Figure De Style Sur La Peste

Venons à notre leçon. MONSIEUR JOURDAIN: Ah! Monsieur, je suis fâché des coups qu'ils vous ont donnés. MAÎTRE DE PHILOSOPHIE: Cela n'est rien. Un philosophe sait recevoir comme il faut les choses, et je vais composer contre eux une satire du style de Juvénal, qui les déchirera de la belle façon. Laissons cela. Que voulez-vous apprendre? MONSIEUR JOURDAIN: Tout ce que je pourrai, car j'ai toutes les envies du monde d'être savant; et j'enrage que mon père et ma mère ne m'aient pas fait bien

La Mort Rouge avait pendant longtemps dépeuplé la contrée. Jamais peste ne fut si fatale, si horrible. Son avatar, c’était le sang, la rougeur et la hideur du sang. C’étaient des douleurs aiguës, un vertige soudain, et puis un suintement abondant par les pores, et la dissolution de l’être. Des taches pourpres sur le corps, et spécialement sur le visage de la victime, la mettaient au ban de l’humanité, et lui fermaient tout secours et toute sympathie. L’invasion, le résultat de la maladie, tout cela

TEXTE I : AGRIPPA D’AUBIGNE I. contexte historique La fin du moyen-âge est marque par une forte mortalité par la peste, la famine… les cultures sont dévastées et il y a beaucoup de pillages. Le souci des personnes c’est le salut, ils ont peur de terminer leur vie dans l’enfer, dans les tortures effroyable dénoncé par les prédicateurs. Il y a des secours contre la peur des enfers. Pour prier Dieu, on invente des prières et on se fit à la mère de Jésus ou encore l’ange gardien. Le christianisme

première citation se rapporte aux courtisans qui savent utiliser leurs services pour obtenir ce qu’ils veulent et la deuxième aux rois qui exaucent les souhaits de leurs « dévoués serviteurs » pourvu qu’ils les flattent. D ans Les animaux malades de la peste, La Fontaine critique de nouveau l’hypocrisie des grands qui par tous les moyens arrivent à retourner chaque situation en leur honneur et la naïveté des petits qui croient bêtement ceux que ces derniers leurs disent. Malgré un grand dévouement

recouvert la nature pour refléter l’état d’âme de l’homme. Le romantique va beaucoup décrire les paysages. Tous les genres littéraires ont été grands. Mais, le roman a pris plus d’importance. Il a devenu très indépendant. Les romans avaient un style plus phycologique, analytique et raisonné. Avec le romantisme on est plutôt dans les détails de l’expérience personnelle. Les romans autobiographiques sont apparus au XVIII siècle avec Rousseau et ils sont récupérés par les romantiques. On reconnait

arts : mécénat « publique », relation politico-religieux. Auteurs : Erasme : grande tolérance : alliage antique-religieux Rabelais : relativisme Montaigne : réflexion libre à caractère autobiographique i.Poète français, médecin, humaniste, figure importante de la pré-Renaissance française. François Rabelais naît à La Devinière, près de Chinon vers 1494. Son père est avocat et sénéchal de Lerné. On ne sait rien de son enfance ni de sa jeunesse. Il reçoit une éducation qui le conduit

baisse la tête.- La statue... DOM JUAN.- Eh bien, que veux-tu dire, traître? SGANARELLE.- Je vous dis que la statue... DOM JUAN.- Eh bien, la statue? Je t'assomme si tu ne parles. SGANARELLE.- La statue m'a fait signe. DOM JUAN.- La peste le coquin. SGANARELLE.- Elle m'a fait signe, vous dis-je, il n'est rien de plus vrai. Allez-vous-en lui parler vous-même pour voir; peut-être... DOM JUAN.- Viens, maraud, viens, je te veux bien faire toucher au doigt ta poltronnerie, prends garde

spécificités de la trame narrative des récits empruntées en réalité à la tradition littéraire kabyle (le conte). Les mots de la langue vernaculaire ainsi que les marques de l’oralité insérés dans les textes ne sont alors aucunement un simple effet de style ou une touche d’exotisme pour le lecteur étranger. Et, c’est cela que nous allons voir à travers l’analyse de la langue des romans suivants : La terre et le sang de Feraoun, La colline oubliée de Mammeri et La malédiction de Haddadi. Une langue

grossiers ou grotesques, leurs aventures ridicules caricaturent les amours et les exploits qui faisaient la matière du haut romanesque. Le Roman comique de Scarron élève ces caractères du genre à une sorte de perfection par la rapidité et l’élégance du style, le rôle du narrateur et la solidarité qui unit bouffonnerie et romanesque. La présence du conteur, quand il est adroit et spirituel est un élément constitutif du conte : Scarron intervient parfois simplement par un titre ironique de chapitre, en se

volontiers scatologique. Rabelais a publié Gargantua sous le même pseudonyme que Pantagruel : Alcofribas Nasier (anagramme de François Rabelais) PIERRE-AUGUSTIN CARON DE BEAUMARCHAIS Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais (1732-1799) est l’une des figures emblématiques du siècle des Lumières. Son goût de la parade, du comique libre, qui caractérise ses premières productions, se doubla d’une passion toute différente pour le drame bourgeois. Selon lui, seul le drame sérieux peint avec exactitude la véritable