Front large

Dans l'histoire de la France plusieurs manifestations ont causé la mort de manifestants, voici les plus violentes: Massacre du 17 octobre 1961: Le Massacre du 17 octobre 1961 désigne la répression ayant frappé une manifestation organisée par le Front de libération nationale algérien (FLN) en faveur de l'indépendance de l'Algérie à Paris. Des centaines d'Algériens, sont morts lors de la confrontation avec les forces de l'ordre alors dirigées par le préfet de police Maurice Papon. Certains d'entre

| | | |Les divers mouvements nationalistes algériens se rallient dans leur majorité au Front de libération nationale (FLN), fondé au Caire par Ahmed Ben | |Bella afin de coordonner l’action armée sur le territoire algérien. Dans ce but, sous le commandement du FLN, le pays est divisé en six zones ou | |wilayas, chacune dirigée par

soutenir les Hutu ce qui mènera en 1959 à la révolution sociale Hutu. · Dès l'indépendance, le 1 juillet 1962, les Tutsi (15% de la population) sont victimes d'un apartheid et se réfugient dans les pays voisins. Après plusiseurs tentatives de retour, le Front Patriotique Rwandais, organisation politico- militaire, et créé dans les années 80 en Ouganda. · le 1 octobre 1990 le FPR lance avec succès des attaques contre le gouvernement Hutu mais le président Habyarimana demande l'intervention de troupes françaises

Le Front de Libération du Québec (FLQ) était un groupe québécois fondé au début des années 1960, basé à Montréal, revendiquant leur indépendance. Ils ont prit part à des actions terroristes, tels des enlèvements ou des mises en place de bombes dans les boîtes aux lettres des quartiers anglophones. Les raisons pour lesquelles le FLQ est apparu sont les contextes sociaux, économiques et politiques des Canadiens francophones. Les ouvriers québécois travaillaient dans de mauvaises conditions, il y avait

décolonisations. Commentaire: L'algérie est une colonie francaise depuis 1830 avec plus d'un million de pieds noirs, c'est a dire des Français qui vivaient en Algérie, à l'époque de la colonisation. En Novembre 1954 il y a eu la création du FLN (Le Front de libération nationale) . C'est un mouvement politique qui revendique l'indépendance de l'Algérie vis à vis de la France. Pierre Mendès (1907-1982), Président du conseil et François Miterrand (1916-1996) son ministre de l'intérieur déclarent que

abolissant cette condamnation. Le projet est soumis au vote et malgré un résultat serré de 130 voix contre 124, il est accepté. En 1970, un groupe de souverainistes terroristes kidnappe James Richard Cross, un diplomate britannique. Ce groupe, le FLQ (Front de libération du Québec) prône des moyens comme la violence pour arriver à ses fins. Comme rançon, ils exigent entre autre que leur manifeste soit lu à la télévision. Gaétan Montreuil effectue donc la lecture intégrale de cette déclaration et précise

d'instabilité politique. Le successeur d’Houphouët-Boigny, Henri Konan Bédié, introduisit la conception d'ivoirité dès 1995. Il perdit le pouvoir à la suite d'un putsch fin 1999. Le général Robert Guéï prit alors la tête du pays. Laurent Gbagbo, leader du Front populaire ivoirien (FPI), devint ensuite Président après les élections d'octobre 2000. En 2002, une tentative de coup d'Etat tourne à la guerre civile entre les rebelles du Nord et les loyalistes du Sud. Depuis, le pays est divisé en deux, et des

tuaient les Tutsis à coup de machette et la carte d’identité a aidé beaucoup pour effectuer ces tueries. Le 7 avril, la Radio Télévision Libre des Mille Collines (RTLM)  diffusa une émission attribuant la responsabilité de l’accident d’avion au FPR (Front patriotique rwandais) et à un contingent de soldats de l’ONU, et commença à inciter les Hutus à éliminer les « cafards tutsis ». Durant cette même journée, le Premier Ministre, Mme Agathe Uwilingiyimana et dix casques bleus belges qui la protégeaient

ainsi que dans la différence de statut entre les départements français et ceux d'algérie, mais aussi et surtout à la volonté d'indépendance de certains Algériens. II – Le déclenchement de la guerre : Le 1er novembre 1954, des commandos du FLN (Front de Libération Nationale) entrent en action dans toute l’Algérie. On recense une trentaine d’attentats quasi-simultanés : C’est le début de la guerre d’Algérie. En France, l'événement à peu de retentissement, pourtant c'est le début d'une guerre de

fournis par le Rwanda », ajoute le rapport. Ces deux forces armées ont attaqué à partir de 1996 les camps de réfugiés hutus, où se trouvaient des anciens génocidaires des Tutsis au Rwanda en 1994, qui avaient fui dans l’Est de la RDC avec l’arrivée du Front patriotique rwandais (FPR) de Paul Kagamé au pouvoir à Kigali. Or le rapport, dénonce la nature « systématique, méthodologique et préméditée des attaques contre les Hutus [qui] se sont déroulées dans chaque localité où des réfugiés ont été dépistés