Froid industriel

la parodie. I.L’angoisse engendrée par le décor. Des remarques appartenant aux perceptions visuelles, sonores ou tactiles, insistent sur le froid qui anticipe la mort dans cet extrait. Il y a des termes comme « hiver », « givre » et « glace » et des adjectifs comme « dur », « cassant » « sec », « rude » qui se rapportent au chant lexical du froid. Nous pouvons également remarquer la présence d’allitérations en « t » et en « s » avec des mots comme « luisante », « cassante » et « cristal ».

la représentation du duel. I décor et angoisses. A-le froid et anticipation de la mort. Champs lexical du froid: "hiver, givre, gelée, lisse et de glace".L'aspect rude de ce froid. C'est un froid très âpre premier paragraphe "c'était ...cristal" = froid dure = il y a une allitération dentalle en "de", "te" = claquement de dent qui soit lié au froid ou à la peur. Réf chapVI "Il semblait surexcité et triste". Association mort-froid courant chez Maupassant. B-Retrecissement du champs visuel

Survivre L’Hiver Elle regardait par la fenêtre et fixait les flocons de neige tomber, l’air livide. L’hiver venait tout juste de frapper à la porte. Il faisait autant froid à l’intérieur de son âme qu’il faisait froid à l’extérieur et pourtant, il faisait excessivement chaud à l’intérieur. L’air perdu, elle souffla, « Jai peur, Jacques… ». « Ne t’inquiète pas ma chérie, tout va bien aller. ». « Et si je n’y arrive pas, qu’arrivera t’il? » Il se leva et s’asséya au côté de sa femme, un petit

sensations peuvent être des sensations de chaud, de froid, de picotements, de fourmillement, de crampe, de constriction. Essentiellement tous les types de sensations que le membre a pu faire ressentir durant son existence avant l’amputation. la douleur est ressentie dans le cortex sensoriel du cerveau. Constituant une partie du système nerveux, les nerfs sensoriels recueillent de l’information de leur environnement. Ils sentent la douleur, le chaud, le froid, le contact, le son, la lumière, entre autre

| |De paysan à enfant de troupe, il y a un grand pas à franchir. La vie dans l'école militaire est loin d'être facile. Avec | |beaucoup d'émotion, le jeune héros nous fait partager la faim, le froid, les sévices que les " anciens " font subir aux " bleus | |", le sadisme de certains gradés, la peur de la guerre. Il raconte aussi son éveil à l'amour avec la femme de son chef... | |Les Brûlures de la neige 

Emile Zola Commentaire Composé sur l'incipit de Germinal pour le /12. Plan de Construction : Introduction : Auteur + Oeuvre + Texte + Phrase d'Introduction du Plan 1) Un homme (anonyme) marche, dans une détresse certaine. 1-1 > Le froid l'affecte. 1-2 > Il se trouve en détresse matérielle. 1-3 > Ce qui provoque son hébétude. [transition] 2) Il traverse une plaine lugubre. 2-1 > Avec d'épaisses ténèbres. 2-2 > Rase, sans abri. 2-3 > Balayée par le vent

fils du juge Othon perturba ses certitudes. Il meurt, seul, sans avoir sollicité de médecin. Tarrou et Rieux, devant la dureté des évènements, ne connaissent que pour la première fois un moment d’amitié en se baignant dans la mer froide d’automne. Vient Noël et le grand froid, Grand tombe malade et alors qu’on le croyait finit guérit grâce à un nouveau sérum. La réapparition des rats, cette fois vivants, rassurent les habitants. Peu après Othon puis Tarrou, en la compagnie de Rieux et de sa mère, meurent

s’inversent, Arnolphe souffre de ne pouvoir trouver l’amour d’Agnès, de se heurter à sa « piquante froideur » (v1566) et à son insensibilité. Arnolphe découvre les tourments de l’amour comme la jalousie : plus l’être est aimé, plus se montre distant et froid, plus l’amour qu’on lui voue s’intensifie ; plus on sent qu’il nous échappe, plus on s’accroche à lui. (v 1016-1017) « Plus en la regardant je la voyais tranquille, Plus je sentais en moi s’échauffer une bile » La

ton secours. MA CASE Au secours! Au secours! Tables de nuit, lits, armoires se consument dan les flammes. O! Ma case brule. Celle qui a été construite par mes ancetres Sous le sang humain et animal; Sous la chaleur du jour et le froid de la nuit. Oui! Ma case porte un collier Aux perles de maux et de douleurs; Qu'elle partage avec celles de sa concession Dans un village aux sourires hypocrites. Au secours! Au secours! Sapeurs pompiers spectateurs. Aidez nous

Ainsi  qu’un  vieux  soldat  qui  veille  sous  la  tente  !     Moi,  mon  âme  est  fêlée,  et  lorsqu’en  ses  ennuis   Elle  veut  de  ses  chants  peupler  l’air  froid  des  nuits,   Il  arrive  souvent  que  sa  voix  affaiblie     Semble  le  râle  épais  d’un  blessé  qu’on  oublie   Au  bord  d’un  lac  de  sang,  sous  un  grand