Faut Il Toujours Obéir Aux Lois

PQ ? Le nouveau prince doit savoir se faire respecter d’emblée, il est sévère. Lorsque l’on acquière un nouveau principat, plus facile si la même langue & la même coutume. D’autant plus facile que la population est déjà habituée à obéir. Il ne faut transformer ni les lois, ni l’impôt. Si pas la même langue, ni les mêmes coutumes : plusieurs remèdes : - Le mieux est que le nouveau Prince habite le principat conquis. On peut vite remédier aux désordres + on peut gérer plus directement ses troupes

position inférieure à celle de l’homme dans la société. Les lois de l’époque contribuaient à cette inégalité. Ainsi, le Code civil obligeait la femme à dépendre de son père ou son mari. On peut dire qu’elle n’avait aucune liberté. Dans cet essai, on verra la manière dont ces lois ont affecté la vie des femmes, ainsi que le courage de quelques femmes, comme George Sand, pour enfreindre les normes sociales qui limitaient leur liberté. Ensuite, il faut mentionner que le code civil du XIX siècle avait un impact

fondements philosophiques = mauvaise car le droit est produit dans l'effort intellectuel : n'est jamais extérieur à la conscience humaine. Il faut donc le replacer dans son environnement social idéologique et politique si l'on prétend le comprendre Lié aux valeurs et donc à l'idéologie de la société qu’il régit Parce qu'il résulte d'un projet, le droit se ressentira toujours de la pensée qui anime ce dernier Exemple : la pensée libérale entend assurer la liberté du sujet et elle voit dans le droit l'un des

l’image des ducs de Bourgogne ou de Bretagne, légifèrent encore pendant quelques décennies, ce phénomène a totalement cessé d’être au XVème siècle. Cependant, force est de constater que le roi n’est pas lié par les lois qu’il édicte. Au XVème siècle, on admet que le roi conserve les lois (c’est-à-dire à la fois les siennes et celles de ses prédécesseurs). De même, il doit tenir compte des coutumes. §2. LE CARACTERE ESSENTIEL : L’INDIVISIBILITE. Le roi peut intervenir à tout moment dans l’exercice

de la nature pousse a toujours en vouloir plus et à l’emporter sur tout ses semblables; ce qui peut être qualifié de désir insatiable et l'idéal du tyran. En effet, la Nature ne veut pas l’égalité, elle crée des forts et des faibles, des meilleurs et des moins bons. Calliclès affirme alors que « Le juste selon la nature, c’est que l’être le meilleur et le plus intelligent commande aux êtres inférieurs et qu’il ait plus de choses qu’eux » (490 b). À son avis, la justice des lois fait pas les hommes

L’avènement d'un nouveau style de combat : – Les Hoplites et les phalanges, le « citoyen-soldat » 1 Hoplon (Bouclier) recouvre le cote droit du guerrier et le cote gauche du voisin. – Technique renforce la solidarité entre Hoplite (Soldat), mais aussi il faut que les guerriers aient la richesse nécessaire pour se payer cet imposant attirail en bronze. Les soldats avance par rang, par vague. Les premiers rangs tiennent les lances ( de 2m50) Combat relativement court, ne faisant que peu de victimes. – La

l'appliquent, qui se soumettent. De l'obéissance à la soumission : Dans quelles conditions qql peut faire qqch :expérience de Milgram. (Chocs électriques quand les réponses sont fausses) Facteurs de la soumission : être transformé a une machine à obéir qui ne réfléchit plus. - la proximité avec le sujet : le taux d'obéissance chut quand trop proche de la personne a électrocuter. - la source de l'ordre : la façon de comment est habillé la personne : blouse blanche, salle spécialise etc. - la cohérence

sa propre législation = : "Plaisante justice qu’une rivière borne! Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà". Pascal) et d'abord, d'où viennent ces lois différentes ? Peut-être, en isolant leur source, comprendra-t-on leurs divergences ? ORIGINE DU DROIT 1° Le Droit Divin 2°Force vaut Droit (La Fontaine : la Raison du plus fort est toujours la meilleure) Deux ennemis convoitent la même chose : l’un sera plus fort que l’autre et l’obtiendra. Jusqu'au jour où ce « vainqueur » momentané rencontrera

éviter toute contestation de la hiérarchie, les individus ont pris l’habitude d’institutionnaliser le pouvoir, de l’organiser, de l’impersonnaliser afin qu’il soit mieux accepté. Les hommes préfèrent obéir aux lois et aux institutions plutôt qu’a des hommes en chair, car ils oublient qu’à travers les lois et les institutions ce sont des hommes qui agissent en coulisses. De plus la notion de légitimité du pouvoir est abordée. Il apparait que si ce dernier est reconnu comme juste, utile, il est accepté

collectivité. Ces trois domaines n'ont pas toujours été nettement identifiés. Dans les sociétés modernes les choses sont devenues plus claires dans la mesure où chacun d'eux à prit son autonomie si bien qu'aujourd'hui on distingue aisément une mauvaise décision politique d'une faute morale. Un dirigeant politique qui n'a pas su réduire le chômage en répondra sur le plan politique devant ses électeurs en revanche si il a commit des abus de pouvoir en transgressant les lois il devra en répondre sur le plan juridique