Gauche prolétarienne

terrible: le parti en aurait pris conscience rapidement et se serait énergiquement appliqué à la corriger. « Mais elle se manifeste dans un pays à forte prédominance paysanne, si cette paysannerie est de plus en plus mécontente de la dictature prolétarienne, si la crise de l'économie paysanne est au paroxysme, si la démobilisation d'une armée paysanne jette sur le pavé des centaines et des milliers d'hommes brisés, qui ne trouvent pas de travail, qui sont habitués uniquement au métier des armes et

RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES  L'artiste :  Document officiel dont le commanditaire est le PCUS, destiné avant tout aux membres du parti , c'est­à­dire par  extension, à tous les soviétiques  L'oeuvre :  Affiche politique. Elle se présente en 3 parties :    A gauche, avec Lénine, cette première partie rappelle les origines de l'URSS. On y reconnaît l'un des événements  majeurs de la révolution d'octobre 1917 (prise du palais impérial à saint Petersbourg par les marins de Kronstadt).  Au­dessus, dans une bannière rouge

philosophie, Karl Marx se fixe à Bonn, où il compte devenir professeur. Mais son engagement pour les hégéliens de gauche l'oblige à renoncer à sa carrière universitaire. En 1842, Marx devient le rédacteur en chef de La Gazette rhénane, un journal démocratique révolutionnaire. Arrivé à Paris en 1843, il fait la connaissance d’Engels. Tous deux élaborent la théorie du socialisme prolétarien révolutionnaire et se lient à la ligue des communistes pour laquelle ils rédigent le 'Manifeste du Parti communiste'

Présentation : Cette œuvre est une affiche de propagande, réalisée par le Parti Communiste d’Union Soviétique, à l’occasion de son 17e Congrès en 1934. Elle est adressée à tous les Soviétiques. Description : Dans le coin gauche en haut de l’affiche, un moment majeur de la Révolution d’Octobre 1917 est représenté : la prise du Palais impérial de St Petersbourg par les marins de Kronstadt. (Bannière rouge : « Tout le pouvoir aux soviets »). Lénine, chef des Bolcheviks, domine la scène. Il

combattant lors de la 1 guerre mondiale) fonde « Les Faisceaux Italiens de combat » → membres : « Les Chemises Noires » => tenue des anciens combattants nationalistes et des classes moyennes déçus par le règlement de la paix : personnes de droite comme de gauche qui partagent le sentiment patriotique, fusion des thèmes de la pensée nationaliste avec celle du syndicalisme révolutionnaire → programme et revendications : anticapitalisme, aspirations pacifiques, syndicalisme (gestion des entreprises par les

nationale qui vient d’être élue, établit une organisation ouvrière comme organisatrice de la ville, et gouvernement prolétarien. Dans plusieurs autres villes de France (Marseille, Lyon, Saint-Étienne, Toulouse, Narbonne, Grenoble, Limoges) des communes sont proclamées à partir du 3 mars 1871, mais elles furent toutes rapidement réprimées. Pour Karl Marx, c’est la première insurrection prolétarienne autonome. Ses acteurs Les élections sont organisées le 26 mars pour désigner les 92 membres du Conseil

apparaît comme un élément majeur et fortement conflictuelle du paysage politique. On ne peut la réduire à la nostalgie d'une souveraineté perdue ou à une régression idéologique ultra-droitière dans la mesure où la nation apparaît, y compris au sein de la gauche et de l'opinion démocratique, comme le lieu le plus adéquat de souveraineté populaire. Alain Bihr, en sociologue de formation marxiste, analyse de manière critique ce phénomène qu'il replace dans le contexte d'une surdétermination des luttes de classe

les gravures du mur à l’arrière-plan. Les personnages seraient les points forts de l’œuvre. Les différents plans du tableau sont les suivants : au premier plan, il y a les deux raboteurs alors que le troisième ouvrier est exclu au deuxième plan à gauche de la toile ; au dernier plan, on voit le fond de la pièce avec son balcon qui nous laisse apercevoir la rue et les immeubles parisiens (haussmanniens). Le peintre a volontairement laisser un espace vide au centre de l’œuvre accentué par la lumière

chacun ¼ de l’affiche La révolution russe de 1917 à Petrograd C’est le peuple qui fait le lien entre les deux hommes Le rouge. C’est la couleur du parti communiste, du sang, de la lutte des classes, de la révolution. La lumière vient du bas à gauche. Elle est vive. On observe des ombres propres sur les façades des bâtiments. Elle symbolise la modernité. Staline se place comme le successeur de Lénine qui a été le chef de la Révolution et le fondateur du parti bolchévik. Staline veut montrer

passe de 100% en 1931 à 80% en 1935. Et par une augmentation du chômage, en 1931 le nombre de chômeurs est de 50 000, en 1935 il y en a 420 000. Le mécontentement social se traduit par des grèves, dès 1935. La crise est également politique : la gauche est divisée entre radicaux, communistes (PCF) et socialistes (SFIO), qui ne sont pas d’accord sur la politique à mener pour apporter des réponses à la crise. Dans le même temps, la presse et les ligues d’extrême droite dénoncent le gouvernement