Fordisme Taylorisme Histoire

mondialisation s'accélère grâce aux révolutions technologiques et aux transformations du capitalisme et que cela conduit à une recomposition des hiérarchies des territoires tant à l'échelle mondiale que nationale ou régionale. DEUXIEME PARTIE : HISTOIRE  Sujet 1 : De Gaulle évoque sa rencontre avec Truman  Sujet 2 : L’arrivée des Tupperware en France 1) Quelle est la nature de ce document ? Dans quel but a-t-il été produit ? Le document est une affiche publicitaire française d’un

Histoire : Les révolutions du XVIIIe siècles : 1. Intro : Qu’est ce qu’une révolution ? C’est un changement radical dans l’organisation d’une société ( ex : la politique, l’économie, le social) Ce changement peut se produire sur une longue durée ( 50 à100 ans) 1. Des processus révolutionnaires : 1.1. Au niveau de la société ( en France) La société française d’ancien régime ( avant 1789) était une société stratifiée, c'est-à-dire : Une société inégalitaire composée de différentes couches

classique en fait la source de toute richesse. XIXème siècle : idéalisation du travail comme source de réalisation de soi par Hegel puis par Marx. Après-guerre : programmes sociaux de l’État-Providence fondés sur les revenus du travail. De cette histoire, D.Méda tire la conclusion que le travail ne pourra jamais constituer une valeur, sinon une valeur purement économique. Jamais, il ne sera producteur de lien social car il ne donne qu’une vision pauvre de ce lien : celle de l’échange marchand. Et

lesquelles sont passées les entreprises, celles-ci ont rencontré des difficultés pour différentes raisons. On étudiera alors, pour chaque forme de travail, les problèmes. L'organisation du travail a commencé à la fin du XIXème siècle (1880) par le taylorisme. Cette théorie consiste à séparer la fonction de production en fonctions de conception et d'organisation du travail et en fonction opérationnelle. C'est la division verticale du travail, qui sépare les tâches de conception et d'exécution c'est-à-dire

Histoire des faits économiques et de l’entreprise Thème 3 : LES CRISES Arnaud Diemer, Université d’Auvergne, 1ère année Licence Economie 1 Introduction I. NATURE ET CARACTERISTIQUES DES CRISES A. La crise dans le cycle Juglar B. Les cycles longs « Kondratief » C. Perspectives historiques des crises II. L’INTERPRETATION THEORIQUE DES CRISES A. L’école libérale et la crise de l’offre B. L’école keynésienne et la crise de la demande C. L’école de la régulation et la crise du modèle fordiste D. Schumpeter

celui-ci affronte aujourd’hui. Comme il est de notre connaissance, depuis les années 70 nous sommes entrés dans une phase de croissante dérégulation économique qui s’élargit à l’échelle internationale. L’épuisement de la vielle relation salariale du fordisme, la crise de l’Etat providence, l’augmentation de la compétitivité au niveau global, surtout avec l’abolition des barrières au commerce depuis la moitié des années 80, dessinés sous l’émergence d’une nouvelle vague libérale largement appuyée sur

travail a des causes multiples : Pour augmenter la productivité du travail : Mettre à disposition des travailleurs des machines + performantes (pt) Améliorer le climat de travail (repos pauses) Transformer l’organisation du travail (fordisme/ taylorisme) Augmentation des qualifications des employés/ travailleurs : K humain (ensemble des connaissances/ compétences  expérience professionnelle, apprentissage, talent, état de santé est plus efficace d) Les conséquences de la productivité

Histoire économique Introduction 1. Histoire économique : un domaine d’étude complexe Matière hybride (éco histoire) Economie = objet frontière Histoire économique = étude de la nature, les combinaisons et les évolutions des facteurs de production Facteurs de production = K + W (recette du gâteau) Ils se transforment Moyen age : terre + bras Force physique + terre = Production Pas de K (K = augmenter la production par la mécanisation) Système fragile : aléas climatiques

l’OST. - Exemple de Renault et Nissan, 1997 entre concentration et alliance (44% de Nissan pour Renault, 15% de Renault pour Nissan). Des synergies ont étés trouvées et les divergences de culture d’entreprise sont devenus des atouts. - Asselain, Histoire économique de la France, 1984. - Schumacher, Small is beautiful, 1973 - Baumol, The free market innovation machine, 2004, «Goliath a besoin de David pour grandir». - Pour les théoriciens de la croissance endogène, c’est un phénomène auto entretenu

et des techniques qui ont marqué l'évolution du management. Plusieurs raisons nous ont poussés à adopter une telle perspective. Parmi celles-ci, il y a d'une part la place centrale que réserve le discours managérial contemporain à la critique du taylorisme et, à travers lui, à la manière dont, à ses origines, le management a pensé l'efficacité socio-organisationnelle. A le lire ou à littérature managériale, nous entendons les écrits qui ont pour principale caractéristique de privilégier l'action