Gargamel

ambition de pénétrer au coeur même de l'empire perse et de se faire proclamer roi à la place de Darius. Il franchit donc l'Euphrate et le Tigre sans aucune résistance : Darius a massé ses troupes (un million d'hommes, dit-on) à l'est du Tigre, près de Gargamèle, au nord d'Arbèles. C'est pour lui le dernier recours. (Quinte-Curce, Histoires) Malgré l'importance de l'enjeu, Alexandre dort d'un sommeil profond la nuit précédant l'engagement. (Quinte-Curce, Histoires) Avec sa tactique habituelle (à l'aile droite

différents procédés comique et enfin qu’il utilise l’intrusion du corps dans la littérature. La création des personnages hors du commun comédien Les portraits, les noms En effet, nous pouvons voir dès la ligne 1 des onomastiques avec le nom « Gargamelle » qui fait référence au nom de la mère qui se retrouve dans celle du fils et fait référence au grossier donc à la nourriture. Mais aussi un onomastique à la ligne 24« Grandgousier » qui quand à lui est le père de Gargantua, dont il reçoit les attributs

de mot avec la "corne d'abondance" (chap. 8). " L'ouverture de la braguette était de la longueur d'une canne", "elle était également bien garnie et ravitaillée" (p.65)- Toutes les scènes de banquet qui donnent lieu à des plaisanteries grivoises, Gargamelle qui mange des trippes, toutes les scènes de beuverie, Gargantua qui réclame "à boire" à sa naissance.- Scène de pisse à Paris, le chapitre sur le torche-culc. Le comique de l'excès- La farce n'est pas un type de comédie fine, c'est une comédie assez

concubinage, Rabelais égratignait volontiers les femmes, raillait les maris infortunés et présentait le mariage comme une loterie. Appréciant pourtant les dames bien nées et savantes, il décrivait la petite famille idéale sous les traits de Grandgousier, Gargamelle et Gargantua. Il manifeste très tôt une curiosité humaniste. Pierre Lamy l'initie aux études grecques et l'encourage à écrire à Guillaume Budé. Rabelais s'intéresse aux auteurs antiques, et correspond plus tard avec d'autres humanistes célèbres

« Alice au pays des merveilles », puis « Le chat noir » d’Edgar Allan Poe. Un personnage célèbre des bandes dessinées est Garfield. Puis dans les dessins animés Sylvestre de « Titi et Gros Minet » ; Tom de « Tom et Jerry » ; Azraël, compagnon de Gargamel dans « Les Schtroumpfs » ; Artémis, Luna et Diana dans le manga « Sailor Moon ». La chanson « Delilah » dans l’album « Innuendo » de Queen est un hommage au chat de Freddy Mercury. Aujourd’hui les chats peuvent être photographes. On laisse pendre

des ennemis dans des flots d’urine (Pantagruel) , la jument qui abat les forêt , la visite du géant a Paris et l’enlèvement des cloches de Notre-Dame ( Gargantua).Il emprunte quelque nom des protagonistes : Grandgousier Galamelle transformé en Gargamelle et Gargantua. Quant au personnage de Pantagruel il emprunte le nom à un mystère médiéval, dans lequel un démon nommé Penthagruel . Le tandem formé par Pantagruel et Panurge vient des épopées héroïcomiques italiennes. Lors des publications des deux

éducations, les portraits des deux rois le confirment. Tantôt Alcofribas requiert de notre part la plus grande attention, comme dans le prologue, tantôt il exige que le lecteur le croie sur parole, comme lors de l’accouchement invraisemblable de Gargamelle. Ainsi, pour faire rire le lecteur, il convient en quelque sorte de le manipuler. Le rire semble finalement libérateur. En effet, le rire de Rabelais est un rire qui appelle à la sagesse et qui s’oppose au sérieux pesant des savants. Rabelais

considérables de connaissances, des langues au maniement des armes en passant par l'arithmétique. Le gigantisme reflète l'immense soif de savoir qui caractérise l'humanisme naissant. Il est aussi la source de puissants effets grotesques : au chapitre IV, Gargamelle engloutit « seize muids, deux bussars et six tepins » de tripes, et le narrateur souligne que « trois cent soixante mille quatorze » bœufs ont été abattus pour l'occasion. La précision incluse dans ses dimensions hors norme prête à rire.DES POINTS

imite très explicitement les rapports sexuels entretenu avec sa femme onze mois plus tôt, afin de justifier l'accouchement de cette dernière. On retrouve ici un comique de geste tout à fait inopiné dans le monde du théâtre. Dans la même scène, Gargamelle se plaint d'avoir mangé deux tonneaux de tripes, ce à quoi son mari répond : « Oh belle matière fécale qui doit boursoufler en toi. ». Il prononce cette phrase d'une voix forte et clair, en faisant ainsi un comique verbal, tout en accentuant le

semble évident que l’auteur s’est bien amusé en l’écrivant. En effet, on retrouve de l’humour notamment avec du comique du bas corporel, c’est-à-dire le comique sexuel et scatologique. On l’apperçoit dès le chapitre VI : la naissance de Gargantua. Gargamelle, la mère de Gargantua, commence par souhaiter que son mari « se soit coupé le membre », on voit qu’on est bien dans la blague paillarde (assez impudique, obscène) qui sert à établir une complicité anti-féministe avec le lecteur. L’image du sexe