Formule de Leibniz

ds lequel il vivait, il va être confronté à = périples, ce qui va lui permettre d'éprouver l'enseignemt que lui a délivré son précepteur. En effet, ds le conte, Pangloss est le représentant de ceux qui adhèrent à la philosophie de l'optimisme, de Leibniz. Ce passage se situe après celui de l'Eldorado, c'est un retour à la réalité avec la rencontre du héros éponyme avec le nègre de Surinam. Question possibles: Comment Voltaire à dénoncer la condit° des opprimés avec une narrat°/ une récit ?

a toujours passé pour un « idéaliste ». On entend par là qu'il est moins préoccupé que nous du côté positif et matériel de la vie. Pourquoi, étant plus détaché de la réalité, arrive-t-il à y voir plus de choses ?" Voilà typiquement le type de formules dont il faut se méfier, un jour d'examen, lorsqu'on la rencontre sous la plume d'un philosophe : "l'artiste a toujours passé pour" ; deux cas de figure sont possibles : soit il s'agit pour le philosophe en question de débusquer un préjugé qu'il va

»). De plus, c’est une œuvre qui propose constamment un double niveau de lecture par le recours à l’ironie, une arme formelle dont Voltaire a souvent usé. I) L'univers du conte à travers l'incipit A. Les formules traditionnelles du conte. Tout d’abord, Voltaire a recours à la formule traditionnelle du conte : « Il y avait en Westphalie » pour débuter son récit. Il l’inscrit de cette façon dans un genre codé auquel il le rattache et à partir duquel le lecteur pourra mesurer l’écart. Il reprend

Au milieu du 18e siècle, Voltaire à écrit Candide. Il écrit ce conte pour combattre la philosophie optimiste « tout va bien ». On a dans Candide tout ce qui touche le monde de Voltaire et on y trouve toutes les idées combattues par Voltaire. Leibniz dit que tout va bien. Voltaire vit dans un monde du 18e siècle ou il y a des guerres dans lequel il va y jeter Candide. On voit dans le livre qu’il y a des tempêtes, des tremblements de terre, guerre, des comportements individuels (haine). Candide

comme une harmonie : Platon et Aristote 3.2 La justice divine et la justice humaine 3.2.1 Des stoïciens à la justice chrétienne 3.2.2 Deux traditions : Duns Scot et saint Thomas d'Aquin 3.2.3 Pascal et Leibniz 3.3 La justice, la morale et la société 3.3.1 Justice et théorie morale : David Hume 3.3.2 Justice et État : Thomas Hobbes 3.3.3 Justice comme un contrat social : Jean-Jacques Rousseau 3

le simple fait de comprendre, est en fait déjà de sa part la construction d’une interprétation, c’est-à-dire déjà l’élaboration d’un commentaire. Ce qui fait dire à Charles Sanders Peirce que chaque symbole, que ce soit un mot, une phrase, ou une formule scientifique, n’épuise pas son sens en lui-même, mais est essentiellement quelque chose qui a à être développé. Tout signe exige, ou au moins appelle un développement, ne serait-ce que pour remplir sa simple fonction d’expression ou de communication

de Kepler, formule en 1687 dans sa Philosophiae naturalis principia mathematica la loi de la gravitation universelle qui unit en un même principe (l'attraction réciproque des corps) les observations terrestres (chute des corps, origine des marées) et les observations astronomiques (mouvement elliptique des planètes, l'aplatissement de la Terre aux pôles). Cette découverte est révolutionnaire car l'idée de l'action de forces à distance paraissait inconcevable au XVIIe siècle. Il formule aussi le principe

s'exprime toutefois progressivement dans le discours de l'esclave: la place de l'ironie. La neutralité pose la supériorité de l'esclave qui manipule l'ironie avec des qualités d'orateur. " C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe " = formule provocatrice L 10: il maitrise la logique du langage (correcteur logique de concession " cependant " + " Hélas " = interjection qui pose le registre pathétique) L'indignation refait surface dans le syllogisme faussement naïf : Nous humains sommes

optimiste incarnée par Pangloss, représentant en réalité la doctrine de Leibniz qui considère que tout va toujours bien, " que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes " On verra donc dans un premier temps comment le schéma traditionnel du conte est ici utilisée. Puis, comment la double critique se met en place . I – Un conte philosophique ? Le roman commence comme un conte traditionnel : une histoire simple, des formules connues " il y avait " et un décor de rêve : " un château " avec

çççççrII- a) L’inscription de Simone de Beauvoir dans le siècle 1929 : Simone de Beauvoir présente à la fois le « diplôme » actuel de maîtrise de philosophie, sous la direction de Léon Brunschvicg avec pour sujet Le concept chez Leibniz . Mais aussi le concours de l’agrégation de philosophie. Elle se lie notamment d’amitié avec René Mahau, qui est à l’origine de son célèbre surnom « castor ». Mais aussi avec Jean Paul Sartre en préparant l’oral du concours. Elle est reçue deuxième à l’agrégation