Galerie des Machines

long couloir soutenu au plafond par des poutres. Les mineurs y travaillent à la pioche jusqu'a l'épuisement des ressources. Puis ils changent de couloir. la méthode de la longue taille : Cette méthode consiste à recolter le charbon à l'aide d'une machine, la haveuse, qui est une sorte de robot géant qui perce le charbon en avancant. Il le récupèrent et laisse le plafond s'écrouler derrière lui. Le problème est qu'en surface ces éffondrements ce font ressentir et les batiments et les routes s'abîment

malgré tout, grâce à l'aide des nombreux scientifiques que compte le royaume, qui leur façonnèrent une machine volante capable de franchir en sûreté les montagnes : « Trois mille bons physiciens y travaillèrent ; elle fut prête au bout de quinze jours, et ne coûta pas plus de vingt millions de livres sterling, monnaie du pays ». La science est respectée par tous, un musée expose, « une galerie de deux mille pas, toute pleine d'instruments de mathématique et de physique ». La religion pratiquée est

pour des photographies puis pour des toiles. Axe 2 : Description de l’œuvre Titre de l’œuvre : Campbell’s Soup Cans En français : 32 Boites de soupe Campbell Auteur: Andy Warhol (1928 – 1987) Date de création: 1962 Lieu d’exposition en 1962 : Galerie Ferus à Los Angeles Lieu d’exposition : Musée d’art moderne de New York Dimension: 32 toiles de 50.8cm par 40.6cm Type: 32 toiles d’acrylique peinte L’auteur : Andy Warhol était un artiste peintre mais aussi un producteur de musique (The Velvet

sans tain de l’entresol, derrière lesquelles on voyait toute la vie intérieure des comptoirs… La machine ronflait toujours, lâchant sa vapeur dans un dernier grondement… cette apparition… prenait l’apparence d’une chambre de chauffe géante où l’on voyait passer les ombres noires des chauffeurs, sur le feu rouge des chaudières. » Tout ici vit de manière fantastique et la modernité liée au mythe de la machine réactualise celui du monstre prêt à engloutir la concurrence. Pour accentuer l’effet, Zola resserre

car le titre, écrit à même la toile, est prit comme une boutade contre le cubisme par le comité de placement. Il retirera le titre, sans rien y mettre à la place. Le tableau est présenté pour la première fois dans l'Exposicio d'Art Cubista à la galerie Dalmau de Barcelone. Marcel Duchamp dit : "Cette version définitive fut la convergence de divers intérêts, dont le cinéma, et la séparation des positions statiques dans les chronophotographies de Marey, en France et de Muybridge en Amérique." Marcel

puis participe à l’Art minimal. Egalement en 1966 il décide de créer un art dont le matériau est le paysage. Le terme employé pour ses travaux est Earthworks (ouvrages de terre). Ses œuvres sont généralement gigantesques, construites à l'aide de machines industrielles, dans des lieux à l'écart de la population. Le 20 juillet 1973, il décède dans un accident d'avion. Contexte historique : L'oeuvre a été conçue dans le Grand Lac Salé dans l'Utah aux Etats-Unis. L'artiste a d'abord été attiré par la

il ne cesse de se débattre pour se faire voir et pour glisser son nom devant les gens qu’il faut. À certains moments de sa brève carrière, il a trouvé le moyen de créer un peu de dissension, à cause de ce que les gens appellent ses « trucs pour la galerie ». Le sentiment général parmi la direction cependant est qu’il est un jeune espoir et que, si on lui donne plus de responsabilités, il va acquérir de la maturité. Introduction du système d’état des coûts L’un des premiers gestes de Sharp a été d’organiser

qui débutera 10 ans plus tard. Dans l’exposition, sont aussi présentées des études, réalisées à l’Ecole des Beaux-Arts de Besançon ; des autoportraits de jeunesse ; les paysages de la terre natale de l’artiste, le Jura ; quelques autres grandes « machines » de plusieurs mètres de long, comme le fameux « Enterrement à Ornans » (1850) ; d’autres paysages encore, inspirés par des photographies ; d’autres nus dérangeants ; et encore des scènes de chasse. Autant d’œuvres capiteuses, charnues, d’autant

enfantine. Les historiens appellent cette période la « révolution industrielle ». Des enfants dans les mines : Pendant longtemps, jusque vers 1880, les enfants ont travaillé dans les mines. Leur petite taille leur permettait de se glisser dans les galeries les plus étroites. Ils poussaient des wagonnets remplis de charbon, au risque de se faire écraser quand, à bout de force, ils ne pouvaient plus retenir la lourde charge. Ils subissaient les mêmes risques que les adultes et vivaient dans des conditions

de loisirs. D’où ce désir de possession matérielle. La puissance de la machine industrielle contribue largement à alimenter ce désir. En plein essor à la fin du 19 ème et au début du 20 ème siècle, elle produit des biens en continu rappelle le document 4. Plus près de nous, l’article de Marie Piquemal intitulé « Ils ont décidé de vivre avec 100 objets » paru dans Libération le 16 août 2010 évoque ses avatars : les galeries marchandes et les publicités qui sont des sources de tentations pour les