Frère Giroflée

et l’illusion (Candide, Mr le Baron, le grand aumônier, Mme la Baronne, sa fille Cunégonde, le fils du Baron et Pangloss)  La deuxième est celle de Constantinople qui présente le modèle à suivre (Martin, Cunégonde, Paquette, la vieille, frère giroflée, Pangloss et Candide. II L’idéal de vie de la communauté 1) « travaillons sans raisonner […] c’est le seul moyen de rendre la vie supportable » Martin, un philosophe ne peut concevoir un travail abruti, irréfléchi. Ici « travaillons sans

lendemain » | Le Gouverneur veut épouser Cunégonde. La police arrive pour le meurtre de l’Inquisiteur. | 14 | Paraguay | Cacambo, valet. Révérend père. Jésuite, frère de Cunégonde | Omniscient | | Retrouvailles avec le fils du baron qu’il croyait mort. | 15 | Chez le prêtre, au Paraguay | Jésuite, frère de Cunégonde, prêtre. | Frère de Cunégonde | « le jour…où », « au bout de trois semaines », « en un clin d’œil » | Le jésuite raconte son histoire. Il s’oppose au mariage de Cunégonde et Candide

louable dessein ; chacun se mit à exercer ses talents. La petite terre rapporta beaucoup. Cunégonde était à la vérité bien laide ; mais elle devint une excellente pâtissière ; Paquette broda; la vieille eut soin du linge. Il n'y eut pas jusqu'à frère Giroflée qui ne rendît service ; il fut un très bon menuisier, et même devint honnête homme ; et Pangloss disait quelquefois à Candide : " Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles ; car enfin, si vous n'aviez pas été chassé

apporte un démenti. _ Le mal vient des hommes, ils sont cruels, intolérants… Le mal set dans la nature (séisme, maladie), le mal est dans les institutions, surtout religieuses. _ Critique de la religion, satire des prêtres : le libertinage de frère Giroflée, le jésuite, l’abbé Périgourdin. _ Voltaire dénonce la complicité entre le pouvoir politique et l’Eglise. _ Critique de toutes les formes d’injustices et d’arbitraire, de la violence, de l’esclavage, de la violence à l’égard des femmes, du libertinage

premier et le dernier chapitre : nous somme passés d'un château en Westphalie à un jardin en Turquie. II) Evolution des personnages. Les personnages présents à la fin du conte : Candide, Cunégonde, Pangloss, Martin, Pâquette, la vieille et le frère Giroflée, sont les gentils tandis que le méchants sont morts. Pangloss n'a pas évolué entre le début du livre et la fin, il tient toujours des discours ridicules avec des conclusions absurdes comme lorsqu'il dit : lignes 133 à 140. Il a conservé sa vision

l'argent et la grandeur ne font pas le bonheur toutes les grandeurs sont éphémères. 3. Le travail dans la métairie - " la petite terre rapporta beaucoup " è efficacité du travail communautaire - Cunégonde devint une excellente pâtissière et Frère Giroflée devint honnête homme è le travail efface les défauts. 4. Il faut cultiver notre jardin " cultiver " = travailler, enrichir " jardin " = monde, esprit, jardin secret è Il faut travailler à l'amélioration du monde è Il ne faut pas s'occuper

louable dessein ; chacun se mit à exercer ses talents. La petite terre rapporta beaucoup. Cunégonde était à la vérité bien laide ; mais elle devint une excellente pâtissière ; Paquette broda ; la vieille eut soin du linge. Il n’y eut pas jusqu’à frère Giroflée qui ne rendît service ; il fut un très bon menuisier, et même devint honnête homme ; et Pangloss disait quelquefois à Candide : « Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles ; car enfin, si vous n’aviez pas été chassé

du progrès.» Candide, qui était devenu ventripotent en vivant avec son excellente pâtissière Cunégonde, hésita tout d’abord mais Cunégonde sut le convaincre : « Mais tu es vraiment devenu casanier mon Candide ! Laissons-là le domaine à frère Giroflée. Il saura bien gérer notre petite entreprise qui éloigne de l’ennui, le vice et le besoin… Pour moi, tu restes toujours le jeune Candide de Westphalie, et je voudrais retrouver ton enthousiasme et découvrir des mondes nouveaux en ta présence.

Aires, il doit s’enfuir et abandonner sa dulcinée aux mains du gouverneur. Guidé par le débrouillard Cacambo, il traverse le Paraguay, territoire, merveilleusement organisé mais despotiquement gouverné par les jésuites dont l’un se trouve être le frère de Cunégonde que Candide est amené à tuer quand l’autre déclare refuser de le voir épouser sa bien-aimée. Les deux compagnons se retrouvent prisonniers des Oreillons, peuplade ennemie des jésuites qui l'ont spoliée de ses terres, et se résignent à

Buenos Aires, chapitre 13. A leur l'arrivée, Cunégonde est convoitée par le gouvernent, tandis que Candide s'enfuit ca il est recherché pour le meurtre du grand inquisiteur. Au Paraguay, chapitres 14, 15. Chez les jésuites, Candide retrouve le frère de Cunégonde, jésuite et soldat. Ensuite le baron raconte son histoire. Candide lui donne un coup d'épée et s'enfuit. Chez les Oreillons, chapitre 16. Candide tue deux singes qui poursuivaient deux filles. Pris par les Oreillons qui veulent le manger