Le diditi ou le drogué du téléphone

Créature apparue récemment mais maintenant tristement caractéristique. Son drame n'est pas le portable mais la dépendance, c'est-à-dire le ne pas savoir renoncer à l'ils téléphonent dans les endroits les plus improbables et dans les situations les plus inconfortables. Pour cette raison DDT est ce, c'est-à-dire Épicé Par Telefonio.
Le DDT est par exemple, entré à peine dans le bar et le portable il trille pendant qu'il est en train de boire un cappuccino. Le DDT continue à boire avec la droite et il répond avec la gauche, ou il trempe le portable dans la tasse et il se colle une brioche à l'oreille. Le DDT répond en situation quelconque, position et occasion. Sa prérogative est en effet l'effet Colt": il ne peut pas entendre une trille sans extraire de poche l'arme, vives toujours à la montée comme un pistolero, il répond rapide non seulement à la trille de son portable, mais aussi à ce du près, à la trille de la caisse, aux trilles des téléphones en télévision et, à la campagne, aussi au chant des grillons.
Mais deux est les situation surtout dans lequel la névrose du DDT explose en toute sa violence.
La premier est quand il est à un tavolata de restaurant et il a laissé le portable dans le manteau. En entendant la trille fatidique, qu'il reconnaît entre les autres comme le vagissement de l'aîné, escarpement sur la table, il piétine hors-d'oeuvre, revers chaises, rampe tables et partie comme un fauve vers le portemanteau. Il jette dans air ici fourrures et manteaux d'autrui, parfois pour faire premier il les déchire avec un couteau, il enfile la main dans la doublure, il rate poche, juron et il atteint pas le portable dès que cela a arrêté de triller. À ce point la porte avec soi sur la table, en le garant près du plat. Il l'observera là-dessus avec haine tout la soir, parce que le portable restera silencieux, et il jouera seulement une fois remise dans le manteau.
Un autre événement qu'il met en crise le cellularista