Franc congolais

« mouvement national congolais » MNC-Lumumba . Du 4 au 7 Janvier 1959 , ont lieux des émeutes à Léopoldville provoquées par l'interdiction tardive d'un meeting de l'ABAKO. Le 13 janvier, déclaration gouvernementale annonçant l'intention belge de réaliser rapidement l'indépendance du Congo unitaire. L'ABAKO rejette cette déclaration deux jours plus tard. La suite de l'année 1959 voit d'abord l'autorisation des partis congolais, suivie d'élections générales sur l'ensemble du territoire congolais marquées par

| | | |Bosco Ntaganda le remplace : Accord signé avec le gouvernement congolais (quelques mois plus tard) | | | |

Roi Baudoin , qui était auparavant le Roi Belge , pour lui expliquer la situation sociale des Congolais . Le ministre Belge à l'époque , August Buisseret , veut faire évoluer le Congo et développer l'enseignement public . Lumumba est d'accord avec cela et il y attire des notables congolais . En 1956 il fit suivre une lettre expliqauant que chaque personne Belge qui aide à l'évolution du Pays les congolais en seront fortement reconnaissant . Par l'invitation du premier ministre Belges , il se rend

charte des Nations Unis en 1945. L'impact de ces mouvements d'indépendance va rapidement atteindre le Congo qui connaît une effervescence politique à la fin des années 1950. De multiples parties politiques voit le jour comme le Mouvement National Congolais lancé par Patrice Lumumba en 1958. Le conflit débute lors d'émeutes indépendantistes en 1959 à Léopoldville et à Stanleyville. Dans la précipitation le gouvernement belge cède. L'indépendance du Congo est proclamé le 30 juin 1960. Cet Etat indépendant

à la résolution des conflits et à l’instauration d’une paix durable, en Afrique des grands lacs, aux enlatours et précisément en République Démocratique du Congo. b) L’objectif L’objectif ultime assigné à ce travail est de faire réfléchir les congolais. Ceux qui, dans le drame sans fin de la RD Congo, pourraient avoir besoin de points de repère pour un engagement politique responsable. Ceux, qui, par contre, ont intérêt à bâtir la troisième République sur des sables mouvants n’y auront vu qu’un

Discours du Président Français Nicolas SARKOZY devant le Parlement Congolais, Kinshasa 26.03.2009 Soumis par CIDI-RDC le Sam, 28/03/2009 - 10:43 Congo (RDC) | Développement communautaire ALLOCUTION DE MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DEVANT LE PARLEMENT DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO Kinshasa Jeudi 26 mars - 11h15 L’Histoire est jalonnée de périodes charnières où d’immenses bouleversements ont mis les hommes à l’épreuve. Par faiblesse, ils ont pu se résigner à leurs malheurs

éviter des guerres prolongées en octroyant contractuellement l’autonomie. Quant à la France, elle va s’enliser dans des guerres coloniales, notamment en Algérie, au terme desquelles elle finira par octroyer l’indépendance. En 1960, en même temps que toute une série de pays africains, le Congo accède à l’indépendance. Comment la Belgique va-t-elle réagir face aux mouvements nationalistes ? Quels arguments les Congolais vont-ils avancer pour réclamer leur indépendance ? Comment le Congo va-t-il accéder

des taxes, royalties et autres bonus versés par les compagnies en échange de l’exploitation du brut, tout comme la dette de l’Etat congolais envers Total, principal opérateur pétrolier du pays. Une opacité qui dissimule des détournements de fonds et autres procédés illégaux. […] Le mouvement initié par l’Eglise catholique, rejointe notamment par l’Observatoire congolais des droits de l’homme et les autres Eglises congolaises, n’a rien de marginal. Les Eglises sont une force avec laquelle il faut compter

africaine, revue culturelle du monde noir, février-mars 1957. Document 4 : discours du général de Gaulle à Conakry (capitale de la Guinée), le 25 août 1958 Il n’y a pas de raison, et je ne serais pas là si je n’en étais pas convaincu, pour que la France rougisse en rien de l’œuvre qu’elle a accomplie ici avec les Africains. Nous voyons à chaque pas, quand nous prenons pied sur cette terre de Guinée, quelles sont les réalisations que l’œuvre commune a accomplies déjà, et quand nous entendons les présidents

3 fois la France). Climats: Equatorial, tropical, montagneux. Population : 57,5 M habitants (2005) ; 50% ont – de 16 ans. 32% sont citadins. Densité : 25 hab. / km² (2005). Capitale : Kinshasa : 6 à 7 millions habitants. Langue officielle : Français. Langues nationales : Kikongo, lingala, swahili, tshiluba. Religions : Catholiques 45 %,  protestants 30 %, kimbanguistes 10%, musulmans et animistes 15%. Repères économiques et sociaux IDH : 0,385 en 2003 (0,431 en 2001, France : 0.932 en