Front large

autorités locales. Une des conséquences que nous pouvons déjà évoquer c’est que le génocide constitue en outre un désastre économique avec les destructions de biens (notamment les troupeaux) et les pillages. Le 30 avril 1994, le bureau politique du Front patriotique rwandais publie un communiqué selon lequel le génocide est presque terminé. Il « appelle le Conseil de sécurité des Nations unies à ne pas autoriser le déploiement de la force proposée, parce que l'intervention des Nations unies à ce stade

de l’Angola et du Mozambique fût enclenché bien après la « vague décolonisatrice ». Différents mouvements nationalistes se crée dans les années 50/60 : FNLA (front de libération national Angolais) MPLA (mouvement des populations de libération de l’Angola) Unita (union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola) FRELIMO (front de libération de Mozambique) RENAMO (résistance national Mozambique) Le Portugal (à l’inverse des autres puissances occidentales), refuse l’indépendance de l’Angola

divisée en départements depuis 1848, et dont l'aboutissement est l'indépendance du territoire le 5 juillet 1962. En tant que guerre d'indépendance et de décolonisation, elle oppose des nationalistes algériens, principalement réunis sous la bannière du Front de libération nationale (FLN), à la France. Elle est à la fois un double conflit militaire et diplomatique et aussi une double guerre civile, entre les communautés d'une part et à l'intérieur des communautés d'autre part6. Elle a lieu principalement

d’Octobre Québec RÉFÉRENCE : BIZIER, Hélène-Andrée (2006). Une histoire du Québec en photos. Montréal: Éditions Fides, 317 pages, (aucune collection), pages 250 à 253. RÉSUMÉ : La crise d’Octobre de 1970 marque une période de désordre causée par le Front de libération du Québec (FLQ). En effet, ce mouvement pousse la population québécoise à encourager l’indépendance du Québec et à soutenir un régime politique de l’extrême gauche. Le FLQ se sert de la violence et du terrorisme pour réaliser leur désir

Broadcasting Corporation BCS : Business Communication Solutions BVP : Bureau de Vérification de la Publicité CBS : Columbia Broadcasting System CD: Compact Disc C. FM : Contact FM CRI : Centre Régional d'Information FM : Modulation de Fréquence FPR : Front Patriotique Rwandais HCP : Le Haut Conseil de la Presse KWh : Kilowatt/heure MTN : Mobile Telecommunication Network NBS : National Broadcasting Company ORINFOR : Office Rwandais de l'Information PS : Parti Socialiste RGPH : Recensement Général

La cathédrale saint Pierre d’Angoulême * Son Histoire * Un temple dédié à Jupiter aurait été élevé à l'emplacement de la cathédrale d'Angoulême à l'époque gallo-romaine. Au IVe siècle, une cathédrale consacrée à Saint Pierre est construite. Les Wisigoths (peuple allemand) la détruisent. La cathédrale est rebâtie au VIe siècle. Ce deuxième édifice est détruit en 981 suite à un incendie lié aux raids Normands dans la région. Une nouvelle cathédrale est alors élevée par l'évêque Grimoard

l'Algérie. Cette guerre sera longtemps appelée « guerre sans nom », du à la non reconnaissance de guerre de la part des français. Elle oppose l'armée française aux troupes indépendantistes de l'Armée de libération nationale (ALN) et aux branches armée du Front de libération nationale (FLN) . Cette guerre est connu pour sa violence, aussi bien sur le corps militaire que sur les civiles. Les populations seront victimes de vagues successives d'attentats, assassinats et massacres commis par le FLN ou bien l'OAS

Le génocide au Rwanda est un génocide qui eut lieu du 6 avril au 4 juillet 1994 au Rwanda, un pays d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué de Hutu (voir Hutu Power), au Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Le 1er octobre 1990, des Rwandais exilés et regroupés au sein du FPR décidèrent de revenir au pays à partir de l'Ouganda, et de prendre le pouvoir par les armes. En réponse

plusieurs reprises en 1963 et 1966 de déstabiliser l’État. En 1973, l’armée rwandaise intervint dans le conflit par la prise de pouvoir du général Juvénal Habyarimana. À partir de 1990, la guerre civile opposa l’armée gouvernementale à majorité Hutue au Front Patriotique Rwandais (FPR) à majorité Tutsie. En 1994, l’assassinat de J. Habyarimana (président Hutue) déclencha le massacre. 90% de la population rwandaise contre une minorité Tutsie de 9%. Avec l’aide humanitaire présente, 2 millions de rwandais

Saint Front : de sa première construction au XIXème siècle Les suppositions des différents spécialistes Certaines traces nous laissent supposer que le début de sa construction date du VIe siècle par l’évêque Chronope II. Frotaire, évêque de 976 à 991, commença la reconstruction de la grande abbatiale de Saint Front. La nouvelle église fut consacrée en 1047, par l’archevêque de Bourges Aymon. De nombreux évêques et chanoines ont porté de différentes suppositions autour de cette église, ayant