Fiscalité Des Valeurs Mobilières Maroc

installations. Donc les produits bancaires ont permis au système bancaire d'améliorer considérablement ses services. I. LES PRODUITS DE PLACEMENT A. La gestion des portefeuilles : 1. Définition : Un portefeuille est un ensemble de valeurs mobilières prises par une personne physique ou morale. Chaque portefeuille comprend un certain nombre de ligne qui correspondent à des titres. 2. La gestion des portefeuilles : a. Gestion d’un portefeuille d’action : Le choix d’un

sécurité sociale 0 2 G u ide de l’ investisse u r é tranger en T u n i s i e 07 10 17 18 20 22 22 26 27 28 29 31 31 37 45 46 49 53 58 60 63 64 64 65 65 CHAPITRE 8 FISCALITÉ 66 CHAPITRE 9 DOUANE ET COMMERCE EXTÉRIEUR 72 1. Fiscalité des personnes physiques 2. Fiscalité de l’entreprise 3. Taxe sur la valeur ajoutée 4. Système comptable de l’entreprise 5. Conventions signées par la Tunisie 1. Douane 2. Commerce extérieur 67 68 69 70 71 73 76 CHAPITRE 10 SYSTÈME FINANCIER

structure et le fonctionnement de la direction qui m’a accueilli lors de mon stage, à savoir la Direction financière. La banque centrale du royaume du Maroc, dénommée « Bank Al Maghrib », est un établissement public doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Elle a été créé en 1959 en substitution à l’ancienne « Banque d’Etat du Maroc ».Le capital de la banque est fixé à cinq cents millions de dirhams et il est entièrement souscrit par l’Etat. Bank Al Maghrib exerce le privilège

comptes. C’est une conséquence de la redoutable loi Sarbanes-Oxley qui oblige aussi leurs auditeurs à se placer quasiment sous la tutelle de l’organisme américain de supervision de la profession comptable.- La loi Sarbanes-Oxley est une réalité au Maroc. Les auditeurs des filiales des firmes cotées aux Etats-Unis ont reçu des formulaires d’engagement et ont jusqu’à juin 2004 pour s’y conformer.: La loi sur la gouvernance et la comptabilité des sociétés (loi Sarbanes-Oxley) considère que le monde est

de Placement Collectif en Valeurs Mobilières Prélèvement Fiscal à l’Importation Participation à la Solidarité Nationale Prélèvement sur les Traitements et Salaires Réserve d’Investissement Taxe sur le Chiffre d’Affaires Trésorerie Générale du Royaume Taxe Intérieure sur la Consommation Terrains Non Bâtis Taxe sur les Produits Taxe sur le Produit des Actions Taxe sur le Produit de Cession des Actions et Parts Sociales Taxe sur le Produit de Cession des Valeurs Mobilières Taxe sur les Profits Immobiliers

risque au Maroc et à l’internationale IV. Exemples de capital risque V. Conclusion générale Bibliographie et la webographie Annexes Sommaire détaillé : I. Introduction générale II. Concepts fondamentaux : 1. Capital-risque et capital-investissement 2. Le seed capital 3. Le capital développement 4. Le capital transmission 5. Le Turnaround 6. Business Angels III. Pratique du capital risque au Maroc et à l’internationale :

NATIONS UNIES I GUIDE DE L’INVESTISSEMENT AU MAROC Opportunités et conditions Juillet 2010 NATIONS UNIES New York et Genève, 2010 II CNUCED La Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) a été fondée en 1964 en tant qu’organisme intergouvernemental permanent. Elle a pour objectif principal de maximiser les possibilités de commerce, d’investissement et de développement des pays en développement afin de les aider à relever les défis découlant de la mondialisation

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b) Principes et mécanismes de la titrisation c) Risque et intérêt des opérations de la titrisation d) Technique de réduction des risques e) Conséquences de la titrisation II- Apparition au MAROC et cadre juridique a) Apparition au MAROC b) Cadre juridique III- Cas pratique a) Créditlog I b) Créditlog II c) Créditlog III Conclusion Introduction Le système financier

les personnes physiques qui ont au Maroc leur domicile fiscal[1], à raison de l’ensemble de leurs revenus et profits, de source marocaine et étrangère ; • les personnes physiques qui n'ont pas au Maroc leur domicile fiscal, à raison de l’ensemble de leurs revenus et profits de source marocaine ; • les personnes, ayant ou non leur domicile fiscal au Maroc, qui réalisent des bénéfices ou perçoivent des revenus dont le droit d’imposition est attribué au Maroc en vertu des conventions tendant