Galerie des Machines

exposition qu’il appelle « le vide » et qui ne montrait que les murs nus de la galerie. En 1960 Arman en réponse à l’exposition d’Yves Klein organise la sienne dans le même lieu, qu’il appelle « le plein » Il remplit toute la salle d’exposition d’une multitude d’objets de rebus à tel point qu’il est impossible d’y pénétrer. Les visiteurs ne pouvant pas y entrer, regardent l’exposition à travers les vitres de la galerie. Si dans les deux cas c’est l’espace même de la salle d’exposition qui est présenté

allemandes ! La Schwarzwald (en allemand) est un massif montagneux du sud-ouest de l'Allemagne, dans le land du Bade-Wurtemberg. Il est séparé par [...] Nouvelle Galerie Nationale - Berlin Réalisé dés 1965 par l'architecte Mies van der Rohe, important représentant du style Bauhaus, l'édifice de la Nouvelle Galerie nationale, Neue National Galerie en allemand, accueille depuis 1968 une [...] Alexanderplatz Coeur de la ville socialiste du temps de RDA, l'Alexanderplatz telle que l'on la connaît aujourd'hui

là que le jeu commence, il faut que le départ soit ferme et assez dense afin que le joueur puisse taper sa balle dans les meilleurs conditions. Le départ doit pouvoir résister au fort piétinement auquel il est soumis ainsi qu’au tassement par les machines. Mais il est aussi soumis aux divots fait par les joueurs lorsque ceux-ci tapent leur balle, donc il faut un gazon qui puisse pouvoir se régénérer rapidement. C’est pourquoi il est composé d’un mélange de poacées, Fétuque rouge traçante, Ray

‘‘on’’ qui nous donnent le sentiment d’en savoir autant que le narrateur lui-même. Il découvre et fait découvrir au fur et à mesure le lieu, en donnant l’impression d’être avec un groupe, et non pas une personne seule, ‘‘On longeait avec peine les galeries du rez-de-chaussée’’, ‘‘On ne passait plus du tout’’ L’expression d’un mouvement et d’une agitation permanente est l’effet produit par cet extrait. Grâce à la description faite par le narrateur, le lecteur peut s’imaginer entièrement l’atmosphère

du corps : dès lors ce n’est plus tant l’identité qui est questionnée (quoique le visage soit recouvert de peinture comme chez Bruce Nauman) mais l’existence physique. L’œuvre de Cindy Sherman prise dans son ensemble se présente comme une vaste galerie de personnage et de rôle qu’elle-même campe au prix de déguisements qui la rendent plus ou moins méconnaissables. Caméléon, elle arpente les scènes de la peinture ancienne, les films hollywoodiens, suggérant des bribes de narration laissées en suspens

du choix la clientèle trouve que ce n’est pas assez. Surtout que par moments il arrive que nous ayons des soucis avec nos machines, mettant hors-services temporairement un voir deux parfums. Tout en sachant que certains de nos chalands ne viennent que pour consommer qu’un parfum spécifique. Si je m’appuie sur le caramel qui représente environ 21% de vente, et que cette machine peut être HS trois fois dans la journée, je perdrai théoriquement environ 5% de ma clientèle.  Nous manquons aussi cruellement

l’intervention des procédés industriels dans l’œuvre. C’est ainsi que désormais Moholy-Nagy privilégia l’utilisation de procédés techniques ( caméra film, photographique…etc). L’œuvre Modulateur Espace- Lumière est conçue à partir d’un idéal utopique où la machine est synonyme de progrès. Toutefois, la lumière reste l’élément central de l’œuvre. Moholy-Nagy cherchait à créer une construction qui permettrait de rendre perceptible dans l’espace la manifestation de la lumière combinée avec les lois du mouvement

demander qui a fait ces arbres-là, ces rochers, cette terre, et ce ciel que voilà la haut et si tout cela s’est bâti de lui-même ») - L’homme, lui aussi est une machine admirable, qui implique la présence d’un créateur. Et l’aptitude de l’homme à penser implique la présence d’une âme (« Pouvez-vous voir toutes les inventions dont la machine de l’homme est composée sans admire de quelle façon cela est agencé ? ») Rien de ridicule dans ces phrases. Et on observe que Sganarelle manie bien l’art de convaincre

taille leur permettait de se glisser dans les galeries les plus étroites. Ils poussaient des wagonnets remplis de charbon, au risque de se faire écraser quand, à bout de force, ils ne pouvaient plus retenir la lourde charge. Au XIX ème siècle, les usines étant de plus en plus mécanisées, de nombreux postes de travail sont occupés par des hommes non qualifiés c’est ainsi que dès l'âge de 8 ou 9 ans, les enfants sont employés à ces travaux qu'aucune machine ne peut exécuter à cette époque. Les patrons

elles-mêmes, sur les bords du bassin ou encore sur la surface de l'eau produit des sons qui se répondent et qui varient en fonction des déplacements du spectateur-auditeur. Tinguely, avait réalisé dans les années cinquante des machines à peindre, des machines à dessiner puis des machines acoustiques. Avec ce monument de Tinguely et de Niki de Saint-Phalle, il y a comme la tentative de rendre visible la musique. La fontaine est une partition jouée et éclaboussée par l'eau. L'eau Dans son ouvrage "L'eau