Fresques Catalanes Arrêt

Cass, ass. Plén, 15 avril 1988 Dans cet arrêt de la Cour de cassation rendu en assemblée plénière, il s'agit de déterminer le régime juridique des fresques Catalanes qui ont changé de propriétaires alors qu'elles étaient affectées à un bâtiment. En l'espèce, il s'agit de fresques qui décoraient l'église désaffectée de Casenoves, celles ci ayant été vendues par deux propriétaires sans l'accord des deux autres qui possèdent ensemble le bâtiment. Ces fresques ayant été enlevées du mur par un nouveau

Commentaire d’arrêt : Il s’agit ici d’un arrêt de la cour de cassation en assemblée plénière du 15 avril 1988. On l’appelle l’Affaire des fresques Catalanes. Cet arrêt illustre la distinction faite entre meuble et immeuble. Deux propriétaires indivis de l’église désaffectée de Casenoves ont vendu des fresques qui décoraient le bâtiment sans l’accord des deux autres propriétaires à savoir deux femmes. Ces fresques ont alors été détachées des murs de l’église et se trouvent désormais en la possession

la classification la plus ancienne en doute. Il s’agit d’une décision rendue par l’assemblée plénière le 15 Avril de 1988. Elle porte sur une dispute de compétence relative aux doutes sur la nature des fresques d’une église entre si c’était meubles ou immeubles. À la suite d’une vente des fresques d’une église en territoire français de la ville de Genève qui a été réalisé sans le consentement de deux des quatre propriétaires a deux acquérants helvétiques, les deux propriétaires qui n’avaient pas

Chargé par : M. Bun Pagna Nom et Prénom : Pich SokvatanakClass : FS1Group 2 Il s’agit d’un arrêt de la cour de cassation en assemble platière rendu en date 15 avril 1988 « Affaire des fresque catalanes » portant sur la revendication immobilière. Les fresques décorant l’église désaffectée de Casenove ont été vendu par Mmes Ribes et Poncy sans l’accord des deux autres. Les fresques ont été détachées des murs par l’acheteur, qui est la foundation Abegg et de la ville de Genève.Mmes

s’étaient répandus à travers les salles et regardaient les mosaïques , les bronzes, les fresques détachées des murs de la ville morte, selon que leurs caprices les éparpillaient, et quand l’un d’eux avait fait une rencontre curieuse ,il appelait ses compagnons avec des cris de joies, au grand scandale des Anglais taciturnes et des bourgeois posés occupés à feuilleter leurs livrets. Mais le plus jeune des trois, arrêté devant une vitrine, paraissait ne pas entendre les exclamations de ses camarades, absorbé

l'instauration d'un nouvel ordre esthétique qui tend à la simplification et à l'innovation. La préférence accordée aux sujets profanes conditionne sensiblement les genres picturaux: on constate une diminution des oeuvres religieuses au profit des fresques traitant de thèmes mythologiques, une prédilection pour les petits tableaux de dévotion destinés aux oratoires privés, un attrait pour les types et scènes populaires, une apparition de la tauromachie dans les peintures de cabinet, et enfin une multiplication

de la misère et va bientôt épouser la femme qu'il aime plus que tout, Mercedes, une Catalane. Néanmoins tout va basculer à cause de deux personnes : Danglars et Fernand. Le premier souhaite devenir le capitaine du bateau tandis que le second est lui fou amoureux de Mercedes. Ils vont donc ourdir un complot en l'accusant de Bonapartisme. En effet, Dantes, sous l'ordre de son ancien capitaine, à fait un arrêt à l'île d'Elbe, où est exilé Napoléon et a récupérer une lettre a remettre à un certain

au gré des influences nationales ou internationales en intégrant un style, puis l’autre, comme une nourriture picturale et spirituelle qui allait combiner ses apports en une œuvre profondément originale. L’impressionnisme qui marque les peintres catalans de la fin du XIXe siècle ne pouvait pas manquer de l’influencer mais cela fut de courte durée. Dalí fut très tôt en rupture avec ce mode peinture sur le motif, sans doute poussé à la fois par ses obsessions personnelles que par une volonté de dépasser

l’éventail, et à l’instar du graveur Félix Bracquemond qui collabore étroitement avec l’industrie de la porcelaine, Dufy quitte son chevalet pour œuvrer aux côtés d’ouvriers d’art et ce dans des techniques variées : soierie certes, mais aussi céramique, fresque, tapisserie, illustration, et même scénographie et publicité. Surtout, ces expériences techniques, qui lui apprennent beaucoup, interagissent, comme chez Gauguin, avec son expression picturale. Une lente intégration du décoratif. La rétrospective

quoi il pourrait faire un édifice typiquement barcelonais et de nulle part ailleurs : c’est pour cela qu’il s’est inspiré de la tradition catalane en reprenant un artiste de la région : Gaudi. Cette œuvre, que ce soit dans la forme ou dans la couleur s’inspirent de son œuvre en rappelant l’utilisation de la couleur rouge ainsi que la forme des pinacles catalans. Il dit je cite « cette idée a fonctionné, puisque les Barcelonais se la sont appropriée : ils veulent même me donner la clé de la ville,