Formule de Leibniz

Cacambo félicite les indiens « C’est très bien fait » (l.18). C Critique de Leibniz - Allusion à Leibniz à travers Pangloss qui défend ses idées : « Ah! que dirait maître Pangloss , s'il voyait comme la pure nature est faite ? »(l.12). - Reprise d’une formule de Pope : « Tout est bien » (l.13). - Or tout n’est pas bien ce qui montre que la théorie de Pope n’est pas valable. - Candide qui est pour Leibniz se met à en douter (l.13-14). - Candide est naïf : (l.17). II Critique

Candide de Voltaire Léandre Equey, Fabio Da Costa, Matthias Scherwey Plan de la présentation Voltaire Les personnages Resumé de l’histoire Les themes La théorie de Leibniz L’ironie voltairienne L’auteur : Voltaire François Marie Arouet (Voltaire), né en 1694 à Paris. Il est issu d’une famille bourgeoise. Poète, dramaturge, conteur et historien, il a participé à la rédaction de l’Encyclopédie. Ces écris satiriques et anticonformiste lui ont valu l’emprisonnement et l’exil S’est engagé

on peut le prouver que nous sommes dans la situation initiale car tout à l'air pour le mieux, le baron est puissant, il y a une jolie princesse et un jeune homme amoureux. On a l'impression d'une situation d'équilibre. Enfin, la formule « il y avait » est une formule empruntée du conte. II- De l'argumentation dans la narration : Cependant, ce n'est pas seulement un conte, c'est en effet un discours narratif mais à valeur argumentatif, c'est donc un apologue. a) Voltaire critique la noblesse

réalité cachée derrière des illusions, qui sont ainsi dénoncées? I/ L'univers du conte. A/ Les formules traditionnelles du conte. - Formule typique du conte: "Il y avait " qui revient à "Il était une fois". Voltaire inscrit cet incipit dans un genre codé: le conte, à partir duquel le lecteur pourra mesurer l'écart entre ce qu'il écrit et ce qu'il veut dire. -Autres formules: "icelui": archaïsme, traditionnel du conte. - Comparatifs et superlatifs: « les moeurs les plus douces

plus tard. http://leblogdetoni.over-blog.com/article-commentaire-la-princesse-de-cleves-1ere-rencontre-entre-mme-de-cleves-et-m-de-nemours-48003798.html I)Parodie du conte a)Caractéristiques du conte : formule initiale : Dès la ligne 1, le cadre du conte merveilleux est posé avec la formule « il y avait » propre aux contes de fées et avec le château, élément caractéristique du conte. De plus, cette ouverture du conte est naturellement un emprunt aux contes merveilleux qui mettent en scène des

voulant affirmer des choses inquiétantes pour l’Eglise), Descartes prend conscience que les mathématiques sont quelque chose de très particulier. Toute la révolution intellectuelle de cette époque à leur sujet est résumée par la formule célèbre de Galilée disant : «  Dieu est comme un poète qui écrit en vers alors que le monde a été écrit en langage mathématiques ».

né d'une famille de fermiers, est un philosophe, mathématicien, physicien, alchimiste et astronome anglais. Figure emblématique des sciences, il est surtout reconnu pour sa théorie de la gravitation universelle et la création, en concurrence avec Leibniz, du calcul infinitésimal. En optique, il a développé une théorie de la couleur basée sur l'observation selon laquelle un prisme décompose la lumière blanche en un spectre visible. Il a aussi inventé le télescope à réflexion composé d'un miroir

puisqu'il est imprécis Cadre Spatial La présence d'une formule introductrice : « il y avait », fait référence à « il était une fois », donc au conte. Lieu : Westphalie en Allemagne Champs lexical du château => emblématique du conte Cadre temporelle Dès le début du §, nous avons la présence de l'imparfait qui révèle une durée indéterminée : il y a une sorte intemporalité qui renforce le côté flou du cadre temporelle Il y a aussi des indices à Leibniz, nous faisant pensé au XVIIIème siècle. B – Les

Candide chap 1   I/un incipit caractéristique du conte philosophique a)      Les éléments du conte -la formule « il y avait » qui rappelle la formule consacrée « il était une fois » -les éléments du merveilleux « Thunder-ten-tronckh » a des sonorités abruptes relevant de l'imagination; de même, l'époque est intemporelle. On se situe donc dans un monde qui semble lointain, voire imaginaire: le monde d'un conte. Néanmoins si le cadre spatio temporel relève du merveilleux on retrouve des éléments

décrite par trois adjectifs: « fraîche, grasse, appétissante » (ligne 17): elle représente la sensualité. Le fils du baron est décrit très brièvement: « en tout digne de son père » (ligne 17); il n'a pas de caractère.  Dès le titre, la cible va être Leibniz; un philosophe à peu près contemporain de Voltaire et dont la thèse est: "Tout est bien dans le meilleur des mondes". Ici, il est illustré par le personnage Pangloss qui enseigne 3 sciences stupides "Métaphysiquo-cosmologo-nigologie" (=tout en langue)(ligne