Féminisme

même préoccupation est au cœur du mouvement féministe, dont l’objectif est de mettre à nu, de questionner et de renverser le système politique prétendument neutre qu’est le patriarcat. Quels sont les points de jonction entre le postmodernisme et le féminisme?1 Si leurs prémisses se ressemblent, ces deux contre-discours se rejoignent-ils nécessairement? Un texte dont l’esthétique est postmoderniste peut-il, en dépit de ses visées déconstructionnistes, participer d’une idéologie, par exemple patriarcale

au foyer. 4. On peut lire alors sur les affiches du document 5 : « La femme nouvelle » ; « La femme doit voter ». Ce qui signifie qu’elle ne laisse pas le choix, que c’est un ordre et qu’elle doit obtenir ce droit ! C’est une forme de féminisme puisqu’en manifestant, elle montre son intention de pouvoir voter. Elle veut donc alors abolir les inégalités sociales, politiques et culturelles dont la femme est victime. En montrant leur mécontentement, elles font savoir à leur patrie, qu’elles

encore loin d’être unie et centralisé comme a pu l’être le féminisme. Le documentaire de Patric Jean La domination masculine (2009) illustre parfaitement le malentendu, le dialogue de sourds qui existe entre féministes et masculinistes. Le film évoque les femmes battues, les hommes se rallongeant le pénis mais aussi le sexisme sous toutes ses formes avec les publicités, les jouets… Le réalisateur cherche non pas à promouvoir le féminisme, ni à justifier le discours parfois réactionnaire des masculinistes

Michelle Perrot, professeure d’histoire contemporaine, spécialiste de l’histoire des femmes, à Jussieu en 1974. Michelle Perrot a réalisé sa thèse sous la direction d’Ernest Labrousse qui avait refusé sa proposition de sujet initial sur l’histoire du féminisme et l’avait orienté sur les cultures de la grève. Le premier séminaire portait d’ailleurs un titre significatif « Une histoire des femmes est-elle possible ? » L’une des premières questions qui se posent, c’est le problème des sources peu abondantes

faut donc prendre ce document comme un outil de travail et de réflexion qui doit vous inciter à relire l’oeuvre et vous donner de nouvelles pistes de réflexion. Introduction : Lorsque Laclos publie les Liaisons dangereuses en 1782, le terme « féminisme » n’existe pas encore, mais la question de la condition féminine et de la place des femmes dans la société est bien au centre des débats de l’époque. Un certain nombre d’entre elles s’imposent dans le milieu très fermé de la société aristocratique

EN FRANCE Articles détaillés : Discrimination des femmes en France, Féminisme en France, Femmes et Assemblée nationale en France, Femmes au Sénat (France) et Droits de l'homme en France. De l'Ancien régime à la Révolution[modifier] Les femmes avaient le droit de vote au Moyen Âge[pas clair], selon l’historienne Régine Pernoud. Ce droit a été supprimé par un décret du Parlement en 1498[réf. insuffisante]35. Une autre source (?)36 nous donne un édit du Parlement de Paris datant de 1593. Néanmoins

dénaturés, qui joueraient contre leur camp. Les hommes engagés dans l’activisme féministe chercheraient à regagner par là une position que le mouvement tend à leur faire perdre, à séduire par leur supposée ouverture d’esprit. L’idée selon laquelle le féminisme ne serait pas naturel pour les hommes est d’ailleurs répandue parmi les rangs féministes : il est vrai que malgré toute la sympathie, la compassion et la compréhension dont ils pourront faire preuve, ces hommes ne font pas partie de la minorité qu’ils

différences statutaires entre hommes et femmes artistes se sont sensiblement réduites à partir du xixe siècle, avec l'ouverture des écoles d'art (élève et professeur femme), du marché de l'art, puis, au xxe siècle, avec l'affirmation de l'égalitarisme, du féminisme, et notamment dans les années 1960 et 1970, quand émergèrent les premières artistes féministes militantes et les études de genre. Sommaire :Muse ou Artiste 1- la peinture . (Comment sont représenter les femmes dans la peinture selon Dali et Picasso

l’écrivaine de romans champêtres (La petite Fadette, La mare au diable, François le Champi…) mais aussi, ou surtout, la femme toujours prête à prendre position sur les grands débats ou évènements politiques de l’époque, sur le socialisme naissant, sur le féminisme. Son action, ses romans « de propagande » témoignent de cet intérêt indéfectible aux causes du peuple : « je serai jusqu’à ma dernière heure du parti des victimes contre les bourreaux ». Hors des « passions politiques », George Sand prône toute

d’entreprendre ce travail, son nom ne me disait pas grand chose ! Le statut des femmes avant la révolution Le XVIIème siècle avait vu l’émergence de ce qui n’était pas encore la revendication de la parité ! Poullain de la Barre, précurseur méconnu du féminisme, affirmait dans De l’égalité des deux sexes (1673), que « Le seul critère conséquent de l’appartenance à l’espèce humaine est l’usage de la raison », et déplorait l’état d’ignorance des femmes, et Fénelon, même s’il recommandait, dans son Traité