Froid industriel

imite ici sa respiration apaisé. - Premier tercet : la nature prend soin de lui, il sourit dans son sommeil, le vers 10 apporte quelque chose d’étrange : est-ce un sourire forcé ? Est-il fatigué ? La nature devient une mère, elle le berce car il a froid : c’est inquiétant. - Deuxième tercet : l’inquiétude revient ; sa narine est inerte. Au vers 13 on retrouve quelque chose de paisible, alors que le dernier vers est une surprise : sa blessure est sérieuse le lecteur surpris va relire le poème autrement

que l'auteur a jugé à propos de ne les donner qu'en croquis, entre autres celle d'un étudiant en droit, Rastignac, l'amant d'une des filles du père Goriot ; jeune homme d'une famille noble, mais pauvre, venu à Paris pour faire son chemin ; esprit froid et calculateur qui veut étudier le monde pour le mieux faire servir à son élévation. Nous n'avons rien dit non plus de certains détails du livre, pleins d'exagération et de fausseté, où Balzac fait jouer gratuitement au père Goriot, dans l'intrigue

rêveur comme un triste Clitandre, Un jour il entendit qu'à sa porte on sonnait.   C'était la Mort ! Alors il la pria d'attendre Qu'il eût posé le point à son dernier sonnet ; Et puis sans s'émouvoir, il s'en alla s'étendre Au fond du coffre froid où son corps frissonnait.   Il était paresseux, à ce que dit l'histoire, Il laissait trop sécher l'encre dans l'écritoire. Il voulait tout savoir mais il n'a rien connu.   Et quand vint le moment où, las de cette vie, Un soir d'hiver, enfin

la situation », 'j'avais perdu de vue la cause principale de mon réveil » | Le narrateur semble bien réveillé, tous ses sens sont en éveil : « En un clin d'oeil, je fus au milieu de la chambre », « ma première impression, en même temps que celle du froid aux pieds (sens tactile) fut celle d'une vive lumière » (sens visuel), « flamme déserte et pâle » (sens visuel), l'heure sonna dehors, à l'église, dans le vent nocturne (tactile et auditif) | | | | | | | * un narrateur interne à l'histoire

son chien et son chat. Un mariage ne lui coûte rien à contracter ; il ne se sert point d'autres pièges pour attraper les belles, et c'est un épouseur à toutes mains. Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui ; et si je te disais le nom de toutes celles qu'il a épousées en divers lieux, ce serait un chapitre à durer jusques au soir. Tu demeures surpris et changes de couleur à ce discours ; ce n'est là qu'une ébauche du personnage, et pour en achever

Incapacité à se mettre à la place d’autrui, à se représenter le monde de l’autre. ✓ Aucune empathie, aucun remords de conscience ou dégoût de soi, aucune culpabilité ou honte. ✓ Personnalité narcissique, égocentrique, calculatrice (détachement froid). ✓ Autrui devient un objet conçu pour leur propre amusement (ex : prédateur-proie). ✓ Seul impératif : satisfaire ses pulsions en réduisant autrui en esclavage. ✓ Intelligence moyenne, menteur et manipulateur invétéré. Prédispositions : facteurs

Toutefois, on peut dégager quelques caractéristiques générales du climat franc-comtois à l'aide des différentes cartes qui suivent : - Une humidité assez importante qui s'accroît avec l'altitude. - Une amplitude thermique assez forte avec un hiver froid et un été doux. La combinaison des températures et des précipitations donnait naissance à quatre saisons différenciées. Traditionnellement, on oppose deux régions climatiques en Franche-Comté : un climat semi-continental dans la plaine avec de

sous souligner avec des adverbes : mal maladroit plus plus-value avec des prép. en outre outrepasser emploi adverbial: sous sous-alimenté les mots arrière et avant: arrière-pays avant-garde Suffixation avec changement de la catégorie: « -eur »: froid froideur « -eur » s’applique à un adjectif en faire un nom « -is »: fertile fertiliser « -is »: s’applique à un adjectif pour en faire un verbe « -eux »: courage courageux « -eux »:s’applique à un verbe ou un nom en faire un adjectif boîter boîteux

fleurissent) souvent utilisée en publicité mais le montre sous un autre jour : il nous montre un couple qui bien qu'à deux paraissent quelque peu étrangers l'un pour l'autre, ce sont des silhouettes anonymes et le font gris sous entend une humeur froide entre les deux personnages mais surtout il souligne son visuel par des phrases frappantes qui montrent clairement le malheur de leurs situation. Contrairement à l'habituelle figure pleine de joie que nous montrent les publicités on à là des couple

pour nous en acheter un beau et neuf. Et pourtant, Jacqueline, travaillait dans une entreprise d'usine de mode et moi, je travaillais quelque part, dans les prés, j'étais paysans et cultivateur,   je l'étais et je le suis toujours. La nuit faisait froid. Je sentais mes dents se claquer. J'etais rempli de frisson, et je tremblais. 15.84+17+13.08+10+16.5+12+10+15.1+12.75+20http://www.bing.com/images/search?q=no+et+moi+livre+analyse&FORM=HDRSC2#view=detail&id=72B8C262A20B03157D07206D284FAF84F419BDC5&selectedIndex=4http://www