Furie

«mes douleurs» vers 31, «malheurs» au vers 41. Afin de renforcer ces champs lexicaux et l’expression des sentiments, il y a la présence de métaphore «Je t’ouvre mon âme» vers 29 et «Ou laisse agir ma flamme» au vers 30 et de comparaison, « comme une Furie attachée à tes pas», cette comparaison exprime la plus profonde haine et vengeance qu’elle puisse désirer accomplir. Pour ajouter une intensification de ses sentiments, on peut observer une oppositions «Je l’adorais vivant, et je le pleure mort.» vers

extrait Emile Zola place, en tête du groupe les "femmes" qui sont en principe  « les êtres les plus faibles, les plus doux » : ce qui dans une société bien organisée passe pour noble, la maternité et la vieillesse, fait ici partie d'une "bande" en furie. Trois générations sont présentes : après les "mères" , apparaissent les "jeunes" puis les "vieilles". C'est surtout la misère physique des femmes que Zola décrit, sans doute parce que la perte de toute beauté est chez elles encore plus sensible et

puissance numérique possédée par les armées, générant une fureur ahurissante, une foule assoiffée de destruction, de chaos et de mort. Pour finir, nous allons traiter de l’horreur ressentie et racontée par notre homme, tétanisé dans une armée de brutes en furie moins humaines même que des chiens. Nous parlerons aussi du contraste imaginé par l’auteur entre Ferdinand Bardamu et cette armée grouillante dénuée d’humanité. Tout d’abord, dans ce texte, nous nous trouvons en présence d’un homme extrêmement apeuré

constructions est dominé par une terrasse, non loin de la case des sacrifices. Pendant les jours de fête, c'est du haut de cette terrasse qu'on jette au peuple des prisonniers attachés dans des corbeilles d'osier, et on s'imaginerait malaisément avec quelle furie ces malheureux sont mis en pièces. Dans une partie des cours qui divisent le palais du souverain, sont logées quatre mille guerrières, un des contingents de l'armée royale, -non le moins courageux. S'il est contestable qu'il y ait des Amazones

de folklore barbare et animal. Je prends pour exemple l’interprétation musicale offerte justement par la Vatnaz, page 147 : «La Vatnaz s’y mit, et, accompagnée de l’Enfant de chœur qui battait du tambour de basque, elle entama une contredanse avec furie, tapant les touches comme un cheval qui piaffe, et se dandinant de la taille, pour mieux marquer la mesure» On est loin de la douceur de l’harmonie classique et de l’apologie du beau, au contraire. Il sera donc plus juste de questionner dans quelle

« que furibond fauteDe quelque perdition haute » qui sous entend donc qu'à défaut de ne trouver de proie digne d'elle, la tempête se déploie avec acharnement, voir vers 11 «Tout l'abîme vain éployé », « l'abîme » représentant probablement la mers en furie. En effet on voit au vers 12 « Dans le si blanc cheveu qui traîne » que le poète présente ici la mers qui par son déchaînement et sa colère créer une écume blanche à la crête des vagues. Les conséquences de cet échec apparaissent dans les deux derniers

citoyens s'arment pour la vengeance. Athéna s'interpose alors et ordonne la paix durable entre les deux camps. Personnages mythologiques: Calypso: Calypso est une nymphe de la mer. Poséidon: Poséidon est le dieu des mers et des océans en furie. Son symbole principal est le trident. Polyphème: Polyphème est un cyclope, fils de Poséidon et de la muse Thoosa. Hermès: Hermès est une des divinités de l'Olympe. Dieu du commerce, gardien des routes, carrefours, voyageurs, voleurs, qui guide

le passage : pâleur, peur x3 en 2 phrases, effrayés -v 186 à 191 : manifestations physiques de la peur car 'cheveux', 'dents', 'bouche', 'l'oeil' : accumulation des effets de l'effroi. Des effets qui semblent s'opposer car : 'cheveux hérissés en furie' marque de la fureur, image vive et 'bouche flétrie' marque de la mollesse : comme si tout se mélange, comme une espèce de désordre = un des résultat de la vengeance divine effet de parallélisme avec les vers précédents (antithèse, champs lexical)

Buriné : Visage ou autre marquer de rides qui sont creuses. Furibonds : Très en colère, en furie. Allégeance : Obligation d’obéissance d’un vassal a sont souverain. Mentor :

Les vents me sont moins qu'à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin. "Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'Arbre tient bon ; le Roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au Ciel était voisine Et dont les pieds