FOREM

la page (99) dans le cahier des PAROLES Les deux POTS-POURRIS sont à la fin. Notation des accords 1) La notation anglaise est utilisée systématiquement. Le chiffrage est toujours en rouge Notation française : Do Re Mi Fa C D E F Sol La Si A B (Fa=F LA=A) Notation anglaise : 2) le chiffrage est classique : C = Do majeur Cm = Do mineur C7 = Do septième G C/G = Do majeur avec basse sol C+5 = Do avec quinte augmenté C7b5 = Do 7 avec quinte diminuée C7M = Do septième majeur etc…

en excepter l’Illiade et l’En´ide. e Nous ne nous dissimulerons pas toutefois qu’il nous ´tait difficile de choisir, e parmi les traductions existantes de la Divine com´die, celle qui pouvait donner e la plus juste id´e d’une oeuvre ´crite a une ´poque o` la langue italienne n’´tait e e ` e u e pas encore fix´e et port´e a son plus haut degr´ d’harmonieuse ´l´gance par les e e ` e ee Torquato Tasso et les P´trarque, d’une oeuvre ´crite en plein moyen age, par e e ˆ un homme qui, nourri des fortes ´tudes

vertical ; C : échasse utilisé pour les travaux de couchage ; D : effeuillage ; E : éclaircissage des fruits ; F : ébourgeonnage ____________________________________ 35 Photo 18 : Illustration de quelques symptômes sur fruits de tomate, dus à des problèmes d’ordre physiologiques. A : fruit à facettes ; B : fruit pointu ; C : coloration inégale ; D : fruit creux ; E : pourriture apicale ; F : collet vert.____________________________________________________________ 39 Photo 19. Illustration du tableau

différences présentées par les sociétés hQ~ninQs un substrat COL~un va- lable pour toute vie sociale, qU81que soit le groupement dont elle émnno et l'état C'est le d'avance~ent dOI!l~ne de technique dans lequel celui-ci se trouve. l'anthropoloG~o, véritable science de l'hoome qui - 7 - "vise une connaissance glob[l,le ll de l' ~tre hu.rnain, au-delà des contingences historiques, ~éographiques ou technioues qui ont pu les différencier. Pour le sociologue COL1ôe pour l'ethnologùe qui sont

Quoy? Tant de beaulx & bons crediteurs. Crediteurs sont (ie le maintiens iusques au feu exclusivement) creatures belles & bonnes. Qui rien ne preste, est creature laide & mauvaise: creature du grand villain diantre d'enfer. Et faict. Quoy? Debtes. O chose rare & antiquaire. Debtes, diz ie, excedentes le nombre des syllabes resultantes au couplement de toutes les consonantes avecques les vocales, iadis proiecté & compté par le noble Xenocrates. A la numerosité des crediteurs si vous estimez la perfection

2002, rés. in INGRES News 2002/5, p. 4 = computer und Recht 2002, p. 297. Voir ci-après ch.IV B et en général Ph. Gilliéron, La procédure de résolution en ligne de conflits relatifs aux noms de domaine, publication CEDIDAC, no 48, Lausanne 2002. Voir F. Dessemontet,  La dématérialisation des conventions, PJA 1997, pp. 939 ss. 2 enfin que des biens (ordinateurs, livres, CD) soient commandés et livrés par poste ou courrier. Certains contrats sont conclus entre professionnels, d'autres entre professionnels

réalité, l'effet de levier montre que ce n’est pas le rapport entre le volume des capitaux propres et le volume des capitaux empruntés qui importe, mais la confrontation de la rentabilité des capitaux investis au coût des capitaux empruntés. (2) voir F. MADER: « Etude statistique du fonds de roulement », Analyse Financière n° 14, 3ème trimestre I973, p. 7 à 26. (3) Voir « Quel est le fonds de roulement des entreprises », Bulletin économique de la C.N.M.E. N° 61, 4ème trimestre I973 II B. 9 financiers

confusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.2.3 Les enjeux id´ologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 2.2.3 L’inn´ dans le comportement humain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 2.2.3.1 Les r´flerxes n´o-natals . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e 2.2.3.2 Les r´actions aux sollicitations du milieu ext´rieur . . . . . . . . e e 2.2.3.3 Les instincts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.3.4 Les besoins affectifs

confusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.2.3 Les enjeux id´ologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 2.2.3 L’inn´ dans le comportement humain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 2.2.3.1 Les r´flerxes n´o-natals . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e 2.2.3.2 Les r´actions aux sollicitations du milieu ext´rieur . . . . . . . . e e 2.2.3.3 Les instincts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.3.4 Les besoins affectifs

nos interrogations, comme par exemple : Ø Comment se manifeste le développement durable dans une entreprise ? Ø Comment une telle entreprise communique-t-elle son engagement ? Ø Qui est l’élément moteur de son engagement éthique ? Ø Quels sont les risques et les opportunités d’un tel engagement ? Ø Les coûts engendrés par la réalisation d’une stratégie éthique sont-ils les principaux freins ? Ø Une entreprise peut-elle être rentable et éthique en même temps ? Ø Quels sont les éléments moteurs futurs