Familier

intime et familier. Dialogue intime.  Pronoms je/tu/nous + surnom familier « Nush » vers 11.  Fluidité du texte grâce à l’absence de ponctuation, comme dans une conversation. De même, enjambements sur 5 vers  vers moins perceptible  plus proche du langage courant.  Choix du discours direct (vers 6) : le lecteur a accès aux paroles autrefois dites par Nush à Eluard lui-même.  Par ces procédés, Eluard fait donc pénétrer le lecteur dans l’intimité du couple. Un poème familier. ● Quasi-absence

langage : soutenu et familier. Il mélange la langue populaire : "foireux", "engueulade" et le vocabulaire littéraire : "effroi", "croisade apocalyptique". -Le personnage emploie un niveau de langue familier : "pétaradant" car Céline a introduit l'horreur dans son récit en donnant un effet de réalité à son personnage, le fait que cela puisse être n'importe qui, qu'il n'est qu'un être humain face à la mort. L'emploi d'une marque d'oralité : "ça" démontre également un langage familier. -L'emploi de

décrit aussi sa morphologie (vers 2 « longue, mince »). Dans les 2 premier poèmes, il y a une femme qui est une inconnu et inaccessible pour le poète (Baudelaire et Verlaine) Dans  « à une passante » la femme ne fais que passer et dans « mon rêve familier » elle n’est que présente dans un rêve donc elle est inaccessible. Alors que dans les 2 autres les poètes mélangent l’irréel et la réalité. Le point commun entre ces 4 poètes c’est que la femme est sois rêvé ou sois imaginé. Dans le poèmes de Baudelaire

conventions théâtrales et crée ainsi une étrangeté ,une distance , un artifice. - Le niveau de langage est simple et familier. - le temps: présent d'énonciation. - Les termes qui permettent de présenter les personnages sont: Antigone est petite, maigre ,noiraude: fragile ,sensible, triste. Ismène est la blonde ,la belle, l'heureuse. - Le ton dominant est à la fois tragique et familier: cela provoque des rupture inattendues qui attirent notre attention , car le tragique est mêlé à la vie quotidienne

impregne le langage litteral, soit le langage que nous utilisons tous les jours : «je suis devant un mur», «leurs chemins se sont separes ». En recourant a une metaphore, on se sert d'un domaine source, familier, pour transferer certains elements de ce domaine a un domaine cible, non familier, voire inconnu, par un raisonnement de type analogique (12). Internet, a ses debuts, a ete qualifie d'« autoroute de r information » pour favoriser sa comprehension par le grand public. Celui-ci a alors

Domicile) Elles permettent d’assurer au domicile du malade, pour une période limitée, des soins médicaux et paramédicaux en continus. Ces soins sont techniques : pansements, injections, perfusions… L’HAD permet le maintien dans un environnement familier et de ne pas perturber les patients, elle facilite la réadaptation et participe au bien être de la personne. c. L’ADMR (Association d’aide en milieu rural) L’admr est composée d’une équipe pluridisciplinaire : auxiliaire de vie, aide-ménagère

est l’occasion de marchandages et de chantages à propos de ces biens matériels dont le refrain fait un inventaire hétéroclite, et le bonheur se résume à la possession de ces biens. Boris Vian adopte le ton de la dérision en recourant à un langage familier et en créant de nombreux néologismes. Il dénonce une société de marchandisation, une consommation de produits superflus, la création superficielle de besoins et la substitution des valeurs marchandes aux valeurs humaines. Il décrit une société de

c'est un battant. Sa silhouette est marquée de son passé militaire qui lui a laissé une certaine prestance : " Comme il portait beau, par nature et par pose d'ancien sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d'un geste militaire et familier" et également tout le cinquičme paragraphe : " Il marchait ainsi qu'au temps oů il portait l'uniforme des hussards, la poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes, comme s'il venait de descendre de cheval ; et il avançait brutalement dans la

du merveilleux. Dans le merveilleux, les éléments surnaturels sont présentés comme familiers et naturels ; le narrateur, le personnage et le lecteur acceptent d'emblée que le monde où évolue le personnage du conte fonctionne différemment de notre univers : on ne s'étonne pas de l'existence de fées ou de sorcières. Au contraire, dans le récit fantastique, l'action commence au cœur d'un univers quotidien et familier jusqu'à l'interruption d'un élément perturbateur inexpliqué. 2) Les brouillages :

première phrase du poème: "la fenêtre" trace un cadre et délimite la description qu'elle annonce. *Le jeu des contraires/opposition (les antonymes): - le grand et le petit : la nue (nuage,brouillard)/la goutte - l'élémentaire et le familier : pluie, eau, terre/plume, encrier... - le haut et le bas: terre/nue - le vertical et l'horizontal : descend / termine mon horizon - l'intérieur et l'extérieur : va et vient entre la fenêtre - vue sur l'extérieur - et la pièce