Fondation pour la mémoire de la déportation

construction ou de la création d’établissements recevant du public ou d’installations ouvertes au public 1du cadre bâti, Accessibilité article Arrêt du tramway et trottoir accessible à proximité du Centre d’histoire de la Résistance et de la Déportation à Lyon. PARCOURIR LES ESPACES Le strict respect de la réglementation ne peut se substituer à une approche globale des grands principes d’accessibilité. Abord et accès Prendre en compte l’ensemble de la chaîne d’accessibilité : abords, voirie

des modalités de réunion des Etats-généraux. Il va demander à ses conseillers de retrouver les anciennes ordonnances de ces ancêtres. Le roi s’adresse donc aux sociétés savantes, aux académies de provinces pour que celles-ci lui envoient tous les mémoires, tous les éclaircissements, tous les renseignements sur l’organisation des Etats-généraux. Louis XVI a permis une liberté d’expression sans précédent puisque toute la province se réunit pour la réunion des Etats généraux. Rapidement, il est cependant

temps de réaction. Il emploie une méthode essentiellement analytique et fragmentaire, en dissociant, en élé­ ments, les processus conscients, au détriment des processus supérieurs qui seront observés par ses successeurs dont Ebbinghaus qui étudie la mémoire et un français Binet (1857­1911). Celui­ci travaille sur la nature des images mentales, l’imagination, l’attention, les facultés de compréhension et d’ap­ prentissage. Il crée de petites épreuves qui seront les premiers tests qu’il sort du laboratoire

.................................. 7 : L’argumentation : confronter des opinions .......................................... 8 : L’autobiographie ................................................................................. 9 : Témoignages et mémoires .................................................................. 10 : La poésie : lyrisme et engagement .................................................... 15 31 49 70 96 112 140 171 206 235 Les lectures d’œuvres intégrales : corrigés Nantas

de la complexité de la réalité humaine. L’histoire permet à l’individu de se repérer par rapport au passé et de comprendre le monde actuel dans sa dimension temporelle. Elle contribue, par l’étude des mouvements profonds, à la reconstitution de la mémoire individuelle et collective. Dans ce sens, elle participe à la formation de l’identité humaine. L’histoire est une façon d’interroger le passé pour mieux comprendre le présent. Dans tous les domaines, le présent cherche dans un passé plus ou moins

qui passe par l’acquisition de références collectives (déclaration des droits de l’homme et du citoyen, symboles, mémoire). Elles élargissent les modes d’accès à la nationalité (1889, droit du sol). La colonisation est alors justifiée au nom d’une mission civilisatrice La construction de la démocratie est réalisée par des lois qui établissent les grandes libertés et favorisent la fondation de partis, de syndicats, d’associations (1880-1914). Elle est consolidée grâce à l’extension des droits sociaux

Les sociétés babouines sont fixes, non évolutives. Leurs savoirfaire sont réduits, simples et limités. Plus l'acquisition intellectuelle augmente en l'homme, plus le singe recule en lui. Moins il y a de savoir, de connaissance, de culture ou de mémoire dans un individu, plus l'animal prend place, plus il domine, moins l'homme connaît la liberté. Satisfaire les besoins naturels, obéir aux seules impulsions naturelles, se comporter en personnage dominé par ses instincts, ne pas ressentir la force

Portugal, notamment Manuel le Fortuné (1495-1521), sont convaincus qu’il leur revient de fonder un vaste empire chrétien, et s’appuient pour légitimer leurs entreprises de conquêtes sur un passage de la Bible, le Livre de Daniel, qui annonce la fondation du « cinquième empire », précédent le retour du Messie. Les mêmes préoccupations se retrouvent dans les royaumes espagnols. Après la reconquête du royaume de Grenade, en 1492, le confesseur de la reine Isabelle de Castille, l’archevêque de Tolède

ainsi. Les Français, et d’ailleurs tous les Occidentaux, sont devenus, pour la plupart, des hommes sans passé, des « immémorants » (ce mot, un néologisme, décrit assez la situation). Par un paradoxe ironique, on n’a jamais autant parlé du « devoir de mémoire » qu’en ces temps d’oubli, car il est bien connu que l’on insiste sur une qualité seulement quand elle est oubliée. Il y a peu, on entendait encore les Français grommeler quand ils étaient mécontents : « On a déjà fait la Révolution, on pourrait la

de maigres ressources pour l’histoire des femmes puisqu’elles ne retenaient presque « naturellement » que les actions et les faits importants de l’espace public et politique. C’est-à-dire d’un espace dont les femmes étaient largement exclues. La mémoire du privé, en revanche, semblait pratiquement absente, surtout au XIX ème siècle où l’Etat libéral s’interdit de s’immiscer dans les relations individuelles et familiales. C’est donc vers le seul domaine où la législation, la fiscalité, les statistiques