Expérience Immédiate Source De Vérité

comme objet de pensée. Mais il m'est plus difficile, voire impossible, de me saisir dans ma nature­même, mon essence­même, de me saisir moi avec toute mes propriétés. Le fait que je sois sans cesse présent à moi­même, que j'ai une sorte de sentiment immédiat d'être moi­même (je sais que c'est moi qui lit ces lignes, qu'il s'agit toujours de moi à chaque instant qui marche dans la rue et regarde les corbeaux crier dans le ciel...) est une chose. Naturellement, il y a un savoir de moi­même qui m'accompagne

Imitant leur procédé, nous proposons douze degrés d'humilité dans l'usage de l'intelligence. 1er degré : Rechercher ce qui est simple Les vérités les plus profondes ne sontelles pas celles qui se tiennent auprès des réalités les plus simples et les plus fondamentales de la vie ? Qui cherche la vérité se tourne vers les expériences originelles, plus déterminantes et moins intellectuelles, celles qui sont le partage de tout un chacun : la jeunesse, l'amour, la naissance, la vieillesse

la raison est un propre à l'être humain. Elle lui permet de représenter la réalité qui l'entoure et satisfait ainsi son besoin profond de connaissance, sa curiosité. Ainsi, la raison peut servir à l'homme comme d'un instrument de recherche de la vérité. Grâce à la raison, nous comprenons et cherchons à aller plus loin dans les sciences et les découvertes. Cependant, nous permet-elle de rendre raison de tout, autrement dit de tout démontrer et comprendre? Dans un premier temps nous étudions les

garantissent la « conformation du présent immédiat au passé » ; chaque entité nouvelle reproduit, en se constituant, les entités plurielles du passé. Dans la « Processphilosophy » de Whitehead, l' « être » d’une entité actuelle (c’est-à-dire des sujets réels) est constitué par son devenir. C'est là le principe même du procès par lequel les entités se constituent : « une entité actuelle est à la fois le sujet qui fait l’expérience et le superject de ses expériences » ; elle tend à sa satisfaction, c’est-à-dire

accompagnent l'être de sa naissance à sa mort. Mais dans quelle mesure dois-je leur accorder ma confiance ? Jusqu'où puis-je me fier à leur réceptivité ? Sont-ils réellement fiables ou sont-ils déformés par l'expression de ma personnalité et de mes expériences passées ? Est-il possible que le message perçu soit totalement différent de mon interprétation ? Est-il possible que l'on triche avec la perception de mes sens ? Existe-t-il une capacité hallucinatoire du sens menant à une interprétation erronée

de phénoménologie ? Conclusion : Discours préliminaire : La tâche première de l’esprit scientifique est de (géomètrer la représentation des phénomènes + ordonner les événements décisifs d’une expérience Quantité figurée entre le concret et l’abstrait Zone intermédiaire (conciliation +expérience+mathématique)= Tâches de géométrisation fondé sur un réalisme naïf L’esprit scientifique est entrainé vers une construction métaphorique plutôt que réelle (dans l’esprit) car le concret accepte

moi­même comme objet de pensée. Mais il m'est plus difficile, voire impossible, de me saisir dans  ma nature­même, mon essence­même, de me saisir moi avec toute mes propriétés. Le fait que je sois  sans cesse présent à moi­même, que j'ai une sorte de sentiment immédiat d'être moi­même (je sais  que c'est moi qui lit ces lignes, qu'il s'agit toujours de moi à chaque instant qui marche dans la rue et  regarde les corbeaux crier dans le ciel...) est une chose. Naturellement, il y a un savoir de moi­même  qui m'accompagne

individuelle et collective. Concept centrale : vaste domaine de tous ce qui exprime la pensée. L’objet : 3 éléments L’OBJET DE LA PHILO EST DONC L’ENSEMBLE DES IDÉES QU’ON SE FAIT AU SUJET DE NOTRE EXPÉRIENCE EN TANT QU’ÊTRE HUMAIN ET AU SUJET DE L’ENSEMBLE DE LA RÉALITÉ. Projet : la recherche de la vérité et du bien. Méthode : * rationnel : comprendre la réalité en faisant appel à leur raison, c’est à-dire au mode de pensée logique, au discourt argumentatif. Une personne rationnelle s’interdit

La recherche de la vérité peut-elle se passer du doute ? A. Analyser la question : Quels sont les éléments qui donnent sens à la question ? De manière générale, ne jamais prendre les mots comme des éléments, car ce n’est pas toujours vrai selon les questions. Il suffit de s’en tenir au départ au sens bien connu. Pas de défini­tions à ce stade. Ici, un premier élément n’est pas « la vérité » mais l’ensemble : « la recherche de la vérité ». Le 2ème n’est pas « le doute », mais l’expression complète :

conscience des autres, du monde ou d’eux-mêmes ? Nous avons défini la conscience en termes de connaissances. Cela est-il si évident ? Généralement, on distingue pour l’homme deux types de conscience : Premier type de conscience : La conscience immédiate ou spontanée, qui renvoie à la simple présence de l’homme à lui-même, au moment où il pense, sent agit, … Deuxième type de conscience : La conscience seconde ou réfléchie, qui correspond à la capacité qu’un individu a de faire retour sur ses pensées