Extase

Dans plus d'un vers rêveur je l'ai nommée tendrement, Qu'elle emporte dans les airs mon souffle apaisé ; Maintenant plus que jamais, mourir semble une fête, Cesser d'exister, sans douleur, à minuit, Au moment même, Rossignol, où en pareille extase Tu donnes libre cours à ton âme ! Et toujours tu chanterais, mais vainement, Ton haut requiem au gazon de ma tombe. Toi, tu n'es pas né pour mourir, Oiseau immortel ! Nulle avare génération ne t'a foulé aux pieds ; Cette voix que j'entends

remercions sans cesse » registre didactique. * Des réponses condescendes (= de supériorité) « sourit » (=un peu de dédain) * Des réponses d’incommunicabilité « fous » c) La réaction de Candide * Emerveillement : hyperbole «  en extase » * Remise en question de la philosophie optimiste (Leibniz, philosophe allemand…) de Pangloss * Lucidité, maturité de Candide qui se forge sa propre opinion. L’utopie permet par la confrontation avec d’autres mœurs (usage, coutumes,..)

un rythme ternaire. Dans ces poèmes, Beaudelaire structure ces verbes musicalement, texte 2 les phrases sont longues, elles sont a l'image des cheveux détachés. Dans les 3 premiers vers, Beaudelaire isole des morts de 3sylabes "O toison, O bouches extase". Les points d'exclamations traduisent l'émotion du poète. Cette émotion devient le désir " Caresse" Texte 2 Ligne.17, "Invresse" Texte 1 Ligne21. Au vers 29 "Enivre". On peut dire de ces deux textes mélangent le jeux du poète et le désir du lecteur

de Dieu. Les trois derniers quatrains sont une pure merveille, étrangement sonores après l‘exposé d‘œuvres picturales, comme si toute expression artistique se résumait à un même cri. Ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes Ces extases, ces cris, ces pleurs, ces Te Deum, Sont un écho redit par mille labyrinthes C’est pour les cœurs mortels un divin opium ! C’est un cri répété par mille sentinelles Un ordre renvoyé par mille porte-voix C’est un

femme, morceau vraiment miraculeux, Divinement robuste, adorablement mince, Est faite pour trôner sur des lits somptueux, Et charmer les loisirs d’un pontife ou d’un prince. — Aussi, vois ce souris fin et voluptueux Où la Fatuité promène son extase ; Ce long regard sournois, langoureux et moqueur ; Ce visage mignard, tout encadré de gaze, Dont chaque trait nous dit avec un air vainqueur : « La Volupté m’appelle et l’amour me couronne ! » À cet être doué de tant de majesté Vois quel charme

à cette idée comme à celle d’une autre puberté qui lui serait survenue. Elle allait donc posséder enfin ces joies de l’amour, cette fièvre du bonheur dont elle avait désespéré. Elle entrait dans quelque chose de merveilleux où tout serait passion, extase, délire ; une immensité bleuâtre l’entourait, les sommets du sentiment étincelaient sous sa pensée, et l’existence ordinaire n’apparaissait au loin, tout en bas, dans l’ombre, entre les intervalles de ces hauteurs.» (p.219) Emma a ce qu’elle a toujours

Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un fanatique novice qui donne de grandes espérances; il pourra bientôt tuer pour l'amour de Dieu. Barthélemy Diaz fut un fanatique profès. Il avait à Nuremberg un frère, Jean Diaz, qui n'était encore qu'enthousiaste luthérien, vivement convaincu que le pape est l'antechrist

croyances. Certaines personnalités se sont intéressées à ce sujet dont Voltaire qui été le chef du parti philosophique au temps des siècles des lumières. Il a combattue « l’infâme » : nom donné au fanatisme religieux. Voltaire dit que « celui qui a des extases, des visions, qui prend ses songes pour la réalité et ses imaginations pour des prophéties est un enthousiaste ; celui qui soutient la folie par le meurtre est un fanatique. II- Les types de fanatismes 1)- Le fanatisme religieux Depuis longtemps

ton de la colère et de la révolte. La colère et la révolte s’exprime par : - les questions rhétoriques (v.37, v.41, v.45-47), - les phrases exclamatives (v.41-42, v44), - les répétitions « quoi ! » - les oppositions « sombres abîmes », « extases sublimes » (v.45-47) Le 4ème mouvement : vers 49 à la fin A le recherche d’une consolation à son malheur et d’une solution à son interrogation, le poète se tourne à nouveau vers le lac et la nature qui l’entoure afin qu’il puisse fixer le souvenir

Arabelle et Romulus, et gagné deux mille louis à sauter un fossé » (phrase qui traduit également l'incompréhension d'Emma). - Les fantasmes d'Emma s'avèrent en définitive être culinaires : « glace au marasquin », « coquille de vermeil », et son extase s'achève avec une « cuiller entre les dents » (pointe de Flaubert). Le miroir brisé : - « Un domestique monta sur une chaise et cassa deux vitre ». Cette phrase est non dramatisée, l'action semble accomplie dans le mouvement, comme faite exprès