Fauve

respectivement. Les strophes sont séparées ainsi, car chacune d’entre elles aborde un thème différent aux autres. Les rimes sont plates, donc ils sont sous la forme AABB. Par exemple, dans la première strophe, «criminel» rime avec «ciel» et «alcôve» rime avec «fauve». Ce poème met en scène plusieurs personnages. Pour commencer, il y a les ouvriers qui, selon Baudelaire, sont les vraies victimes de l’industrialisation. En effet, ceux-ci endurent des conditions de vie et de travail atroces. Baudelaire compare cette

restaurant et il a laissé le portable dans le manteau. En entendant la trille fatidique, qu'il reconnaît entre les autres comme le vagissement de l'aîné, escarpement sur la table, il piétine hors-d'oeuvre, revers chaises, rampe tables et partie comme un fauve vers le portemanteau. Il jette dans air ici fourrures et manteaux d'autrui, parfois pour faire premier il les déchire avec un couteau, il enfile la main dans la doublure, il rate poche, juron et il atteint pas le portable dès que cela a arrêté de triller

eunuques attisés par des désirs de chairQu’un flamboyant démon envoûte de son voile. L’orient se couche alors comme un fauve de marbreDont les griffes damnées déchirent d’un éclairLes rires d’un berger allongé sous un arbre. Francis Etienne Sicard, Odalisques, 1995 Ce poème nous fais découvrir les douceurs de l'orient ,son raffinement mais aussi son agressivité avec la métaphore «Fauve de marbre» , ce poème nous laisse découvrir un paysage immense en laissant libre cours a notre imagination de s'inventer

croire, si tu cherchais la fille parfaite fallait même pas me regarder. » « Comment tu peux penser que tu tiens à moi si moi-même j’y tiens pas, pourquoi tu dis que tu m’aime alors que moi-même je me déteste, pourquoi t’es là, pourquoi tu restes. – FAUVE » « ton niveau d'intelligence doit être aussi profond que ta gorge, connasse  »

revues. Il collabore à différentes expositions personnelles 8) ou collectives : Amour (espace GHP, Toulouse, 2008), Supermarché Ferraille (Albi 2001, Angoulême 9) 2002), Musée Ferraille (Angoulême 2003, Marseille 2006). En 2009, il a reçu le « Fauve d’Or » (Prix 10) du Meilleur Album) au Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême pour sa version de 11) Pinocchio 3) Présenter le contexte historique : iran... 4) Présenter l’œuvre 5)Annoncer la problématique et le plan : II-DEVELOPPEMENT

velour »l15, qui est une métaphore. Je suppose que la femme représente le satin, suite à sa superbe robe qui la met en avant, et la panthère le velour à cause de son pelage noir et soyeux. Dans cette nouvelle la femme est vraiment assimilé à un fauve comme la panthère « panthère contre panthère » elle ne baisse pas le regard comme la panthère. Pour finir la femme et la panthère sont toutes les deux enfermées, la femme dans le zoo, et la panthère dans sa cage. 2) En quoi peut-on

L'ÉPICIÈRE, qui montre sa tête par la porte de son épicerie. — Oh ! un rhinocéros ! (A son mari, resté dans la boutique.) Viens vite voir, un rhinocéros ! (Tous suivent du regard, à gauche, la course du fauve.) Jean. - II fonce droit devant lui, frôle les étalages ! L'ÉPICIER, dans sa boutique. - Où ça ? La SERVEUSE, mettant les mains sur les hanches. - Oh ! L'ÉPICIÈRE, à son mari qui est toujours

rhinocéros ! La SERVEUSE. - Oh ! un rhinocéros ! L'ÉPICIÈRE, qui montre sa tête par la porte de son épicerie. — Oh ! un rhinocéros ! (A son mari, resté dans la boutique.) Viens vite voir, un rhinocéros ! (Tous suivent du regard, à gauche, la course du fauve.) Jean. - II fonce droit devant lui, frôle les étalages ! L'ÉPICIER, dans sa boutique. - Où ça ? La SERVEUSE, mettant les mains sur les hanches. - Oh ! L'ÉPICIÈRE, à son mari qui est toujours dans sa boutique. - Viens voir ! (Juste à ce moment

les passants peuvent alors distinguer ce qu'il y a au fond de ces trous où la nuit habite pendant le jour. Enfin, le narrateur joue sur le sens des couleurs grâce aux oxymores : ’’obscurité transparente’’ (L23),’’clair-obscur’’(L18), ‘’clarté fauve’’, il nous donne l’impression que toutes les couleurs peuvent être mélangées, tout en contredisant les lois physiques de la nature. On peut avoir l’impression qu’il peint, car sont présents différents moment de la scène avec de multiples détails très

cavernes. Quand Javert riait, ce qui était rare et terrible, ses lèvres minces s'écartaient, et laissaient voir, non seulement ses dents, mais ses gencives, et il se faisait autour de son nez un plissement épaté et sauvage comme sur un mufle de bête fauve. Javert sérieux était un dogue ; lorsqu'il riait, c'était un tigre. Du reste, peu de crâne, beaucoup de mâchoire, les cheveux cachant le front et tombant sur les sourcils, entre les deux yeux un froncement central permanent comme une étoile de colère