Géocentrisme

un jugement ferme , à un "savoir" Ces trois formes d'asservissement de la pensée sont avancées comme des idées jamais rationnellement fondées, ni testées par la pensée, auxquelles se conforment les non philosophes sans questionnement . Ex: le geocentrisme C'est la différence entre une croyance et un savoir. Une croyance est basée sur des hypothèses alors qu'un savoir est basé sur des faits et des preuves solides. Être fermé d'esprit comme les non philosophes c'est ne pas accepter que nos croyances

et l’apparition du livre accroissent la diffusion de textes reproduits désormais par centaines d’exemplaire. Les médecins recommencent à disséquer des cadavres humains et la chirurgie nait réellement avec Ambroise Paré. Enfin Copernic ruine le géocentrisme : la terre n’est plus le centre du monde. 2. L’humanisme : l’humanisme est celui qui a fait ses humanités, c’est-à-dire des lettres classiques, du latin et du grec. Or, la reconnaissance du tout humain exprimer par la philosophie du temps

se rpolongent jusqu ‘au XVIIIe siècle. Les découvertes de Copernic au XVIe siècle, peu diffusées sur le moment, puis surtout des théories de Galilée (1564-1642) servent beaucoup les Lumières. La théorie de héliocentrisme s’opposant à celle du géocentrisme remet en cause les idées reçues : les universités et les écoles, sous l’autorité de l’Église, sont peu disposées à accepter ces changements qui invalident certains passages de la Bible et la théorie aristotélicienne de la force motrice.

manière progressive mais par crises et par ruptures, à travers lesquelles les théories connaissent de véritables révolutions. Copernic, Giordano Bruno et Galilée sont passés pour des hérétiques pour avoir proposé de substituer l’héliocentrisme au géocentrisme. Les vérités scientifiques ne sont plus considérées comme absolues -même si l’ensemble de la communauté scientifique s’accorde aujourd’hui sur les critères de scientificité à partir desquelles une science peut être considérée comme une «science

après la condamnation de Gallilé par l’inquisition (recherche, enquête considérée comme arbitraire et vexatoire) en 1633 pour son œuvre Dialogue sur les deux grands systèmes du monde dans lequel il faisait dialoguer un aristoricien partisan du géocentrisme et un homme sans à priori partisan de l’héliocentrisme. En novembre 1633, Descartes informé de cette condamnation, reçu de son ami Beeckman un exemplaire de l’œuvre philosophique de Gallilé. Par sincère soumission aux autorités ecclésiastiques

terre, on découvre de nouveaux peuples, de nouvelles mœurs, des religions inconnues. Cette mutation accentue encore lorsque l´on finit par admettre le système de Copernic selon laquelle la terre n´´est plus au centre du monde, or cette théorie de géocentrisme était aussi celle de l´Eglise. On peut aussi considere que les evenements majeurs du XVIeme siècle ont favorisé un renouvellement, la diffusion, la modification et la remise en question du savoir. Cette révolution de savoir conduit en Europe a

psychanalyse. Selon Freud dans son ouvrage Introduction à la psychanalyse, l'être humain aurait connu trois blessures, chacune infligées par la science: Copernic a montré que la Terre n'était pas au centre de l'univers, on passa alors du géocentrisme à l'héliocentrisme. Darwin a montré que l'être humain est issu de la chaine animale, et qu'il ne domine pas tous les êtres vivants; il n'y a pas de rupture entre l'humanité et l'animalité d'un point de vue scientifique et biologique. La psychanalyse

l’analyse Cartésienne : Un a priori religieux. (A priori : avant l’expérience, a postériori : après l’expérience) Si Descartes, contemporain de Galilée (même époque : 17ème s) a su admettre que la terre n’est plus centrale dans l’univers (géocentrisme : monde autour de la terre, Héliocentrisme : la terre autour du soleil). L’homme reste bien central selon lui sur la terre. Descartes est imprégniez par l’anthropocentrisme, caractéristique de la pensé chrétienne. La théorie de l’animal

et simple. (N.B.: on verra à la fin du chapitre 3 que c'est la critique que Popper adresse à la psychanalyse). Et l’histoire des sciences nous montre que le refus de douter de la vérité d’une théorie bien établie (on peut prendre l’exemple du géocentrisme ou du créationnisme) est plutôt du côté des dogmes religieux, que du côté de la science qui, toujours, se remet en question et cherche à progresser, donc à réformer ses théories. Le scientifique qui ne doute pas (non pas certes « de tout », ce

convoitent que « les suites agréables de la vérité, celles qui conservent la vie » ; c'est pourquoi celui qui dit la vérité n'est pas toujours reconnu à sa juste valeur, surtout si cette vérité dévalorise la vie de l'homme. Galilée qui remet en cause le géocentrisme, Darwin qui replace l'homme dans l'évolution animale ont été contestés malgré la rigueur scientifique de leur propos ; les vérités qu'ils énonçaient étaient de celles vis à vis desquelles, comme l'écrit Nietzsche, non sans ironie, l'homme est «