Forêt des rêves bleus

synonyme de liberté.. Il reprend l'image du Petit Poucet perdu dans la forêt mais ses repères ne sont pas des petits cailloux. Mais cette absence de moyens est vécue comme un plaisir comme le souligne tout un réseau de caractérisations mélioratives : idéal, splendides, doux, bons, fantastiques. Communion avec la nature : La nature est lieu de protection.   Elle se prête, par les sensations visuelles et auditives qu'elle suscite, aux rêves et aux désirs : mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou je

peupler ce soir l'alcôve obscure Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir ! La langoureuse Asie et la brûlante Afrique, Tout un monde lointain, absent, presque défunt, Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique ! Comme d'autres esprits voguent sur la musique, Le mien, ô mon amour ! nage sur ton parfum. J'irai là-bas où l'arbre et l'homme, pleins de sève, Se pâment longuement sous l'ardeur des climats ; Fortes tresses, soyez la houle qui

intrigué par ses rêves, tente d'expliquer de leur trouver une explication qui va de “sans importance, il ne s’agit que d’un épisode de ma vie" à “un message divin” en passant par le reve prémonitoire, qui prédirait l'avenir si on savait l'interpréter. Depuis longtemps ces rêves nous intrigues, on fait des découvertes qui prouvent que les égyptiens, il y a 3000 ans, pensaient déjà que les rêves était un message divin. Source d'inspiration sans limittes les représentations des rêves dans l'art, que

Victor Hugo Dans la forêt De quoi parlait le vent ? De quoi tremblaient les branches ? Était-ce, en ce doux mois des nids et des pervenches, Parce que les oiseaux couraient dans les glaïeuls, Ou parce qu’elle et moi nous étions là tout seuls ? Elle hésitait. Pourquoi ? Soleil, azur, rosées, Aurore ! Nous tâchions d’aller, pleins de pensées, Elle vers la campagne et moi vers la forêt. Chacun de son côté tirait l’autre, et, discret, Je la suivais d’abord, puis, à son tour docile, Elle

veines, Et sur ton clair amour rôder les doigts glaçants !   Et ce n'est pas mauvais. Tes vers, tes vers livides Ne gêneront pas plus ton souffle de Progrès Que les Stryx n'éteignaient l'œil des Cariatides Où des pleurs d'or astral tombaient des bleus degrés.   Quoique ce soit affreux de te revoir couverte Ainsi ; quoiqu'on n'ait fait jamais d'une cité Ulcère plus puant à la Nature verte, Le Poète te dit : « Splendide est ta Beauté ! »   L'orage a sacré ta suprême poésie ; L'immense remuement

Cauchemar J'ai vu passer dans mon rêve- Tel l'ouragan sur la grève, -D'une main tenant un glaiveEt de l'autre un sablier, Ce cavalierDes ballades d'Allemagne Qu'à travers ville et campagne, Et du fleuve à la montagne, Et des forêts au vallon, Un étalonRouge-flamme et noir d'ébène, Sans bride, ni mors, ni rêne, Ni hop ! ni cravache, entraîne Parmi des râlements sourds Toujours ! toujours !Un grand feutre à longue plumeOmbrait son œil qui s'allume Et s'éteint. Tel, dans la brume,Éclate et meurt

une catastrophe ! murmurait Gaspard. Que me reste-t-il à faire ? ». Gaspard travaille à l’hôtel mais n’a pas de responsabilité car on se méfit des catastrophes qu’il pourrait provoquer. Un jour, il rencontre un enfant de son âge, blond aux yeux bleus, qui se cache. Il a fugué pour retrouver sa mère, Maman Jenny, sa famille et son pays. Dans le secret, toute la nuit, les enfants communiquent entre eux, se parlent en frappant des coups répétés sur les conduites d'eau. Et au petit jour l'enfant

lointaine, et calme, et grave, elle aL'inflexion des voix chères qui se sont tues. Recueil : Poèmes saturniensPaul Verlaine  (1844-1896) J'ai choisi ce poème car il m'a ému et il reflète deux chose qui s'oppose, d'une part il décris la femme de ces rêves en montrant que c'est la femme idéal et d'autre part il reste très vague sur son apparence et son caractère ce qui laisse un flou dans l'imagination du lecteur. Ugolin(Jean-Baptiste Carpeaux ) Cette sculpture est faite en Bronze qui a été fondu

l'impression d'être un nouveau jouet qu'on adore et adule. Après la journée, je rentrai chez moi, et expliquai à ma mère ma rentrée. Lorsque j'eus finie, elle me sourit tendrement, elle semblait heureuse. Sa longue mèche blonde tombait sur ses beaux yeux bleus, son petit nez disparaissait sous son fond de teint mat. Je lui rendis son sourire et montai dans ma chambre couvrir mes livres. Les mois passèrent tranquillement, j'étais heureuse dans ce lycée. Je m'étais fais des amis formidables. Je résistait

Revoler devers moi qui l’appelle et l’implore, Puisque tout ce bonheur veut bien être le mien, C’en est fait à présent des funestes pensées, C’en est fait des mauvais rêves, ah ! c’en est fait Surtout de l’ironie et des lèvres pincées Et des mots où l’esprit sans l’âme triomphait. Arrière aussi les poings crispés et la colère À propos