Gallicanisme

2Dissertation d’histoire : Se préparer à l’au-delà dans un temps de malheurs (XIVème-XVème siècle) De nombreuses œuvres d’arts réalisées aux XIVème et XVème siècles traduisent une représentation de plus en plus fréquente de l’au-delà par les fidèles. Ainsi est peinte en 1424 la Danse macabre du cimetière des Innocents à Paris qui constitue la première « danse macabre » ; une farandole de squelettes qui entraîne les Hommes, membres du clergé et laïques, riches

celui ci va entrainé un déclin profond du droit canonique, après quoi on considère que les règles émises par le pape ne s'applique dans le royaume de France qu'à condition que le roi est donné son avale. Ce principe de l'autorisation du roi est le gallicanisme. C) Le ius commune (= le droit commun) A l'exception des premiers glossateurs, parfois hostiles à l'égard des coutumes convaincu à l'excès de la primoté du droit romain. Les romaniste n'ont pas, pour la plupart, méconnu l’existence du droit

civile du clergé votée en 1790 par l'Assemblée constituante donne un nouveau statut aux prêtres. Ils sont directement liés à l'État, sont salariés par celui-ci et ne dépendent plus directement du Saint-Siège. Cette réforme est inspirée par le gallicanisme, doctrine mettant en valeur l'autonomie du clergé français par rapport au pape et le richérisme, doctrine ecclésiologique1 très implantée dans le bas-clergé, qui prône le gouvernement démocratique des communautés paroissiales et diocésaines.

Point de départ de cette affirmation du gallicanisme qui allait se manifester à travers deux conciles universels qui ont échelonnés le 15e, concile de Baal et de Constance, et qui se manifestent plus tard sous le règne de Charles 7 par un document considéré comme le fondement du gallicanisme, la pragmatique sanction de bourges, qui est une ordonnance royale de 1431 et qui est donc à l’origine du gallicanisme. L’université a pris position en faveur d’un gallicanisme royal mais sera la grande perdante,

était née une doctrine particulière du clergé de France, que l’on appelle le gallicanisme. Le gallicanisme qui équivaut à la liberté de l’Eglise de France a un visage politique et un visage religieux, dans son expression politique, le gallicanisme considère que c’est le Roi de France et non pas le pape qui est le protecteur naturel de l’Eglise de France qui a de ce fait une liberté particulière à l’égard de Rome. Le gallicanisme proclame la supériorité du Concile œcuménique sur le pape. Les conciles peuvent

est signé le Concordat de Bologne entre François Ier et le pape Léon X. il est très important car il fixe le statut de l'Eglise de France jusqu'à la Révolution. C'est à cette date que le pape abandonne au roi la nomination des évêques. C'est un gallicanisme politique (terme inventé au XIX°) qui s'établit dans le royaume de France puisque le souverain devient de fait le chef temporel de l'église de France mais contrôle aussi l'ingérence de la papauté. Il se produit presque la même chose en UK qui

depuis la révocation de l’Édit de Nantes en 1685. Louis XIV On retrouve également, dans le premier tiers du XVIIIème, un conflit janséniste. Ce conflit s'est formé au milieu du XVIIème siècle, à cause de la conversion des curés parisiens au gallicanisme, qui consiste à améliorer l'organisation de l’Église catholique en France, tout en étant autonome par rapport au pape, et au jansénisme, une croyance basée sur la Grâce de Saint Augustin, en 1650. A l'époque, le roi voyait dans ce courant religieux

cause des dépenses de la Cour et de la vie dispendieuse qu'a instauré Louis XIV et aux dépenses de guerres avec la guerre de succession d'Autriche. La situation religieuse, elle, est dans une situation très compliquée et tendue. Louis XIV qui est gallicanisme, partisan de l’Église Catholique indépendante du Pape, décide de supprimer deux religions : le jansénisme et le protestantisme ainsi que la disparition de la liberté de culte. De plus, il révoque l’Édit de Nantes en octobre 1685, Édit qui a été

Le roi publie alors les décrets le 3 novembre 1789. L’assemblée suit le roi, elle va donc siégée à Paris (salle du manège). Elle ne veut pas de la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Elle veut augmenter son contrôle sur l’Eglise de France. Le gallicanisme est poussé à l’extrême. Le pape est dessaisi de tout pouvoir du l’Eglise. Le 14 juillet devient la fête de l’unité nationale en 1790. En 1791, le pape va condamner la DDH. Les tensions se montrent, un événement plombe définitivement la constitution :

faut distingue 4 moments essentiels : • le gallicanisme La France s’est partiellement détachée du pape dès que le pouvoir royal a été suffisamment fort pour cela, c’est-à-dire à partir de Le Bel (1285-1314) qui s’opposa l’ingérence pontifical dans les affaires françaises. Il inaugure une politique d’indépendance par rapport à Rome. Le Roi de France ne reconnaît plus ici bas de juridiction supérieure, ne dépend plus d’aucune puissance étrangère. Le gallicanisme est donc une doctrine ayant pour objet une