Fatalité

divinité avec les mentions de Vénus : au moment d’avouer son amour, Phèdre entame une digression lyrique consacrée à la fatalité et aux dieux (v. 249 ) puis, après l’aveu de l’amour, elle reprend « Je reconnus Vénus et ses feux redoutables » qui nous annonce qu'elle est amoureuse. les mœurs de son esprit sont ainsi extériorisées et l'amour lui-même est présenté comme une fatalité à laquelle Phèdre ne peut rien. L’amour est aussi lié à la religion, car Phèdre a tenté de prier les dieux pour se délivrer

« Roméo et Juliette » peut être qualifié de tragédie de la malchance. Pour répondre à cette question, nous analyserons dans un premier temps comment Shakespeare nous emmène de la comédie à la tragédie, puis nous nous intéresserons au destin et à la fatalité des deux amants et enfin nous verrons les prémonitions et coïncidences malchanceuses présentes dans l’œuvre. I- De la comédie à la tragédie Comme nous l'avons évoqué précédemment, « Roméo et Juliette » est divisé en 5 actes. Les actes I et II

personnages (les héros du théâtre de l’absurde) (i) Antigone – Antigone & Créon (ii) Fin de partie 1957– Clov & Hamm iii) Judas – Judas (iv) Les Mouches 1943– Electre & Oreste (2) Ils butent contre : i) La fatalité L’absurdité de leur engagement/ ii) L’ordre établi obstination/entêtement iii) Le libre arbitre/la condition humaine Conclusion : résume bref des axes (en justifiant héros/antihéros) le message de l’auteur (à travers

conformer aux rôles traditionnellement dévolus aux femmes. Fidélité de Anouilh au texte de Sophocle : à la fin de la pièce de S., Antigone regrette en effet de ne pas s’être mariée. Ce bonheur simple paraît quoi qu’il en soit impossible à atteindre : o Fatalité tragique o Complexité politique des affaires humaines Calme, tranquillité et sérénité qui ne peuvent en fin de compte être atteints que dans la mort (p.121). II/ Le refus du bonheur 1/ Bonheur et compromis : les thèses en présence • • • • • •

entre ses deux personnages. Cette scène participe donc de l’incipit de l’œuvre, et s’effectue après le relai de narration entre le Marquis de Renancourt et Des Grieux. 2) Lecture 3) Problématique 4) Annonce du plan : I) Un roman d’amour II) La fatalité par la peinture des personnages II) Commentaire I) Un roman d’amour 1) Une entrée en matière vivante -L’animation de la scène met en valeur Manon et reflète l’aveuglement amoureux de Des Grieux. « Il en sortit quelques femmes, qui se retirèrent

quel dégré les personnages éponymes de Victor Hugo et de Racine peuvent ils s’assimiler. Nous allons traiter dans une première partie la tragédie dans les deux œuvres, avant d’aborder la tragédie dans la pièce Ruy Blas I :La fatalitéA : phèdreLa fatalité est synonyme de IJBIYDZVOIU. Dans Phèdre, celle-ci est défini par le destin tragique de cette dernière. En effet, l’imploration des dieux, au ciel ou au destin veulent transmettre aux spectateur un sentiment de compassion et de pitié. Elle se montre

la personnalité d’Ismène, opposition avec la personnalité d’Ismène - « Pourquoi... ? » (l12) = interrogation, tente de ramener conv au sujet principal - « soudain/doucement » (l12,13) = dif entre adv, opposition des personnalités III- Fatalité du personnage d’Antigone - « pensé » (l15,17) = rép du verbe, acte hante Ismène, - « Tu es folle », « Nous ne pouvons pas » (l17,19) = adj péjoratif, insiste sur le fait que l’acte d’An est insensé, condamnation - ligne 20 = PS Circonstancielles

mythe des Euménides, ne recrée pas totalement le personnage. Nous verrons donc tout d'abord la reprise du mythe des Euménides par Jean Giraudoux, puis les différentes interprétations de la Justice par ces déesses, et enfin, leur incarnation de la fatalité. Giraudoux reprend le mythe des Euménides, il respecte alors certaines traditions acquises au cours des siècles mais en y ajoutant une pointe d'originalité allant même jusqu'à introduire un jeu du langage. Les Erinyes sont dans la mythologie

chacune de ces œuvres soit Joseph et Antoine présentent quelques différences mais, il nous ait impossible d’affirmer qu’ils sont diamétralement opposés. En effet, les deux personnages mentionnés sont révoltés, mais ils n’acceptent pas tous deux la fatalité de leur destin et la continuité de chacun des personnages prend une tournure tout à fait différente. Tout d’abord, la révolte est présente chez les deux personnages, alors que Joseph et Antoine sont outrés face à la situation à laquelle ils sont

seule de la vérité que pourra naître un état social meilleur ». Ainsi, le passage que nous allons étudier se trouve au centre de ces préoccupations, mêlant à la fois la peinture réaliste d’une scène « du peuple » (scène de bistrot), l’évocation de la fatalité, à la fois narrative et humaine à travers l’hérédité des personnages, et la description symbolique et terrifiante de l’alambic, une machine « humanisée » qui précipitera Gervaise dans sa chute. Nous sommes au chapitre II du roman. Trois semaines