Fides

Edmond Ortigues, Hatier, 1999) Le ritualisme, devient chez les romains une forme de légalisme. Dans la période médiévale, la notion de FIDES est modifiée. Romains : FIDES  la confiance que l’on peut mettre en quelqu’un. Au moyen âge la FIDES : Foedus (pacte) : même racine. Saint Augustin parle d’un acte de convition, de croyance. Historiquement, la fides s’est transformé en croyance ; dans les textes de logique de la fin de l’antiquité on trouve le terme. Facere fidem ; syllogisme dialectique

éd., (1 éd. 2000), Genève, Labor et Fides, 2004, p. 84. 3 D. MARGUERAT, « Les Actes des apôtres », in D. MARGUERAT (dir.), Introduction au Nouveau Testament, p. 105. A. LOISY, Les Actes des apôtres, p.17. H. CONZELMANN, A. LINDEMANN, Guide pour l’étude du Nouveau Testament, (Le monde de la Bible 39), Genève, Labor et Fides, 1999, p. 374. 4 e D. MARGUERAT, Les Actes des apôtres (1-12), (Commentaire du Nouveau Testament Va), 2 série, Genève, Labor et Fides, 2007, p. 17. L'auteur déclare que

J. Baubérot, Le Pouvoir de contester, Labor et Fides, Genève, 1983 * P. Besnard, Protestantisme et capitalisme, Armand Colin, Paris, 1970 * S. N. Eisenstadt dir., The Protestant Ethic and Modernization, New York, 1968 * S. Fath, Les Protestants, Le Cavalier bleu, Paris, 2003 * A. Freemantle, The Protestant Mystics, New York, 1965 * E. Fuchs & C. Grappe, Le Droit de résister : le protestantisme face au pouvoir, Labor et Fides, 1990 * A. Heimert, Religion and the American

cheval public attribué par la cité (equus publicus) Clivage entre chevalier et sénateur qui aboutit à la distinction juridique à l’époque impériale. B- Les valeurs aristocratiques Fides => foi, confiance que l’on accorde à l’individu, individu plein de fides => qui respecte ses promesses Notion de fides au cœur des relations politiques et personnelle Deditio in fidem : s’en remettre à la bonne foi du peuple Virtus : capacité à être un homme, force virile qui s’exprime militairement ou

polo dimoverat umbram, cum sic unanimam adloquitur male sana sororem: "Anna soror, quae me suspensam insomnia terrent! Quis novus hic nostris successit sedibus hospes, quem sese ore ferens, quam forti pectore et armis! Credo equidem, nec vana fides, genus esse deorum. Degeneres animos timor arguit: heu, quibus ille iactatus fatis! Quae bella exhausta canebat! Si mihi non animo fixum immotumque sederet, ne cui me vinclo vellem sociare iugali, postquam primus amor deceptam morte fefellit,

Les cinq déclinaisons latinesLes cinq déclinaisons latines Rosa (la rose), dominus (le maître de maison), puer (l’enfant) , templum (le temple) , civis (le citoyen) , mare (la mer) , consul (le consul) , fulgur (l’éclair), manus (la main) , cornu (la corne) , res (la chose, l’affaire)Qu’est ce qu’une déclinaison? En latin, chaque nom commun ou propre peut s’écrire de 12 manières différentes : - 6 au singulier ; - 6 au pluriel. C’est ce qu’on appelle la déclinaison des noms : du verbe latin declinare

rationalisme (opposé au fidéisme) grands discours du 18 ème pour prouver que Dieu existe. Foi qui ne se base que sur le raisonnement. Le fidéisme : foi naïve. 2. Spécificité de la foi chrétienne 2.1. Adhésion à un contenu Fides qua, foi par laquelle on croit - coté subjectif Fides quae, c'est ce qui est cru – coté objectif, le contenu. Quand on parle de contenu, c'est adhérer ce que Dieu par Jésus-Christ nous a dit. Croire dans les synoptiques, c'est reconnaître Jésus comme le Fils de Dieu, le

STASI, Bernard, Laïcité et République, Paris : La Documentation Française, 2004, 163p. * REMOND, René, L’invention de la laïcité, Paris : Bayard, 2005, 173p. * BAUBEROT, Jean, La Laïcité quel héritage de 1789 à de nos jours ? Labor et Fides, Genève, 1990. * ce livre nous renseignera sur l’évolution de la laïcité de la Révolution à de nos jours et ce que nous avons conservé depuis 1789 JAURES, Jean, Laïcité et République sociale, Paris : le cherche midi, 2005, 225p. * PEYRARD

Septentrion, 1991, 202 p. Jacques CASTONGUAY, La seigneurie de Philippe Aubert de Gaspé, Saint-Jean-Port-Joli, Montréal, Fides, coll. « Collection Loisirs et culture », 1977, 162 p. Gérard PARIZEAU, « Deux seigneurs du Bas-Canada : Philippe Aubert de Gaspé (1786-1871) et Joseph Papineau (1752-1841) », dans La société canadienne-française au XIX ͤ siècle. Essais sur le milieu, Montréal, Fides, 1975, p. 357-380. -------------------------------------------- [ 2 ]. Gérard Parizeau, « Deux seigneurs du Bas-Canada :

marianopolis.edu/c.belanger/quebechistory/encyclopedia/Coureursdebois-traitedesfourrures-IndiensduQuebec.htm ➢ http://books.google.ca/books ➢ MARTEL, Suzanne. Jeanne fille du Roy Éditions Fides, 1999 P.257 ----------------------- [1] MARTEL, Suzanne. Jeanne fille du Roy Éditions Fides, 1999, page 123 [2]Chap. 19, page 123 [3] Chap. 19, page 124 [4] Chap. 22, page 139 [5] Chap. 19, page 123 [6] Chap.10 page 63