Fleur de lys

de reproduction interne et externe. Notions de vivipare, ovipare, ovulipare. Reproduction chez les plantes à fleur. Lien entre le mode de reproduction et le milieu de vie. La.3 – La.4 – Mé.2 Correction  : 1 – Voir tableau  : Mode de reproduction Ovulipare Ovipare Vivipare Plantes à fleur Exemples choisis (à entourer) Oursin / Truite / Grenouille / Fucus Poule Lapin / Cerf Lys Milieu de vie (aquatique/terrestre) Aquatique (aquatique + terrestre pour la grenouille) Terrestre Terrestre Terrestre

ais Trem un doux Lys dargent, la fleur du poète. ble ' Elle est douce et m , sans aucun reproche, uette Avec un long tressaillem à votre approche; ent M quand m je lui viens, de ci, de là, de fête, ais oi Elle fait un pas, puis ferm les yeux- et fait un pas. e Car elle est m am et les autres fem es on our m Nont que des robes dor sur de grands corps de flam es, ' ' m M pauvre am est si esseulée, a ie Elle est toute nue, na pas de corps -elle est trop pauvre. ' Elle nest quune fleur candide, fluette

passant Mon cher enfant que j’ai vu dans ma vie errante,
Mon cher enfant, que, mon Dieu, tu me recueillis,
Moi-même pauvre ainsi que toi, purs comme lys,
Mon cher enfant que j’ai vu dans ma vie errante ! Et beau comme notre âme pure et transparente,
Mon cher enfant, grande vertu de moi, la rente,
De mon effort de charité, nous, fleurs de lys !
On te dit mort… Mort ou vivant, sois ma mémoire ! Et qu’on ne hurle donc plus que c’est de la gloire
Que je m’occupe, fou qu’il fallut et qu’il faut…
Petit

marchais à pas lents, m'arrêtant aux jasmins, Me grisant du parfum des lys, tendant les mains Vers les iris fées gardés par les grenouilles. Et pour moi les cyprès n'étaient que des quenouilles, Et mon jardin, un monde où je vivais exprès Pour y filer un jour les éternels cyprès. Poèmes à la marraine, Guillaume Apollinaire Harmonie du soir Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Les sons et les parfums tournent dans

par l'abbé de Saint Denis, est un ensemble d'objets symbolique de la royauté qui se compose de la tunique jacinthe à fleur de lys à caractère sacerdotal, de la chape sans éperon, du surcot sans manche taillé comme la chasuble du prêtre, de l'anneau symbole union entre le roi et l'Eglise et entre le roi et peuple, le scpetre remis dans la main droite du roi terminé par une fleur de lys symbole de commandement, la main de justice remise dans sa main gauche, la couronne d'or déposée sur la tête du roi

description du jardin lui-même pour ensuite analyser les sentiments du poète. Paul Verlaine veut décrire dans ce poète les charmes du jardin mais conserver cette idée de modestie qu'il porte. Le poète utilise donc le champ lexical de la flore (fleur, vigne, tremble...) pour décrire les charmes de ce jardin, il utilise aussi une allitération en «p» dans le premier quatrain pour donner une idée de pas qui laissent penser à une promenade en toute quiétude dans le jardin. La personnification du

L’Enfant grec apparaît au ver 8 et lui aussi comme la nature il a subi des blessures. b- La nature est cependant resté pure et renaissante on a « la blanche aubépine » au ver 11, on a « les feuilles sur le sol » ver 24, « lys » ver 26. Le poète la rapproche de l’enfant ver 11 « une fleur comme lui ». c- L’enfant et la nature sont opposés aux ruines et sont un espoir de survie après le drame ver 11/12 : « une blanche aubépine […] oublié ». II) L’Enfant marqué par la guerre. a- Le poète s’adresse

sourit pas et ne pleure jamais » (v.119-120), donc je l'ai représenté avec une photographie d'une enfant sans expression pour pouvoir respecté la description de l'auteur. Celui-ci doit apprécié Jeanne car il compare à une fleur de lys en précisant que celle-ci est associée à la fleur du poète (v.132). J'ai également encadré la petite fille à l'aide de la phrase « Dis, Blaise, sommes-nous bien loin de Montmartre » car elle répète plusieurs fois cette question au narrateur. Enfin, j'ai relié cette image

de Laure dans la société que l’on peut supposer importante avec le « lys » (vers 17) qui est une fleur symbole de la royauté en France portée par Louis XIV. Et le fait qu’elle « se moque d’un prince et d’un banquier » (vers 28-29) ce qui place son statut social plus haut encore, on peut émettre l’hypothèse qu’elle fasse partie de la royauté. A sa richesse est associée la beauté « belle » (vers 1) avec la comparaison à une fleur « rose » (vers 26) qui montre aussi tout la délicatesse de la femme avec

la ville de Colmar. Une planche à interpréter : Les symboles sont à foison dans cette planche, certains évoquent l’Alsace, la France (les cigognes, sainte Odile, protectrice de l’Alsace, l’écusson et la coiffe de la Belle, la fleur de lys), d’autres évoquent le preux chevalier et les valeurs qu’il véhicule (l’épée, saint Georges terrassant le dragon, le Bien l’emporte sur le Mal) Hansi cherche à mener une propagande patriotique vantant les mérites de l’armée française sur les Allemands