Frankenstein

Ex. : Frankenstein, MARY SHELLEY (1817) Frankenstein est un savant qui crée un homme artificiel à partir de morceaux de cadavres mais, en voyant sa créature, il prend peur et s’enfuit. Le monstre, puissant et conscient, souffre de la peur qu’il inspire. Condamné à la solitude, il se venge de son créateur et de la race humaine en général en tuant les proches de Frankenstein avant d’en finir avec ce dernier. La créature est d’abord patient puis agent (via la vengeance) ; Frankenstein est d’abord

primitives africaines qui « étaient des gens redoutés » car ils allaient chercher des minerais inconnus et les mettaient aux yeux de tous, ce qui prouve que l’inconnu faisait et fait toujours peur. Dans Repenser la science, Frankenstein est cité : il s’agit du docteur Frankenstein qui créa un monstre de manière scientifique. Cette crainte ancestrale refait surface car la société a peur que la science engendre des « monstres » tels que cette créature. La crainte de l’inconnu est prouvée à nouveau dans

que le scientifique se sente sous se prétexte autorisé à faire n'importe qu'elle recherche au mépris des conséquences morales (Cf. Frankenstein ou la figure du savant fou) . 6/ Références possibles : Aristote : Les premières pages de La métaphysique Ethique à Nicomaque Livre 6 Descartes : Discours de la méthode, 6ème partie Mary Shelley : Frankenstein Bachelard : La formation de l'esprit scientifique

Joueur R. EMMERICH, Le jour d’après FRISON-ROCHE, Premier de cordée A. GIDE, Les Caves du Vatican, le livre V (Lafcadio) W. GOETHE, Faust J. de LERY,Histoire d’un voyage en la terre du Brésil P. PONSON DU TERRAIL, Rocambole M. SHELLEY : Frankenstein ou le Prométhée moderne D. SIMMONS, Ilium R.L. STEVENSON, L’étrange Cas du docteur Jekyll et Mr Hyde E. ZOLA, Au Bonheur des Dames Essais M. CALLON, P. LASCOUMES, Y. BARTHE, Agir dans un monde incertain. Essai sur la démocratie technique

des actes chirurgicaux qu’il a commis, a l’inverse du docteur qui les compare à une prouesse. Quant au débat entre Helga Nowotny, Peter Scott et Michael Gibbons, dans Repenser la science (éd. Belin, 2003), il décèle un nouveau syndrome : celui de Frankenstein et devine un futur incertain ancré dans le paradoxe : demande de la science inépuisable – trouble du public face aux avancées scientifiques. En quoi les textes proposés exposent-ils les craintes liées à la recherche scientifique du monde actuel

pour une certaine partie du genre fantastique : 1) Le fantastique « type » : Dans le fantastique « type », le narrateur se retrouve en face d'un événement, d'une créature fantastique. On peut citer par exemple Frankenstein, de Mary Shelley, met en scène un Docteur (le Dr Frankenstein) qui va tenter de recréer la vie à partir de cadavres humains. 2) L'irruption progressive du surnaturel dans le monde réel : Dans certaines œuvres, le fantastique apparaît petit à petit, de façon très progressive

humaines-, son rôle d’agent est renforcé. Ex. : Frankenstein, MARY SHELLEY (1817) Frankenstein est un savant qui crée un homme artificiel à partir de morceaux de cadavres mais, en voyant sa créature, il prend peur et s’enfuit. Le monstre, puissant et conscient, souffre de la peur qu’il inspire. Condamné à la solitude, il se venge de son créateur et de la race humaine en général en tuant les proches de Frankenstein avant d’en finir avec ce dernier. La créature est

donne une assurance de fiabilité, parce que les éléments ont fait leurs preuves et qui permet des économies d'échelle substantielles. UNE VOITURE FRANKENSTEIN Ainsi Logan s'est retrouvée équipée des fonctions électroniques de la Twingo-I, du pommeau de vitesses de l'Espace-III ou des commandes de vitres électriques de la Mégane-I. Bref, une voiture Frankenstein, comme la dépeint lui-même Louis Schweitzer. "Last but not least", encore fallait-il disposer aussi d'une usine aux coûts salariaux imbattables

Tenue de soirée (1986) Trop belle pour toi (1991) Decision at sundown (1957) Qui tire le premier ? (1971) Le bel Antonio (1960) Ce merveilleux automne (1969) Léo the last (1970) Délivrance (1972) Zardoz (1974) Excalibur (1981) Trains potting (1996) Frankenstein (1995) Beaucoup de bruit pour rien (1996) Hamlet (1997) Jean-Claude BIETTE : Bertrand BLIER : Budd Oscar BOETTICHER : Mauro BOLOGNINI : John BOORMAN : Danny BOYLE : Kenneth BRANAGH : Marlon BRANDO : Robert BRESSON : La Vengeance

dévorante pour ne pas trahir son mari. Elle est décrite comme un modèle de perfection (la perfection est par essence extraordinaire) 2. Le héros, toujours pour nous captiver, accomplit des actions sortant de la normale. Ex : Frankenstein de Mary Shelley. Le docteur Frankenstein arrive à ranimer un corps mort, et à en fait un monstre. 3. Le héros est fait pour se surpasser et nous éblouir. Ex : Les Trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas : roman type de cape et d’épée. Résumé : Le roman raconte les