Fauve

atrocement mutilé. Le maire s'empresse d'accuser les Indiens mais Antonio José Bolivar, un vieil homme veuf habitant le village depuis des années, et grand lecteur de romans d'amour, attribue le meurtre non à une main humaine mais à la griffe d'un fauve. Une femelle jaguar, précisément, qui cherche à venger la mort de ses petits, cruellement abattus par le chasseur. Le maire, qui ne supporte pas d'être publiquement contredit, est bien décidé à faire payer à Bolivar cet affront, et l'occasion ne va

qu'elles sont toutes deux victimes De la sombre nuit. Passants, faites grace a la plante obscure, Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqQre, Oh ! plaignez Ie mal! II n'est rien qui n'ait sa melancolie ; Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie De les ecraser, 20 25 Pour peu qu'on leur jette un rei! moins superbe 1, Tout bas, loin du jour, La mauvaise bate et la mauvaise herbe Murmurent : Amour! 1. ici : rneprisant. 8FRSEIN1 2/5 TEXTE B

respiration du jaguar, “l’araignée au dos jaune” et les singes. Thèmes principaux: -L’exotisme :caractérisé par la chaleur, l’humidité et la végétation omniprésente -la nature opressante: “L’air est irrespirable”, “une lourde ambiance règne” -Repos (du fauve) -Le rêve Conclusion Cherche à se démarquer du romantisme ( ) Versification rigoureuse, ils s’appuient sur des formes fixes, sur des vers isométriques, sur la richesse de la rime. l’art ne doit pas être mêlée à des sujets sociaux ou politiques

du naturel et de la spontanéité vivante. La traque d’un léopard dans les herbes hautes et son mouvement souple et régulier de félin n’ont rien de drôle. Nous y retrouvons l’assurance, la puissance, la souplesse, la beauté de la Nature. Mais si le fauve dérapait sur une pierre pour se ramasser par terre, cela deviendrait assez drôle. Une rupture inattendue dans le apparaîtrait dans le mouvement et de cette surprise pourrait jaillir un rire. Soyons encore plus précis. Ce qui compte, c’est que nous

sa cruauté n'est qu'accidentelle, c'est la société qui l'a rendu mauvais cf Rousseau) AXE 1 : La cruauté apparente de Ziméo ( Z= bourreau) champ lex du sang qui coule ( sens 1er de cruel ) des actes de férocité , d'où la métaphore du fauve sanguinaire «tigre, léopard». Le «affreux besoin» de sang renvoie au cliché du nègre cannibale très fréquent à l'époque. Sa violence est aussi morale car il a la haine . AXE 2 : la bonté naturelle de Ziméo ( Z=victime) les apostrophes

suffit de le demanderA l'oiseau qui chante à la cime. Les fleurs Des avalanches d'or du vieil azur, au jourPremier et de la neige éternelle des astresJadis tu détachas les grands calices pourLa terre jeune encore et vierge de désastres,Le glaïeul fauve, avec les cygnes au col fin,Et ce divin laurier des âmes exiléesVermeil comme le pur orteil du séraphinQue rougit la pudeur des aurores foulées,L'hyacinthe, le myrte à l'adorable éclairEt, pareille à la chair de la femme, la roseCruelle, Hérodiade

Paris. D'abord influencé par les peintres impressionnistes, il se tourna très vite, à la suite de sa rencontre avec Henri Matisse en 1902, vers les recherches des peintres fauves . Sans véritablement adhérer aux mouvements , Dufy adopta la manière fauve, caractérisée par l'emploi de couleurs violentes, et y ajoute son sens du trait, spontané et vigoureux. Simply Red Daniel Firman Daniel Firman Simply Red, 2009 The Gates Christo Christo The Gates, 2005

religieuses occupent souvent une place importante dans les conflits (guerre de religion, question israélo palestinienne), choc des civilisations : conflits ont pour cause une considération « civilisationnelle », vidion déterministe et globalisante - Guerre fauve : concept développé par le philosophe Glucksmann (A.), glissement progressif des combats vers les villes, la nature des combats a changé et les victimes aussi, elles sont de plus en plus des civils. Cf. (R) Baudouï « De la menace atomique aux conflits

; tous deux tremblaient de tous leurs membres, puis soudain, sans réfléchir, il se jette sur le tigre qui ouvre la gueule à ce moment-là, lui fait rendre tripes et boyaux, attrape un serpent qui se trouvait là et l'en frappe tant et si bien que le fauve se dresse sur ses pattes de derrière, lui demande grâce et lui promet de ne plus l'attaquer. Quelqu'un s'écrie alors : « Maintenant, il faut rentrer, sinon nous allons devenir noirs de mensonges d'ici minuit. » Le foyer ferme vers 23 heures. Le compte

fait découvrir des contrées où jamais personnes n’avait osé m’emmener J’en ai presque le tournis de la cadence de ton va-et-vient viril empreint de sensualité Entre tes mains je ne suis plus celle qu’on voudrait, je m’autorise enfin la liberté Fauve, c’est tout moi mais je ne pouvais m’empêcher de craindre le lendemain Je t’enjambe, tout s’accélère, tout s’arrête, il n’y a plus que nous dans cette couche Je frissonne encore, une décharge me parcoure l’échine à chaque fois que tu me touche