Fleur de lys

amours qu'éprouvent Quasimodo, Frollo et Phoebus envers la Esmeralda, il s'agit donc aussi d'un roman romantique. 3. Analyse de deux personnages Phoebus : Aspect sociologique : - Phoebus est un capitaine de milieu aisé, il va se marier avec Fleur-De-Lys, une très belle fille de famille riche. - Il a de nombreux ami, exepté Frollo, qui le déteste par jalousie. Aspect physique : - Phoebus est très beau, il a toutes les filles a ses pieds Aspect psychologique : - Il est attiré par la Esméralda

évanescents que nous offre la nature et les transformer en essence précieuse. Magiciens d’aujourd’hui, les parfumeurs nous offrent dans un écrin de verre une émotion unique pour notre plus grand plaisir. 3 Fleur s Rose Centifolia ; Jasmin ; Lavande ; Lavandin ; Tubéreuse ; Fleur d’oranger ; Ylang-Ylang ; Jonquille ; Narcisse ; Jacinthe ; Mimosa ; CassiS… Feuilles – Tiges Géranium ; Violette ; Patchouli… Racines – Rhizomes Iris ; Vétiver… Bois – Ecorces - Mousses Mousse de Chêne ; Bois

caleçon ligne 8 est authentique conforme au code noir, Colbert en 1685 c’est un acte de Louis XIV. Pour l’évasion un fugitif aura les oreilles coupées. Deuxième tentative c’est le jarre, troisième tentative c’est la mort. Il était tatoué de la fleur de Lys également. L’esclave apparait comme l’exploitation cupide de la souffrance humaine pour le plaisir de quelques privilégiés. Le sucre, là on peut penser à une citation du philosophe Lvsus, on conviendra qu’il n’arrive point de Barrique de sucre

). Hugo nous fait entrer dans un monde « merveilleux » au v.34 , digne d’un paradis comme l’allusion au « tuba » au v.28, mis en valeur par sa place à la césure , arbre présent dans le paradis musulman. Plusieurs sens sont convoqués : le « lys bleu » au v. 26 met en œuvre la vue mais aussi l’odorat, le « fruit » au v. 28, le goût, « l’oiseau » au v.31 l’ouïe. Tous les adjectifs « si grand » au v. 28 ( mis en valeur à la rime), « plus doux » au v. 32, « plus éclatant » au v.33 ( deux comparatifs

insignes sont : La tunique jacinthe à fleurs de lys, qui possède un caractère sacerdotal car elle fait allusion au grand prêtre de l'Ancien Testament. La chape sans chaperon, un surcot sans manches, taillé comme la chasuble du prêtre. L'anneau, signe de la dignité royale, de la foi catholique, un peu à l'image de l'évêque, est le symbole de l'union entre le roi et l'Église et entre le roi et son peuple. Le sceptre, terminé par une fleur de lys, symbole du commandement. La main de justice, qui

chancelle, Je me suis promené dans le petit jardin Qu’éclairait doucement le soleil du matin, Pailletant chaque fleur d’une humide étincelle. Rien n’a changé. J’ai tout revu : l’humble tonnelle De vigne folle avec les chaises de rotin… Le jet d’eau fait toujours son murmure argentin Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle. Les roses comme avant palpitent ; comme avant, Les grands lys orgueilleux se balancent au vent, Chaque alouette qui va et vient m’est connue. Même j’ai retrouvé debout

autour des sombres îles. comparaison Marche à travers les champs une fleur à la main. La Nature t'attend dans un silence austère ; personnification (= nature qui accueille, amie) L'herbe élève à tes pieds son nuage des soirs, personnification (= nuage plein de rosée) Et le soupir d'adieu du soleil à la terre personnification (= vent du soir) Balance les beaux lys comme des encensoirs (2). comparaison La forêt a voilé ses colonnes

frontispice de la verrière d’Auxerre, montre un jeune homme non nimbé, la main droite levée et portant, de la main gauche, un sceptre orné d’une fleur de lys. Ce ne peut être le Christ, l’absence du nimbe cruciforme en témoigne. Ce ne peut être le père, car cet individu est jeune. Nous pouvons raisonnablement penser au Fils prodigue. En effet, la fleur qu’il arbore sur son sceptre a une double symbolique. Elle représente la vie éternelle et la fragilité de la vie humaine. Au XIII e siècle, elle incarne

puis La Mort. 1 Charles Baudelaire Les Fleurs du mal (1857) SPLEEN ET IDÉAL HARMONIE DU SOIR Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir ; Les sons et les parfums tournent dans l’air du soir, — Valse mélancolique et langoureux vertige ! — Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige ; — Valse mélancolique et langoureux vertige ! — Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir

Dans la Hollande de XVI au XVIIème siècle, une simple fleur a créé beaucoup d’émoi autour d’elle. On ne peut parler de l’Age d’Or de la Hollande sans parler de la tulipe et de la Tulipomanie. A l’origine la tulipe est une plante sauvage qui pousse au pied de l’Himalaya. Après une domination Turque, la tulipe fait son apparition à Constantinople. Elle est exportée par des marchands qui l’offrent en gage de remerciements ou de sympathie. Mais la fleur plait et devient symbole de richesse. Elle est dès