Amin) Mais analyses réductrices (= facteur économique privilégié) b) les analyses géopolitiques Géopolitique = étude la manière dont l’Etat se sert de son espace (approche dynamique) 1916 – Ratzel : espace, source de puissance pour l’Etat = position centrale favorisant le rayonnement (vision anthropomorphique) Même époque - Ecole anglo-saxonne

l'eau de pluie : pas obligatoirement consommable mais elle peut servir d'autre utilisations. C'est une question géopolitique et économique. A l'échelle de la Terre, 200 bassins fluviaux sont partagés entre Etats. Exemple du Tibet : actuellement province chinoise qui représente une réelle richesse, c'est un château d'eau : 10 grands fleuves asiatiques prennent leur source dans le Tibet. Code d'Hammourabi : nom d'un roi de Babylone (actuel Irak). Plus ancien code juridique que nous connaissons (vers

mondialisation, dans sa phase de globalisation financière depuis le tournant de 1989-1991, ne cessent d’alimenter le questionnement sur la complexité, l’inéluctabilité, voire la brutalité des recompositions actuelles. Certains analystes redoutent une géopolitique du chaos, l’émergence d’un nouveau monde où il apparaît qu’il est nécessaire de composer avec une certaine « post-américanisation », un monde où les volontés de puissance ne cessent de se réinventer, modelant de nouveaux centres, marginalisant

pouvoir dépasser la barrière médiatique de ce conflit. L’étude s’est d’abord orientée essentiellement sur l’aspect américain. En effet, monsieur Obama avait promit de remettre ce conflit sur les devant de la scène internationale avec un aspect géopolitique, économique et humanitaire même si c’est deux derniers n’ont pas été exposés mais on été étudié pour pouvoir avoir un œil autre que les hommes politiques et regarder ce qui se passe vraiment dans ce pays et que ces hommes là oublient souvent.