Filiation Et Vérité Biologique

nuptialité n'est pas lié à un véritable rejet du mariage, même si pèse indéniablement sur l'institution, surtout dans les années 1970, l'image traditionnelle du "mariage bourgeois", analysait en 1998 le rapport de la sociologue Irène Théry, "Couple, filiation et parenté aujourd'hui". Plus fondamentalement, c'est la place sociale de l'institution matrimoniale qui a changé avec la transformation des représentations du couple : le choix de se marier ou non devient une question de conscience personnelle."

symbolisé sous la forme de gestes ou d’attitudes (mimiques, rougeur, pâleur ou autre manifestation physique) ; il est plutôt du registre de l’omission. * Le mensonge procède d’une intention explicite de tromperie par une assertion contraire à la vérité. Il est intentionnel, mais laisse une possibilité d’être mis en évidence par un tiers capable de découvrir la fraude et d’en témoigner. * Le secret, lui, s’inscrit dans la volonté délibérée de ne pas transmettre. AULOOS insiste sur la dimension

groupe de personne reliées entre elles sur des liens fondés sur le mariage et la filiation. PARAGRAPHE 1 : le lien familial. La famille repose sur 2 liens : Le lien de parenté, issu de la filiation. Le lien d’alliance, issu du mariage. Le lien de parenté. Vient du latin « pario » qui veut dire engendrer. On inclue la parenté, la filiation artificielle a contrario de la filiation biologique, c’est elle qui procède de l’adoption. La qualification du lien de parenté

» : - Familles : que transmettent-elles encore ? : Françoise Hurstel (Laboratoire de psychologie de la famille et de la filiation, LPF, EA 3071, ULP) - La transmission du nom : Colette Méchin (Département d’ethnologie, UMB) - Ville et côtoiement des générations : quelles transmissions ? : Marie-Lorraine Pradelles-Monod (Laboratoire de psychologie de la famille et de la filiation, LPF, EA 3071, ULP) cycle transmission entre les générations TA B L E R O N D E mercredi 9 octobre 2002 Théâtre

extraire des faits de l’espèce, des catégories générales qui permettent d’appréhender le problème. Pour résoudre le problème, on parle du fait, pas de la loi. - Il y a également l’hypothèse de la loi injuste. Ce qu’énonce la loi n’est pas une vérité absolue, elle peut être injuste et masquer le droit. Parfois la loi est un obstacle. La connaissance du droit serait certaine, plus encore que les réalités scientifiques, car ses réalités physiques ne sont pas oeuvres humaines. A l’inverse, le

c'est à dire du passage d'une famille élargie à une famille restreinte. C'est aussi l'histoire du choc entre des réalités sociologiques et la règle de droit. Le droit doit-il prendre en compte l'homosexualité, la monoparentalité, la filiation qui peut être ni biologique ni juridique..   Les politiques législatives peuvent influencer les comportements familiaux (ex : interdiction ou autorisation de l'IVG). Les autorités tentent de favoriser réunion de l'homme et la femme. Mariage : réunion juridique

génétiques la loi limite à 2 hypothèses la possibilité de demander des empreintes génétiques à une psne. Cme judiciaire ds un procé pénal le juge d'instruction pt le faire. En matière civil : c'est ds les procédures relatives à la filiation en vu de l'établissement de la filiation/ contestation. Ca ne pt pas faire l'objet d'une exécution forcée. Le père ne pt pas être contraint de fournir son ADN le refus est plus grave pcq le juge peut en déduir l'aveu de la paternité et condamné cet homme de pention

faire évoluer la conscience sociale. Il y a beaucoup d'ignorance par rapport à la réalité homoparentale et je pense que ça fait souffrir beaucoup de personnes », a estimé le jeune homme, étudiant en travail social. Les droits parentaux et de la filiation sont au cœur des audiences de la commission parlementaire sur l'union civile. L'avant-projet de loi ne les aborde pas, mais plusieurs témoins les réclament. Car les enfants issus des familles homosexuelles n'ont pas les mêmes droits que les autres

doit correspond à la vision subjective de la justice : ne sera juste que ce que chacun revendique en regard du droit, du droit défini par l’Etat, ou le droit naturel; donc le droit et la justice tendent à la découverte de la vérité qui est une et immuable, mais c’est une vérité imparfaitement connue. Le droit et la justice ont un rapport indéfectible à la morale (qui est une des sources du droit et de la détermination de la justice) : il faut faire la différence entre le Bien et le Mal. Mais c’est

croyances. Stendhal (1783-1842), dans La Chartreuse de Parme (1939), présente aussi une crise d’identité. Son héros est perdu entre deux silhouettes : celle de Napoléon, son père idéologique, et celle de son père biologique. Ici, Stendhal soulève la question de la légitimation et de la filiation. Quelle que soit la vraie raison de ce « sentiment douloureux d’un désaccord entre le moi et le monde » (Rey 1993 : 68) au XIXe siècle, il est évident que l’individu souffre suite à une rupture des structures