Foule

sont habillés en baggy, tee-shirt trois fois trop grand, dread-locks et bien sur drapeau jamaïcain autour du coup. Tout le monde se bouscule pour être devant sur le par terre. « Dans ce genre de concert mon gars, il faut être devant et dans la foule. Ça va sauter dans tous les sens, ça va être de la pure folie » explique Patrick. La bière coule à flot et les clopes au bec se multiplient. Il est 21h00, les spots bleus illuminent la salle. Une forêt fait son apparition en fond avec la silhouette

Hugo illustre cet acte d’inhumanité en mettant en scène une foule riant de Gwynplaine, un enfant qui souffre de la difformité de son visage lui laissant un rire indélébile. « L’éclat de rire foudroyant », qui témoigne de la brutalité des moqueries, est un rire d’incompréhension car la foule refuse de reconnaître l’humanité du jeune homme, qui pourtant l’un de leur semblable, derrière sa monstruosité physique. Le comportement bestial de la foule va alors à l’encontre de la morale éthique qui voudrait

sens courant, le mot foule représente une réunion d’individus quelconques, peu importe leur nationalité, religion, origine, ou bien leur sexe, quels que soient les hasards qui les rassemblent. L’auteur nous explique que du point de vue psychologique, cette expression qui nous semble familière prend une toute autre signification. En effet, lors de ces rassemblements la « personnalité consciente » de tout un chacun s’évanouit, les idées de toutes les composantes de cette foule vont vers une même direction

| |La foule |Claire |Jeanne Rouxel | |La foule |Madeleine |Oriane | |La foule |Clara |Constance | |La foule |Clémence

retourner dans sa banlieue. Son désespoir est à son comble. Un petit tour par la place Blanche avant de rentrer. Je vois du monde tout le long de la rue Lepic, encore plus que d’habitude. Je monte donc aussi, pour voir. Au coin d’un boucher c’était la foule. Fallait s’écraser pour voir ce qui se passait, en cercle. Un cochon c’était, un gros, un énorme. Il geignait aussi lui, au milieu du cercle, comme un homme qu’on dérange, mais alors énormément. Et puis, on arrêtait pas de lui faire des misères. Les

mots sur son nom " Georges Du Roy " - La sortie de l'Eglise = procession royale (cf. 3ème paragraphe avant la fin). La foule est immense. Champ lexical de la foule Elle est comparée à une masse. => c'est une masse anonyme qui n'existe que par rapport à Bel-Ami : elle est là pour l'acclamer. Dans l'incipit Bel-Ami est dans la foule, ici il en est détaché. Pour Bel-Ami la foule existe en fonction de ce qu'elle donne : acclamations (l.10) et des compliments (l.12) - Il peut ambitionner le Palais

procédés. Une fois son prix récupéré celle-ci s’enfuit tel un renard ayant attrapé sa proie. La foule la vit s’en aller et ce perdre parmi les stands de fruit et légumes. « Nous appelons donc maintenant Mr Jean-Jacques Piemonte, de Sassetot-la-Guerrière également, pour les meilleurs légumes de notre ville, une médaille d’or d’une valeur de cinquante francs. » C’est alors que sorti de la foule un homme de taille moyenne, courbé par toutes ces années de culture. Sur son passage hommes et femmes

Dreyfus et de la parution de son texte J’accuse. C’est un récit imaginaire mais calqué sur la réalité. C’est un chapitre descriptif, assez sombre tout en restant satirique et burlesque, Colomban (Zola dans le roman) se fait poursuivre et lyncher par la foule en voulant défendre Pyrot et est condamné par le pouvoir après avoir écrit son pamphlet. Ce qui est marquant dans ce chapitre c’est la violence du peuple et la diminution de l’importance de Zola et de l’impact de J’accuse dans l’affaire.    Nous pouvons

parce que la foule, par le seul fait d'être foule, est bête. Comme le disait Adolf Hitler : « La propagande doit [en s'adressant aux masses] être comprise par l'individu le plus bête qui compose cette masse. Mais je reprendrais plutôt la conception de Gustave le Bon, qui dans son ouvrage Psychologie des foules (excellent ouvrage, que je n'ai pas encore terminé), énonce que « le caractère de la foule est celui que tous ont en commun ». C'est évident : si vous êtes seul dans une foule à crier « Non

au début il est inconnu de tous, il est complètement dans l’ombre et à la suite de ses différents périples il sort de l’ombre, comme il sort de l’église. Et il est acclamé par une foule. De plus le soleil symbolise la victoire. 3) Montrez que Duroy se prend pour un monarque. Quels sont ses rapports avec la foule ? Quels termes désignent cette dernière ? Tout d’abord la métaphore ligne 4 « affolé de joie, (il) se croyait un roi du peuple » indique clairement que Duroy se compare à un monarque