Facteur de bruit

l’employeur ............................................................................... 40 2 Introduction L'AMELIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL : UN ENJEU POUR LA GRH. Le terme « conditions de travail » se définit comme « l'ensemble des facteurs physiques, psychologiques et organisationnels résultant de l'exercice des missions du salarié à son poste de travail »1. Le travail a, au fil du temps, évolué, changé de nature. Même s'il s'est amélioré avec la disparition progressive de tâches insalubres

l’environnement de travail: Fiches d’observation des dangers et tableau Bilan à compléter Chap. 4 : Analyse d’une situation de travail (démarche ergonomique) : 4-1 Situation de travail pouvant provoquer une maladie professionnelle (en dehors des facteurs d’ambiance) 4-2 Schéma d’analyse de type ergonomique 4-3 Formulation d’une hypothèse 4-4 Recherche de mesures de prévention Mise en forme  Une page de garde : Nom, prénom, classe, année scolaire et matière Nom de l’entreprise, activité

Vous avez utilisé un sonomètre lors de la séquence « Ne faites pas trop de bruit ! » pour réaliser des mesures dans différents lieux du lycée. Le tableau ci-dessous présente les différents résultats obtenus. S’informer , se documenter BEP BAC PRO / 0.5 Lieux de mesure Hall pendant la pause Hall pendant les cours Maison des lycéens à la pause Maison des lycéens pendant les cours Self sur le temps du repas Valeurs de mesure 82 dB(A) 41 dB (A) 83 dB (A) 55 dB (A) 85 dB (A) 1. Expliquer à quoi

. . . . . . . . . . . . . 4.4 Bruit dans les composants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.1 Densité spectrale de puissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2 Les types de bruit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.1 Bruit thermique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.2 Bruit de grenaille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.3 Bruit en 1/f . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.4 Bruit en créneaux . . . . . . . . . .

physiologiquement par la vibration de l’onde. L’oreille humaine est capable de capter ses vibrations grâce au tympan, il les traduits ensuite grâce à ses cellules nerveuses. C’est leur action qui va permettre à une personne d‘entendre une voix ou tout autre bruit. Ceci est donc une manifestation de l’interaction entre la physique et les sciences de la vie et de la terre. L’homme est cependant aussi capable de créer et de fabriquer sa propre musique depuis l’Antiquité voir la création du monde. Toutefois depuis

COGNITIVE exigences quantitatives de la tâche fréquence du traitement d'information nombre de sources d'information variabilité d’informations complexité du traitement précision requise de lecture importance du risque d’erreur rapport information-bruit possibilité des situations atypiques durée du travail ininterrompu ASTREINTE COGNITIVE activité EEG lors d’une conduite routière (Cabon 1996) contrainte ÉMOTIVE le danger la responsabilité le conflit interne la pression du temps astreinte

des connaissances sur les mécanismes du maintien de l’attention permettrait de donner une assise théorique aux aménagements des activités scolaires réalisées par les enseignants mais permettrait aussi de suggérer de nouvelles voies d’étude des facteurs didactiques et pédagogiques qui régulent efficacement le comportement des élèves. » « La question sous-jacente à l’étude de l’attention soutenue est de savoir si le sujet peut « durablement maintenir son attention focalisée » (Camus, 1996) ».

Les principales causes et conséquences du stresse au travail. Principaux facteurs de stress en milieu professionnel ✓ Facteurs liés à la tâche ou liés au contenu même du travail à effectuer Fortes exigences quantitatives (charge de travail, rendement, pression temporelle, masse d'informations à traiter…) Fortes exigences qualitatives (précision, qualité, vigilance…) Difficultés liées à la tâche (monotonie, absence d'autonomie, répétition, fragmentation…) Risques inhérents à l'exécution

. . . . . . . . . . . . . 4.4 Bruit dans les composants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.1 Densité spectrale de puissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2 Les types de bruit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.1 Bruit thermique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.2 Bruit de grenaille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.3 Bruit en 1/f . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.2.4 Bruit en créneaux . . . . . . . . . .

étude sur un groupe témoin équivalent. On parle alors de devis quasi expérimental ou méthode quasi expérimentale. expliquer un phenomène mesure l'effet d'un phenom; sur un autre. avantage : opérationnalisation des variables. ex : VI bruit. Amphi bruit/pas bruit. VD performance moyenne comprise entre amphi un et deux. 3)Méthode corelationelle (comparative) décrire faire ressortir des liens entre les éléments d'un phenomène . av : liens À un stade plus primitif de recherche on peut ne pas