François IV de Modène

trente-neuf principautés dominées par Prusse + Autriche-Hongrie revendiquant l’héritage du Saint Empire Germanique. Italie très morcelée (Piémont-Sardaigne, Lombardie-Vénétie, les Etats du Saint-Siège et le Royaume de Naples + principautés de Parme, Modène, Florence). Domination Autriche, économies arriérées, sociétés cloisonnées.  absence totale et très ancienne de tradition démocratique et auto-déterministe. B) Revendications sociales et démocratiques Arriération sociale : féodalité encore en

Avignon. Le Bourbon Ferdinand Ier retrouve son royaume des Deux-Siciles. Les duchés de Parme, Plaisance et Guastalla sont attribués à l'épouse de Napoléon, Marie-Louise d'Autriche. Modène et la Toscane sont attribués à des Habsbourg (Ferdinand III de Lorraine, grand-duc de Toscane et François IV d’Este-Lorraine, duc de Modène). Le retour des souverains légitimes s’accompagne partout du régime politique antérieur. L’Autriche tient garnison dans les citadelles de Plaisance, Ferrare et Comacchio. [pic]

d'art 3. Quelques signataires du traité du Saint-Germain a. Les parties contractantes b. Pour la partie puissances alliées et associées : 1 III. Traité de Neuilly 1. Conséquences du traité de Neuilly 2. Les résolutions du traité de Neuilly IV. Traité de Trianon 1. Les Dialogues 2. Les conséquences du traité de Trianon 3. Résolutions du traité de Trianon V. Traité de Sèvres 1. 2. Les conséquences du traité de sèvres Résolution du traité de sèvres Conclusion 2 Introduction

Pend au gibet, les pieds de Miguel sur sa tête ; Lorsqu'Albani gouverne au pays de Caton ; Que Naples mange et dort ; lorsqu'avec son bâton, Sceptre honteux et lourd que la peur divinise, L'Autriche casse l'aile au lion de Venise ; Quand Modène étranglé râle sous l'archiduc ; Quand Dresde lutte et pleure au lit d'un roi caduc ; Quand Madrid se rendort d'un sommeil léthargique ; Quand Vienne tient Milan ; quand le lion belgique, Courbé comme le boeuf qui creuse un vil sillon, N'a

politique des Réunions. Louis XIV pendant la guerre de ligue d'Augsbourg Louis XIV envahit l'électorat de Cologne, la principauté de Liège ainsi qu'une partie du Palatinat avant même d'avoir reçu la réponse à son manifeste. Peu de temps après, Louis François de Bouffers (militaire français) assièga la forteresse de Mayence. Le 29 octobre 1688, Louvois ordonna l'invasion du Palatinat du Rhin. En détruisant très brutalement le Palatinat du Rhin, Louis XIV monta l'opinion allemande contre lui. Pierre Jurieu

Frédéric-Guillaume IV à accorder une Constitution à ses sujets ainsi qu'à adopter le nouveau drapeau national de l'Allemagne unifiée (noir, rouge et or). À Munich, le roi de Bavière Louis 1er est obligé d'abdiquer le 20 mars. La reprise en main Le 29 avril, première dissonance : le pape Pie IX refuse de rejoindre le roi de Piémont dans sa guerre contre l'Autriche. Les autres alliés italiens hésitent, d'autant que le roi de Piémont profite de la guerre pour annexer en juin 1848 Parme, Plaisance et Modène. Le

morcelé en dix États. Il y a quatre États principaux : le Piémont-Sardaigne, la Lombardie-Vénétie, les États du Saint-Siège (ou États pontificaux) et le Royaume de Naples (ou Royaume des Deux-Siciles), ainsi que des principautés moins étendues : Parme, Modène, Florence (ou Grand Duché de Toscane). Autant de régimes politiques, tous dominés plus ou moins directement par l’Autriche. Leurs économies sont arriérées, cloisonnées, dominées par le clergé et la noblesse. Les classes moyennes sont sans influence

autoritaire... A ces conflits politiques s'ajoute la scission entre partisans d'une Grande Allemagne et ceux d'une Petite Allemagne. Le souverain finalement désigné, l'archiduc Jean, n'a pas de pouvoir réel. Quant au roi de Prusse, Frédéric-Guillaume IV, il ne veut pas entrer en conflit avec l'Autriche, ce qui va finalement causer la chute des ambitions nationalistes allemandes. On voit que confrontées à l'épreuve de la réalité, les revendications nationales ont bien plus de peine à s'imposer. En

qui ne peut plus négliger les réalités de son époque B- Une lente et tardive mise en route. •De Paul III à Charles Quint : des premiers signes d'ouverture en guise de préparatifs •Une difficulté dans le choix de la ville •La guerre (notamment entre François I er et Charles Quint) : un obstacle au concile C- Rouages et étapes du concile, une initiative et un déroulement chaotique. •Un concile couteux, peu fréquenté et peu représentatif des nations •De la discussion au vote : les étapes du concile •Les

parlement, représentant tous les Etats allemands. Cette assemblée se réunira pour la première fois le 18 mai à Francfort. Le 18 mars 1848, une révolution éclate à Berlin. Des barricades sont érigées dans les rues. Le roi de Prusse, Frédéric-Guillaume IV, est obligé d’accorder une nouvelle constitution à ses sujets et les autorise à brandir le nouveau drapeau national de l’Allemagne unifiée. A Munich, le roi de Bavière est obligé d’abdiquer le 20 mars 1848. Avec ces insurrections, il y a comme un vent