Fleur de lys

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- III - Le manteau imprial Dans la crmonie du sacre, les rois de France portaient un manteau de velours bleu brod de fleur de lys dor. Napolon Ier adopta un manteau pourpre brod dabeilles dor. Napolon III aurait voulu que le pape vnt le sacrer, lui aussi, mais la ngociation choua. Il reprit du moins pour emblme de lEmpire les abeilles symboliques de lactivit du peuple franais

chambres un droit d’initiative en matière législative. De plus, la souveraineté redevient nationale, et le Roi règne parce que c’est la nation qui lui a délégué son pouvoir. On observe l’apparition du drapeau français, qui fait suite au drapeau de fleur de lys (prévu expressément dans l’article 67). Les pairs héréditaires seront supprimés, et le cens électoral sera abaissé. La baisse du cens électoral permet un plus grand nombre de personnes au vote, et d’accéder à l’élection (200 francs pour être électeurs

voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las ! las ses beautez laissé cheoir ! Ô vrayment marastre Nature, Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté. Ronsard,1524 Le printemps Le printemps n'a point tant de fleurs, L'automne tant de raisins meurs

donc au buffet. Mais les petits drôles avaient de meilleures jambes que lui ; quand il arriva, ils avaient fait table rase. Il ne restait même pas un misérable camichon à cinq sols la livre. Il n’y avait plus sur le mur que les sveltes fleurs de lys, entremêlées de rosiers, peintes en 1434 par Mathieu Biterne. C’était un maigre souper. C’est une chose importune de se coucher sans souper ; c’est une chose moins riante encore de ne pas souper et de ne savoir où coucher. Gringoire en était là

Je me suis promené dans le petit jardin Qu’éclairait doucement le soleil du matin, Pailletant chaque fleur d’une humide étincelle. Rien n’a changé. J’ai tout revu : l’humble tonnelle De vigne folle avec les chaises de rotin… Le jet d’eau fait toujours son murmure argentin Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle. Les roses comme avant palpitent ; comme avant, Les grands lys orgueilleux se balancent au vent, Chaque alouette qui va et vient m’est connue. Même j’ai retrouvé debout

habits de toile. »  « Un caleçon de toile bleu » mais même solide cette toile se déchirait  la moitié de son habit. -l’article 38 : « l’esclave fugitif aura les oreilles coupées et sera marqué d’une fleur de lys sur une épaule et s’il récidive […] aura le jarret coupé et il sera maqué d’une fleur de lys sur l’autre épaule et la troisième fois il sera puni de mort »  « quand nous voulons nous enfuir on nous coupe la jambe. » Un autre élément en dehors du Code Noir était en vigueur : « le mouvement

• nouvelle vision du monde I- Un nouveau regard porté sur l'homme A- Une prise de conscience de l'individu • Au Moyen Age, la peinture de portrait n'existe pas. L'artiste représente des fonctions sociales associées à des symboles (couronne, fleur de lys, mitre, tiare …) • Le portrait apparaît au XVème siècle [J. Van Eyck, les epoux 1434 = portrait + autoportrait] └> intérêt pour l'individu l'individualisation [L. de Vinci, La Joconde + 2 p.192] => L'art doit imiter la nature └> Réalisme

imposée par le pouvoir autoritaire d'un roi. La loi faite par le peuple pour le peuple doit permettre aux humains de se sentir libres. Question 4 La gravure nous montre la France sous la forme d'un globe aux couleurs de la monarchie (couronne, fleur de lys) soutenue par les trois ordres de la société : - La noblesse avec l'armure et l'épée (à gauche),- le tiers état sous les traits d'un paysan avec sa pelle (au centre), - le clergé en la personne d'un évêque avec sa crosse(bâton d'évêque un peu comme

chancelle, Je me suis promené dans le petit jardin Qu'éclairait doucement le soleil du matin, Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle. Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle De vigne folle avec les chaises de rotin... Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle. Les roses comme avant palpitent; comme avant, Les grands lys orgueilleux se balancent au vent, Chaque alouette qui va et vient m'est connue. Même j'ai retrouvé debout la

donc au buffet. Mais les petits drôles avaient de meilleures jambes que lui; quand il arriva, ils avaient fait table rase. Il ne restait même pas un misérable camichon à cinq sols la livre. Il n'y avait plus sur le mur que les sveltes fleurs de lys, entremêlées de rosiers, peintes en 1434 par Mathieu Biterne. C'était un maigre souper. C'est une chose importune de se coucher sans souper; c'est une chose moins riante encore de ne pas souper et de ne savoir où coucher. Gringoire en était là